Incivilité

violence adaptée à la loi ou à l’intérêt de la victime qui la subit (ex : alimenter quelqu’un de force alors qu’il se laisse mourir de faim est une violence légitime) ; est illégitime toute violence contraire à la loi ou à l’intérêt de la victime. Incivilité comprend le manque de respect envers la personne (souvent expliqué par les enseignants comme de l’agressivité). Chaque individu, est porteuse d’une certaine agressivité ; mais, heureusement, tous ne passent pas à l’acte, et l’éducation doit justement

prévention, mise en œuvre dans une perspective longue, à l’opposé des « coups » médiatiques et des opérations coups de poing. Elle présente plusieurs volets et plusieurs objectifs : - La prévention des violences juvéniles - La prévention des incivilités qui ne sont pas de nature pénale - La prévention doit également être de nature dissuasive pour se concentrer sur les situations de risque de passage à l’acte - La prévention des violences urbaines : la nécessaire répression des violences urbaines

décliner de différents point de vues Il apparaît donc à l’issue de ce bref état des violences scolaire que ce terme est difficile à cerner . Il semblerait indissociable d’une certaine subjectivité. Faut il alors distinguer actes de violence grave et incivilités plus mineures ? Nous ne le pensons pas. Dans la mesure ou ce qui fait qu’un acte ou une ambiance sont catégorisés comme violents, c’est la façon dont ils sont ressentis. Une multitude d’actes d’incivilités peuvent tout autant qu’une grave agression

scolaire, sa civilité, ainsi qu’en terme de «sentiment de violence ». C’est ce niveau que Debarbieux privilégie dans son travail. Son diagnostic général est qu’on est moins dans une «guerre civile » que dans un «conflit de civilités » (12). Les incivilités traduisent une «perte intolérable des repères » et une «désorganisation de l’ordre en commun » (169) qui expriment un affaiblissement général de la capacité intégratrice de l’école et une «déchirure sociale » qui s’aggrave (une crise du lien social)

violence dans le sport Dissertation qui s'intéresse aux manifestations de la violence dans le sport et aux différents moyens de lutter contre celle-ci. 1395 mots (approximativement 3.5 pages) | 0 sources | 2010 Résumé: L'augmentation des incivilités et des faits de violence dans le sport se fait de plus en plus ressentir. Pourtant, la violence n'est pas un fait nouveau, puisque l'Europe a adopté une Convention européenne relative à la violence des spectateurs en 1985 suite à un fait d'actualité

ces quelques semaines, mes camarades et moi avons travaillé sur la politesse, avec ses règles, ses origines et la notion de civilité. Plan : Sondage Citations Mots et formules de politesse Origines Transmission de la politesse Civilité, incivilité Conclusion : (détaillée) La politesse est un ensemble de règles de savoir-vivre qui nous ont été transmises par notre éducation. Elle facilite les rapports sociaux entre les personnes, chacun d’entre nous aime vivre dans une communauté appliquant

dix dernières années. Il s'agit d'une dégradation «forte» pour 47 % des personnes interrogées. Ce sentiment est largement partagé par les générations, même si les personnes âgées se montrent les plus sombres (75 % des plus de 60 ans ont vu les incivilités monter), alors que les jeunes sont plus optimistes. «Quand on leur parle de civisme, les Français ne pensent pas à la politique ou au droit de vote, mais à un manque de considération et de politesse­ dans les rapports sociaux ordinaires, remarque

plusieurs ) c’est à dire: • on se retrouve entre personnes du même âge, avec les mêmes centres d’intérêt, utilisant le même langage ; • on se reconnaît grâce à un code, un symbole, on est sur un territoire défini ; • le groupe peut commettre des incivilités type insultes, tapage, tags etc., voire même des actes de délinquances, vols, bagarres de rues (souvent contre d’autres bandes, et depuis quelques années en dehors des territoires, des rendez-vous dans les grandes gares parisiennes par exemple)

sport est parfois un débouché des violences sociales et voire même une cause. En effet, les évènements sportifs sont parfois pris comme prétexte pour la violence de toutes natures : violence verbale (propos racistes), violence physique (bagarres), incivilités (gestes obscènes) voire même le dopage. Néanmoins, les fédérations sportives ont le devoir d'établir des cadres legislatifs pour lutter contre ces formes de violences. Actuellement, on voit de plus en plus la montée des extrêmes se manifester dans

désagréments comme le bruit, le chahut permanent, l’absence d’écoute, les moqueries, surnoms, rumeurs…qui viennent empoisonner l’ambiance d’une classe et dégradent toutes les relations que ce soit entre enfants, entre adultes et enfants. En effet, les incivilités les plus banales semblent être des menaces contre l’ordre établi, transgressant les codes de la vie en société, le code des bonnes manières. La violence verbale étant d'autant plus perverse, qu'elle s'effectue dans le non-dit (gestes), voire même