Incipit Aux Champs

Etude transversale Le Nœud de vipères de François Mauriac I. Etude comparative : Début du roman (incipit : premières pages) et fin (excipit : dernières pages). Lecture analytique comparée : « Les grands romans viennent du cœur. » Cette citation extraite de Mémoires intérieures présente d’elle-même l’investissement de son auteur, Mauriac, lors de la rédaction de ses romans. Notamment connu pour avoir reçu de nombreuses distinctions comme la légion d’honneur, le prix Nobel de littérature et pour

naturaliste. Dans ce commentaire, on se penchera sur l’incipit du roman et plus précisément sur la description du passage du Pont-Neuf. Notre but serait alors de démontrer comment la description réaliste ressort-elle de cet incipit et comment l’auteur s’y prend-t-il à travers cet incipit pour préparer le lecteur au drame à venir. Le développement de ce sujet sera fait à l’aide de deux grands axes. Pour commencer, nous allons voir la description d’un lieu sordide et réaliste.Premièrement, Zola

décrit de beau, grand, blond aux yeux bleus, on nous dit que c’est un homme qui plait aux femmes. Il est déterminer à sortir de la misère et cela peut importe les conséquences de ces actes. Nous allons nous poser la question suivante : En quoi cet incipit est-il réaliste ? Pour cela nous verrons tout d’abord l’incipit d’un roman, ensuite les caractéristiques du personnage et pour finir le jugement du narrateur. Premièrement, nous allons étudier le cadre spatio-temporel. L’histoire commence quand

pouvons voir dans cette extrait de l'incipit que l'auteur a introduit à plusieurs reprise des couleurs peu valorisante avec le suffixe « -âtre », comme ligne4 « jaunâtres » ligne 5, « noirâtre ». De plus nous pouvons que remarquer que la présence du champ lexical de la saleté est présent comme à la ligne 5 « crasse », à la ligne 7 « vitres sales », et à la ligne 9 « dalles gluantes ». En outre Emile Zola fait une description très précise de la misère des hommes. Effet il évoque la pauvreté des artisans

analytique de l’incipit Problématiques : - Quels sont les rôles de cet incipit ? (1. Présentation du cadre spatio-temporel ; 2. Présentation de 3 personnages légers et heureux ; 3. Présentation de l’intrigue et annonce du drame à venir) - Dans quelle mesure cet incipit reflète-t-il le titre du roman ? - En quoi cet incipit est-il captivant ? - En quoi cet incipit est-il paradoxal ? - Quelle(s) atmosphère(s) règne(nt) dans cet incipit ? I. Le roman s’ouvre sur la description d’un lieu et d’un

est-il « étourdi » à la ligne 17, mais ce terme fait plus référence au fait d’avoir monté des escaliers qu’à une réelle tristesse ! Dès l’incipit, donc, Meursault nous est bien… étranger. 2. Forme originale. Sur de nombreux aspects, cet incipit remplit les fonctions principales qui lui sont traditionnellement dévolues. En effet, il nous informe sur : - les personnages du roman : dans ce cas précis, tout tourne autour du narrateur, Meursault, qui reste pour l’instant au stade du « je » aux

Cependant, le paratexte nous livre aussi les moyens de retrouver son identité : l’amour de la famille (femme, mère, fille) et l’écriture, moyen de recouvrer son identité (le verbe « compose »).L’INCIPIT. SON ECRITURE . L’originalité d cet incipit tient d’abord dans le fait qu’il soit IN MEDIA RES « Je m’appelle Brodeck et je n’y suis pour rien ». Le lecteur est immédiatement jeté dans la conscience intérieure du personnage de Brodeck : le roman sera donc une INTROSPECTION (analyse intérieure

est condamné à la guillotine. Meursault voit l’aumônier, mais quand celui-ci lui dit qu'il priera pour lui, il déclenche la colère de Meursault. Avant son départ, le condamné à mort finit par trouver la paix. II) Questions sur l’incipit 1) Un incipit doit répondre normalement aux questions : Qui ? Où ? Quand ? Quoi ? (thème) 2) Tout d’abord, on sait peu de choses sur le narrateur qui est le personnage principal de l’œuvre, l’histoire est vu de son point de vue (focalisation interne). On ne connaît

fait du début du livre. Il peut-être de différente nature selon les romans. L'incipit de ce roman semble vouloir être naturaliste, il fut écrit au XIXe siècle, par Emile Zola et évoque un cimetière désaffecté, l'aire Saint-Mittre. Zola dans cet incipit donne aux lecteurs une vision réaliste avec une réalité qui passe par la nomination de lieux géographiques, que l'on peut localiser comme « la route de Nice ». De plus, Zola donne un nom propre à cette ville, Plassans, et donc il lui donne une identité

souvent réduite à sa seule stature historique. Mouvements du texte : Ligne 1 à 10 : la description de la consultation médicale. Les rituels de dévoilement de la mortalité d’Hadrien. Je vais donc vous lire le texte. La problématique est Comment cet incipit montre-t-il l’acceptation progressive par Hadrien de sa mort prochaine et irrémédiable ? Le texte comporte trois mouvements : le premier mouvement de la ligne Ligne 1 à 10 : la description de la consultation médicale. Les rituels de dévoilement de