Incipit Andre Gide

dans sa famille avant d’aller « faire son droit ». C’est sur ce bateau qu’il va rencontrer M. Arnoux, qui l’introduira ensuite dans le monde de l’art, et surtout Mme Arnoux, qui va devenir son grand amour. Nous sommes ici au point de passage entre incipit et diégèse, c'est-à-dire entre l’ouverture du roman et le roman proprement dit (=l’histoire). Ce passage oriente ainsi le déroulement du roman. Il s’agira donc de voir en quoi ce passage est programmatique dans l’économie romanesque. Nous verrons

fasciner ses lecteurs. ISBN 978-2-7011-5158-8 448 pages - 4,50 € LIVRET PÉDAGOGIQUE Arrêt sur lecture 1 p. 79-83 Pour comprendre l’essentiel p. 79-80 L’ouverture du roman © Éditions Belin/Éditions Gallimard, 2009. ᕡ Le début d’un roman (incipit) est un passage très important car il doit susciter immédiatement l’intérêt du lecteur. Relisez le début du chapitre 1 et étudiez les choix de Maupassant pour plonger le lecteur instantanément dans l’histoire. Maupassant choisit de plonger immédiatement

ligne Il est ouvert à la modernité : le philosophe Bergson qui lui apprend à tenir compte de l’intuition, Charles Péguy, dont il reprend « l’opposition de la « mystique » à la « politique »21 ». Il cite volontiers en exergue de ses ouvrages Valéry, Gide, Maeterlinck, Barrès. Il admire les œuvres de Malraux, Bernanos, Mauriac. Ses ouvrages de l’entredeux-guerres témoignent tous d’un soin particulier apporté au style : souci du rythme, goût de la formule, ampleur d’une prose cadencée, souvent marquée

révolution, que les non-conformistes jugent « nécessaire », les surréalistes la veulent plus que jamais. Pour eux, pour André Breton en tout cas, la révolution, depuis la guerre du Rif, ne peut plus être revendiquée en dehors du communisme. Cinq membres du groupe surréaliste adhèrent au PCF, au début de 1927 : Benjamin Péret, le premier inscrit, est rejoint par Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard et Pierre Unik, introduit deux ans plus tôt dans le groupe dès l’âge de quinze ans. Mais le Parti communiste

Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice, 1801 Texte 2 : Zola, la Bête humaine, 1890 Texte 3 : Malraux, la Condition humaine, 1933 Textes complémentaires : Hugo, le Dernier jour d’un condamné, 1829 : le personnage criminel prend la parole Gide, les Caves du Vatican, 1914 : du crime gratuit. Merle, la Mort est mon métier, 1952 : le crime planifié au service du Reich. Lecture cursive : Zola, Thérèse Raquin, 1867 Histoire des arts : « Intérieur », ou « le Viol », d’Edgar Degas, 1868-69

SLAMTI SadEléments de critique littéraireSemestre v Université Ibn Zohr2020/ 2021Avertissement L’article intitulé L’ivresse intertextuelle aura comme but de vous amener au lieu de la littérarité chez Baudelaire. Le poète arabe cité comme un intertexte n’est qu’un prétexte pour approcher l’écrire poétique baudelairienne qui est l intertexte sur lequel nous bâtirons notre critique des poèmes proposés à l’étude Avant propos « Qu’on ne me dise pas que j’ai rien

société parisienne des années 1880 et compose un roman qui n’a pas fini de fasciner ses lecteurs. ISBN 978-2-7011-5158-8 448 pages - 4,50 € Arrêt sur lecture 1 p. 79-83 Pour comprendre l’essentiel p. 79-80 L’ouverture du roman � Le début d’un roman (incipit) est un passage très important car il doit susciter immédiate- ment l’intérêt du lecteur. Relisez le début du chapitre 1 et étudiez les choix de Maupassant pour plonger le lecteur instantanément dans l’histoire. Maupassant choisit de plonger immédiatement

est étroitement associé à une instance fondatrice autour de deux figures emblématiques : Si Mohand et Cheikh Mohand. L'analyse des formes textuelles ou "oratologie" met à jour divers genres poétiques dotés d'une structure trielle et parfois d'un incipit et d'un excipit qui en constituent une archi-écriture. La topologie, inextricablement nouée au tropologique, met en exergue le motif du jardin érotisé et la métaphore qui impulse une écriture du désir et de jouissance. Index : Oralité Berbère Chant

l’amour sans se soucier des problèmes sociaux. La critique française n’apprécie pas beaucoup l’œuvre de MAUPASSANT, pas plus que son rôle dans l’évolution des lettres françaises. Cette souséstimation se base pour beaucoup sur l’opinion d’ANDRÉ GIDE qui disait, en 1938 : « Ce qui nous retient de considérer MAUPASSANT comme un vrai maître c’est, je crois, l’intérêt presque total de sa propre personnalité : n’ayant rien de particulier à dire, ne se sentant d’aucun message, il reste pour nous, (ce

psychologiques comme Premier amour, Dostoïevski Les frères 1 - Paul Aron, Denis Saint-Jacques et Alain Viala, Le dictionnaire du littéraire, PUF, France, Septembre 2004. 20 Karamazov. Suivi de beaucoup d'autres auteurs comme Gide dans L'immoraliste, Proust dans A la recherche du temps perdu et Bernanos avec Sous le soleil de Satan ainsi que Joyce, Kafka et Faulkner qui « assimilent le personnage à un point de vue sur le monde et à une conscience éclatée que détermine