Incipit Le Dernier Mousse

inspire. Son irruption dans l’âme est surprenante * L’amour est donc le maître du jeu, et son pouvoir est renforcé par la personnification opérée dans les tercets. Cet amour tout puissant entraîne la déperdition du sujetB- La dépossession du sujetLe dernier vers renferme le poème sur lui même "malheur". ConclusionLe sonnet exprime la variété des sensations, des émotions, ressenties par le poète en proie au sentiment amoureux. L’amour l’investit, lui fait perdre tous ses repères, triomphe de sa raison

eaux dormantesOù l’étoile du soir se lève dans l’azur.Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres,Le crépuscule encor jette un dernier rayon,Et le char vaporeux de la reine des ombresMonte, et blanchit déjà les bords de l’horizon.Cependant, s’élançant de la flèche gothique,Un son religieux se répand dans les airs,Le voyageur s’arrête, et la cloche rustiqueAux derniers bruits du jour mêle de saints concerts.Mais à ces doux tableaux mon âme indifférenteN’éprouve devant eux ni charme ni transports

suivit en 1830 du Rouge Et Le Noir. Ce roman connaitra un beau succès. Après cette révolution, il est nommé consul à Civitavecchia. Il s’ennui et part en voyage. Il ne réussit pas à terminer plusieurs des œuvres qu’il commence. Après avoir achevé son dernier chef-d’œuvre La Chartreuse De Parme en 1839, il meurt dans la nuit du 22 au 23 mars par une attaque. Biographie de Flaubert : Né en 1821, Flaubert a grandi dans le cadre mélancolique de l’Hôtel-Dieu de Rouen où son père, chirurgien réputé, était

Pierre et Jean, Maupassant. Extrait n°1 ( Incipit ) TEXTE : "Zut !" s'écria tout à coup le père Roland qui depuis un quart d'heure demeurait immobile, les yeux fixés sur l'eau, et soulevant par moments, d'un mouvement très léger, sa ligne descendue au fond de la mer. Mme Roland, assoupie à l'arrière du bateau, à côté de Mme Rosémilly invitée à cette 5 partie de pêche, se réveilla, et tournant la tête vers son mari : "Eh bien,... eh bien,... Jérôme !" Le bonhomme, furieux

dans le civil. Quoiqu’habillé d’un complet de soixante francs, il gardait une certaine élégance tapageuse, un peu commune, réelle cependant. Grand, bien fait, blond, d’un blond châtain vaguement roussi, avec une moustache retroussée, qui semblait mousser sur sa lèvre, des yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite, des cheveux frisés naturellement, séparés par une raie au milieu du crâne, il ressemblait bien au mauvais sujet des romans populaires. C’était une de ces soirées d’été où

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 16 17 20 q Rédiger la fiche biographique d’un auteur q Étudier un incipit de nouvelle q Apprécier l’écriture de Maupassant q Étudier une nouvelle : un récit complexe un récit réaliste • Contes de la Bécasse, Guy de Maupassant . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 24 FICHE-MÉTHODE : Rendre compte d’une lecture sous

attachait, courait le long de la maison et finissait sur un bûcher où le bois était rangé avec autant d'exactitude que peuvent l'être les livres d'un bibliophile. Le pavé de la cour offrait ces teintes noirâtres produites avec le temps par les mousses, par les herbes, par le défaut de mouvement. Les murs épais présentaient leur chemise verte, ondée de longues traces brunes. Enfin les huit marches qui régnaient au fond de la cour et menaient à la porte du jardin, étaient disjointes et ensevelies

L’ECUME DES JOURS DE BORIS VIAN (1946) Titre métaphorique : association courante eau et temps, mais « écume » : original. L’écume est la mousse blanchâtre qui se forme à la surface de la mer, lorsque l’eau rencontre un obstacle, ce qui entraîne une agitation de l’eau. Quand la vague se brise sur le sable de la plage, il y a de l'écume et c'est tout ce qui reste de cette vague à ce moment précis. L’écume disparaît ensuite progressivement. Au chapitre XXXIII, un passage peut nous éclairer sur le

s'y attachait, courait le long de la maison et finissait sur un bûcher où le bois était rangé avec autant d'exactitude que peuvent l'être les livres d'un bibliophile. Le pavé de la cour offrait ces teintes noirâtres produites avec le temps par les mousses, par les herbes, par le défaut de mouvement. Les murs épais présentaient leur chemise verte, ondée de longues traces brunes. Enfin les huit marches qui régnaient au fond de la cour et menaient à la porte du jardin, étaient disjointes et ensevelies

intégrale : Abbé Prévost, Manon Lescaut Parcours associé : Personnage en marge, plaisirs du romanesque Lectures cursives : - Flaubert, Madame Bovary, 1856 - Laurent Gaudé, La Mort du roi Tsongor, Texte n°1 : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731, Incipit Texte n°2 : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731, le libertinage de Manon Texte n°3 : Abbé Prévost, Manon Lescaut, 1731, la mort de Manon Texte n°4 : Emile Zola, Nana, chapitre VII, 1880 Texte n°5 : Gustave Flaubert, Madame Bovary, II, 9,1857 EAF