Incipit Original

Mardi 28 février : Chloé Letellier, 14H00 et Umberto Castagnetti, 16H00Aurélien , Louis Aragon, 1944, incipit : La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. Elle lui déplut, enfin. Il n'aima pas comment elle était habillée. Une étoffe qu'il n'aurait pas choisie. Il avait des idées sur les étoffes. Une étoffe qu'il avait vue sur plusieurs femmes. Cela lui fit mal augurer de celle-ci qui portait un nom de princesse d'Orient sans avoir

Informer b) Interesser c) Surprendre II) La violence de l’entrée a) Une sortie paradoxale b) Violence verbale, violence physique III) L’intrus a) Tartuffe vu par la famille b) Tartuffe vu par Mme Pernelle Conclusion : exposition original et mouvementée. Les deux absents qui semblent constituer les enjeux de l’action. La scène repose sur un paradoxe entre le registre comique et religieux. Des rapports de forces inégaux sont mis en place. Le spectateur se doute qu’il va assister à

Mauriac. Le casting du film est essentiellement composé de Patrick Bruel dans le rôle de Maxime, Cécile de France dans le rôle de Tania et de Ludivine Sagnier dans le rôle d’Hannah. Le film, comme le roman, est fondé sur deux époques. De manière originale, l’époque contemporaine de François l’adulte est filmée en noir et blanc, tandis que ce qui relève du flash-back est en couleur. Claude Miller dit que c’était un roman intéressant à adapter car il devait faire vivre ce roman qui est composé de récit

et aux resucées, même si la pièce de Molière, de fait, en fait partie. Ce qui fascine en effet dans cette pièce, c’est qu’elle reprend sans reproduire un mythe déjà célèbre dans la littérature espagnole, en lui donnant une touche particulière et originale. C’est tout l’ancien renouvelé et drapé dans une vision moderne à couleur typiquement locale, car Molière à la suite de Tartuffe interdit, n’entend pas abandonner la bataille que la cabale de la Compagnie du Saint Sacrement lui a déclarée. Fascinante

giberne reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille : _Condamné à mort ! » Arguments : D'une part, j'ai choisi cet extrait car il met en exergue le caractère original de l’œuvre. En effet, on plonge dans un incipit in-média-res et dans des mémoires dont le bouleversement de la chronologie (retour en arrière) montre le chaos du héros. D'autre part, cet extrait montre bien que c’est surtout l’ esprit du condamné qui captif de ce cachot

L’opposition avant « lingot d’or » (avant dernier vers) souligne la déception. Le dernier vers exprime clairement le bilan du voyage : « malheureux voyage ». Au XVIe siècle ou l’exercice s’apparente souvent à un exercice de style, les regrets sont originaux par l’accent de sincérité du poète. Malheureux d’être séparé de son Anjou natal. Dans ce poème, Lamartine donne essentiellement accès à la beauté de la nature. Il décrit la beauté, d’un point de vue à la fois doux et merveilleux. « Le Vallon »

1867) Emile Zola nov/ déc 2003 janvier 2004 Avoir lu le roman pour le 10 décembre 2003.préparer les travaux programmés/ lectures analytiques élèves désignés exposés élèves volontaires. 1 séance 1 mercredi 26 et jeudi 27 novembre L’ incipit , lecture analytique , à préparer, le registre réaliste 2. séance 2 mercredi 3 et jeudi 4 décembre un exposé/ élève : L’œuvre romanesque d’Emile Zola. Les Rougon- Macquart un exposé/ élève : définir le terme « naturalisme ». 3.mercredi 10

structure, le glissement semble aisé vers le rêve de l'île. On passe ainsi du 3pan de mur » à « ton île », du « goût des graisses » au « miel fauve », des « sauces infectes » au « goû de fruit vert ». Tout un monde est prêt à resurgir, en rêve avec les incipits : mais l'image pousse son cri, Et tu songes . L'emploi du verbe songer traduit le début du rêve. En lui, s'opère le passage de la réalité à la rêverie, de la ville à l'île, de l'artificiel au naturel. RESULTANT DE PROCEDES STYLISTIQUES

surprenant. Nous examinerons tout d'abord le caractère insolite de l'entrée en matière puis ce que cette œuvre comporte des éléments du roman traditionnel pour nous intéresser enfin à la réflexion philosophique que propose cette ouverture. I. UN INCIPIT INNATTENDU a. Le refus de présenter le cadre de l’histoire Le début du roman rompt avec toutes les conventions narratives et ce dès les premières lignes. - A chaque question posée sur le cadre ("Comment s'étaient-ils rencontrés?..

| | |parfois des animaux plutôt que des humains ? Quel intérêt y trouvent les auteurs ?| | |Invention : A votre tout, inventez un apologue original, sous la forme d’un récit | | |en prose, dont le contexte sera très différent du « Crapaud », mais dont les | | |leçons seront semblables