Incipit Le Petit Chose

Faire 3 groupes (3 rangées) : chacun se charge d’un pers. Le fils Le père La mère Son identité (prénom, nom) David Eliot Edward Eliot Eileen Eliot Son apparence physique - petit pour son âge, très menu - se trouve « petit et moche » - les filles le trouvent mignon - yeux bleu-vert - taches de rousseur - cheveux bruns - petit, gras, chauve - se déplace en fauteuil roulant - moustache hérissée - bien plus grande que son époux - très mince - cheveux teints en mauves (faux) - faux cils - dents en porcelaine

Jean-Paul Sartre, Huis Clos, dénouement. Lectures et activités complémentaires Deux textes pour appréhender le genre de l’essai : Montaigne, Essais, « Sur Démocrite et Héraclite », I, L, (1588 -1592). Paul Valéry, Regards sur le monde actuel (1931), incipit. Une question de corpus : quelle vision de l’autre donnent les textes du corpus ? Montaigne, Essais « Des Cannibales », I, 31, 1580. J. Swift, Voyage de Gulliver, 1726. T. Ben Jelloun, Le racisme expliqué à ma fille, 1998. J-C. Carrière, La Controverse

absentia. Une allégorie est la figuration d’une abstraction, d’une idée, par une image, souvent par un être vivant. Elle permet de concrétiser une idée, un concept. La personnification consiste à attribuer des propriétés humaines à un animal ou à une chose inanimée (objet concret ou abstraction) que l'on fait vouloir, parler, agir, à qui l'on s'adresse etc. comme dans l'expression : C’est le fait de rendre semblable aux choses, de réduire un homme ou un animal à l'état d'objet. → Réification. « Je vis

décrit une partie du corps de Gervaise, ici, ses bras ‘de blondes’. Sans avoir dit qu’elle avait les cheveux blonds, on comprend dès cette phrase que Gervaise était une femme blonde. « Mon Dieu ! Je ne suis pas ambitieuse, je ne demande pas grand-chose… » Page 88. Gervaise parle à Coupeau. Elle se perçoit, elle, comme une femme pas ambitieuse, et décrit donc son portrait moral. « On avait tord de lui croire une grosse volonté ; elle était très faible, au contraire. » Page 95. On décrit le portrait

a) La rupture de l'équilibre. - La présence du tmps suspendu et la structure en boucle de la 1ère partie provoque un équilibre défaillant : le tmps se renferme sur lui même. Tout ce qui s'est passé n'a pas d'importance puisque tt revient à la même chose. L'acte de tuer s'inscrit comme une rupture de l'ordre de la nature « j'ai compris que j'avais détruit un équilibre... heureux » => + que parfait (valeur d'accomplie). Prise de conscience absolue, il a rompu ce monde parfait. « Alors tt a vacillé »

Qu’est-ce qu’un héros de roman ? I] La question de l’héroïsme Lectures analytiques : Stendhal, La Chartreuse de Parme, 1839. Fabrice à Waterloo. Louis Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Incipit. André Malraux, La condition humaine, 1933. Incipit. André Malraux, La condition humaine, 1933. La mort héroïque de Katow. Lectures complémentaires : Cervantes, Don Quichotte, 1605-1615. Louis Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Bardamu face

littéraire : la page est révélatrice des caractéristiques générales de l’œuvre sur les plan du conte philosophie, de l’ironie et de l’écriture voltairiennes. B. SITUATION · Incipit extrêmement expéditif dont la teneur et le style fonctionnent comme une grammaire pour lire le conte. · Passage qui répond aux exigences du genre (incipit) et aux attentes du lecteur : un horizon d’attente et un pacte de lecture sont posés. C. INTERETS / PLAN · La technique du conteur, caractéristique de l’art voltairien

grammaire du texte qui entre en jeu. La soupe et les nuages Ma petite folle bien-aimée me donnait à dîner, et par la fenêtre ouverte de la salle à manger, je contemplais les mouvantes architectures que Dieu fait avec les vapeurs, les merveilleuses constructions de l'impalpable. Et je me disais, à travers ma contemplation : « Toutes ces fantasmagories sont presque aussi belles que les yeux de ma belle bien-aimée, la petite folle monstrueuse aux yeux verts. » Et tout à coup je reçus un violent

philosophie, le maître et la vie Il raconte tout d’abord sa « rencontre » avec Lucrèce (philosophe-poète latin du Ier siècle av. J.-C). Il ne savait pas grand-chose de lui, sauf qu’il vivait à Rome. Il raconte qu’arrivé dans la capitale italienne, sur les ruines du forum romain, il eût une grande déception puisqu’il n’y avait pas grand-chose. Il a donc dû se contenter de son imagination. On peut même croire, qu’avec la chaleur présente le jour de sa visite, il eût beaucoup d’imagination. Il rêve en

tu ne saurais le tenir pour un poète. Celui qui a du génie, dont l’inspiration est plus proche des dieux et dont la bouche est faite pour les grands accents, à celui-là accorde l’honneur de ce titre.) Pour ce qui est du quatrième sonnet, il a un incipit qui est également un refus, une recusatio. Sonnet 4 Je ne veulx feuilleter les exemplaires Grecs, Je ne veulx retracer les beaux traits d’un Horace, Et moins veulx imiter d’un Pétrarque la grâce, Ou la voix d’un Ronsard, pour