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BRICK IN THE WALL PART 2 Song wrote by Rogers Waters in 1979 and extract from the album” THE WALL” Another brick in the wall is divided in 3 parts and we will study the 2nd part wich is the most famous!! Short song not many sentences but all of them are very committed to the aim to attack teachers and education The ryth and the voice are clipped and more specially can remaind us of a military parad Moroever the viseo clip show students who are walking like they could do if they were in a military

rock band from London, in England.The band was founded in 1965, and was especially active in the 60's and the 70's. It is renowned for his philosophical lyrics, his experimentative and planning music, his innovative concept albums, and his elaborate live shows. It frequently deals with issues such as relationships, drugs, religion, war... Another Brick in the Wall is actually the title of three parts, subtitled Reminiscing, Education and Drugs. They are all from the album The Wall, which was recorded

convictions. Nous allons ensuite analyser les paroles des chansons de l’album the Wall afin de mieux en comprendre le sens. Par cette interprétation , nous allons démontrer par quels symboles l’auteur évoque t il l’état d’esprit de la jeunesse des années 70-80. Pour mieux comprendre cet état d’ésprit , nous allons nous pencher sur le contexte de ces années et étudier des extraits de l’œuvre cinématographique de Pink floyd , the wall. Intro I) Pink floyd a.presentation du groupe b.contexte historique

COMMENT THE WALL, L'ALBUM DU GROUPE PINK FLOYD TRAITE-IL DE L'ISOLEMENT ET DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE ? 1-Présentation The wall (le mur) est le 11ème album du groupe de rock progressif britannique Pink Floyd. Il marque l'apogée du groupe ; c'est le double album le plus vendu au monde. Il fait partie d'un grand projet concept en trois volets, le premier étant l'album lui-même, le second le concert et le troisième un long métrage basé sur l'histoire de l'album. Il est considéré comme un opéra

utilise différents outils pour théoriser sur le cinéaste, à savoir ces différents films (In the mood for love, 2046, La main, My blueberry nights…), des ouvrages concernant le cinéma asiatique de manière générale, différents livres axés précisément sur le cinéaste chinois Wong Kar-Wai (son travail général) mais également des livres analysant une de ces œuvres (comme 2046 de Wong Kar-Wai de Nathalie Bittinger ou In the mood for love de Jean-Christophe Ferrari), des entretiens et des lectures complémentaires

parvenu à jouer de ces partis pris. Je m'explique. Certains de ces clichés sont des hommages à des oeuvres déjà existantes (comme les ralentis accompagnés de la musique rétro et répétitive de Dalida, suivant les formes de l'actrice principale, pour In the mood for love de Wong Kar Wai), et cela est honorable, mais il me semble que le réalisateur use trop des procédés de ses ainés, ce qui nous donne l'impression de cacher son manque d'originalité par des références... Ainsi l'esthétique de la séquence

désigner la première vague de films pornographiques de long métrage américains, tels que Deep Throat, Behind the green door, The Devil in Miss Jones, et le phénomène social qui en résulta. Durant deux ou trois années, il a été en effet de bon ton dans la bonne société de commenter savamment et intelligemment de tels films. Afin de décrire ce phénomène, un article fameux et long de cinq pages du The New York Times Magazine[1] forgea l'expression qui est depuis passée dans le langage courant. Plus récemment

Revolution est une chanson des Beatles, composée par John Lennon et publiée dans deux versions différentes en 1968. La première version est enregistrée dès le premier jour des sessions de l'album The Beatles, le 30 mai 1968. Dans un style blues et lent, harmonisée et arrangée avec des cuivres, cette chanson n'est pas jugée assez commerciale pour paraître en single. Sous l'impulsion de Lennon, une autre version est donc mise en boîte en juillet, cette fois plus rapide, aux sonorités hard rock avec

désigner la première vague de films pornographiques de long métrage américains, tels que Deep Throat, Behind the green door, The Devil in Miss Jones, et le phénomène social qui en résulta. Durant deux ou trois années, il a été en effet de bon ton dans la bonne société de commenter savamment et intelligemment de tels films. Afin de décrire ce phénomène, un article fameux et long de cinq pages du The New York Times Magazine[1] forgea l'expression qui est depuis passée dans le langage courant. Mode [modifier]

Floyd - Another Brick in the Wall Part.2   We don't need no education. We don't need no thought control. No dark sarcasm in the classroom. Teacher leave them kids alone ! Hey teacher, leave the kids alone ! All in all it's just another brick in the wall. All in all you're just another brick in the wall. We don't need no education. We don't need no thought control. No dark sarcasm in the classroom. Teacher leave the kids alone ! Hey teacher leave us kids alone ! All in all you're just another