Incipit La Condition Humaine Point De Vue

un roman à deux voix : c’est un roman à deux points de vue, éloignés dans le temps, mais rapprochés par leur égal silence, accordé au désert, tous deux transcrits par une voix unique, discrète, effacée pour se mettre au service de leur conscience reconstituée. Analyse du titre C / « Désert » 1. Un désert, c'est d'abord selon le dictionnaire un " lieu sans habitants, inhabitable": il se définit donc par l'absence de présence humaine, voire l'impossibilité de cette présence.

Zola -Focalisations/Points de vue PREFACE, Zola défend son roman considéré par les critiques comme l’œuvre d’ « une misérable hystérique qui se plait à étaler des pornographies » BUT SCIENTIFIQUE AVANT TOUT ! Parle de l’opposition romantiques/ naturalistes -Romantiques étudient la psychologie (âme, esprit, sentiments…) -Naturalistes étudient la physiologie (conséquences du corps sur le cerveau), il prônent la modernité et l’étude analytique et médicale de l’être humain. Il compare même son

méthodique : I Une société d'apparences (le jeu des regards)       a. le champ lexical de la vue       b. l'intérêt de la préparation       c. le jeu des regards   II La présence du destin       a. des héros complémentaires       b. l'événement       c. le poids de la fatalité Lecture méthodique : I - Une société d'apparences a) le champ lexical de la vue On a un champ lexical de la vue très important : par exemple, le verbe avoir est employé six fois. On remarque que cette société

ambitieux, sans scrupule, Georges Duroy réussi grâce à ses conquêtes féminines et non par mérite personnel. Dès le début du récit, les thèmes dominants sont posé : les femmes, l’argent, l’ambition. Nous montrerons d’abord les aspects traditionnels d’un incipit conforme à la tradition naturaliste. Nous montrerons ensuite l’originalité du passage. Le roman s’ouvre en pleine action, qui est plutôt une réaction, une caissière rend la monnaie. Nous sommes ainsi plongés dans une scène de la vie quotidienne

Question directrice : en quoi cet incipit est-il original ? L’originalité est une notion embarrassante pour les élèves. Il est bon de vérifier avec eux ce qui, dans l’absolu, leur paraît être original dans ce début de roman, puis faire correspondre l’originalité à la remise en question des marques d’écriture traditionnelles. Objectif : montrer que Giono déjoue les attentes du lecteur, tout en satisfaisant à l’impératif de captatio benevolentiae de tout incipit. C’est qu’il semble vouloir aiguiser

Maupassant : il a vécu durant la 2ème moitié du XIXème siècle, il a connu beaucoup de femmes et attrapé la sifilis ce qui l’a rendu fou. Il a écrit beaucoup de roman dont « Le Orla » à la fin de sa vie. Son parrain en littérature était Flaubert. I) Un incipit réaliste : -> Comment Maupassant crée-t-il dans ce récit l’illusion de la réalité ? Contexte spatial | Temporel | Social | Pas de nom de lieu, mais on devine que les personnages vivent à Paris :« ministère de l’Instruction publique ». | « dot »

| |de siècle |Commentaire : Eluard, « Le cinquième poème visible », A l’intérieur de la vue | |- Eluard, « Le cinquième poème visible », A l’intérieur|Dissertation : La poésie consiste-t-elle à « dresser un paravent contre le | |de la vue |monde », selon les mots d’Alain Bosquet ? | |- Jaccottet, « Parler », Chants d’en bas

contexte géographique précis puisqu'il s'agit de l'Algérie. LECTURE En quoi cet incipit ne repond-t-il pas aux attentes traditionnelle du genre romanesque ? ANNONCE DES AXES I/ le récit, une énonciation ambiguëII/ Le personnage romanesque surprenantIII/ Une explication de son attitude ( construction d'un univers indéchiffrable)ETUDE I/ Le récit 1. Un journal?- Présence intense du narrateur par l'utilisation du point de vue interne (la perception des événements se fait uniquement par le personnage)On

avec le revolver que lui avait fourni Lescaut, le frère de Manon venu lui rendre visite. Pour répondre à l’esthétique littéraire du XVIIIème siècle, le meurtre et ses conséquences sont peu décrits. Le second texte du corpus est un extrait de La Bête Humaine publié en 1890 par Emile Zola. Fidèle aux principes du naturalisme qu’il a lui-même mis en place puisqu’il est le chef de file de ce mouvement de la fin du XIXème siècle, il présente un personnage, Jacques Lantier qui va céder à sa folie meurtrière

16 / « pr surcroît de maux » v.41 => lamentation, poète jamais content. c) car le narrateur semble paranoïaque : * thème du complot : « tout conspire » v.1 même les objets qui sont personnifiés (personnification = attribuer des caractéristiques humaines à qqch d’inanimé) v.9,10,11, ils sont vivants => poète pris au piège = victime. * réf. à Dieu et à la malédiction (on souligne d’une autre couleur) => poète = victime face à son destin. Décalage spiritualité ≠ quotidien de la ville, terre à terre