Inconscient Autrui

moral n a aucun contenu elle a une forme c est l universalité. Il faut que je puisse universaliser ma maxime par ex si je fais une promesse je dois la tenir car si tout le monde fait comme moi le monde n a plus aucun sens De plus je dois considerer autrui comme une fin avant de le considérer comme un moyen. Par ex je dois dire bonjour au chauffeur de bus. Mais surtout je dois décider par moi-même de ce qui est moral ou pas je ne dois pas juste obéir. Le devoir moral commande-t-il toujours Le devoir

deux sortes de langages , le langage interieur qui ne peut etre percu par autrui et le langage exteriorisé par la pensée. La violence est l'utilisation de la force soit physique soit morale pour nuir a autrui ou pour blesser Pour la plupart des individus la parole peut servir a renoncer a la violence , pour eux on peut faire preuve de diplomatie pour eviter d'utiliser la force et arriver a ses fins sans blesser ni nuir a autrui mais communiquer c'est toujours en quelque sorte exprimer ses idées ?

L'enfer, c'est les autres »SARTRE · Solitude choisie, pour faire le point, se reposer « La solitude est une manière de se croire retiré du commerce des hommes mais ce n'est qu'une manière d'être avec autrui comme absent » WAELHENS I) La conscience de soi semble s'effectuer en rapport à autrui En plus si on parle de conscience psychologique, elle porte sur des faits, et on ne peut pas réelement en accomplire dans la solitude (enfin c'est ce qu'il me semble).

indispensable Extrait du document: Selon Michel Tournier, Autrui est la pièce maîtresse de notre univers. La crainte éprouvée par une personne face à une tierce personne naît du sentiment d'infériorité ressenti par la personne émettrice de ce sentiment de crainte. Le regard est le fondement de notre langage. Il représente l'élément premier de communication entre les êtres vivants avant même cet instrument de communication qu'est la parole. Autrui est notre prochain, que l'on rencontre dès que nous commençons

Autrui ou moi il faut choisir _ Merleau-Ponty Le pronom personnel ‘’ on ‘’ , utilisé dans la première affirmation fait référence à Sartre qui lui-même a repris les pensées d’Hegel. Merleau-Ponty donne une image caricaturale de l’idée de Sartre , en la simplifiant avec une légèreté volontaire. Merleau-Ponty tourne l’idée de Sartre en dérision. Par le terme ‘’ en réalité ‘’ , Merleau-Ponty sous entend que Sartre est partiellement dans l’erreur. Il ne disqualifie pas la pensée de Sartre mais il y

vitres brisées, les groupes de jeunes impolis et parfois agressifs assemblés au pied des immeubles. L'ordre en public se loge dans le respect des civilités (politesse, déférence, respect d'autrui), dans la négociation des entrées en relation avec autrui, bref, dans l'affichage du caractère pacifique de la personne. Dans la civilité se jouent les droits et les devoirs concrets de l'individu. Avec les incivilités, c'est le lien qui réunit les membres d'un ensemble qui se trouve questionné. Qu'est-ce

pas par essence, toujours seul ? La solitude est quelque chose de complexe qui comprend différents paliers, la mise en relation avec autrui est évidente car il est « l’autre, celui qui n’est pas moi » comme le dit Sartre. Nous allons donc nous demander si autrui est en mesure de palier a la solitude, qu’elle soit physique ou spirituelle. I : Les relations avec autrui se définissent par plusieurs degrés. Le plus bas de ces degrés est sans nul doute l’isolement. L’isolement, est un sentiment de démarcation

les spectacles offerts par la ville. * L’homme solitaire qui se fond dans la foule qu’on retrouve dans « À une passante ». Petits poèmes en prose « Les Foules » - « prendre un bain de multitude, joui de la foule et un art ». « être lui même et autrui » - « universelle communiant » qu’on retrouve dans « A une passante » , « Les Aveugles » / « Les veuves » , « La Belle Dorothée » . * Le créateur qui invente un monde. Il se présente comme un architecte et un créateur dans « Paysage » et « Rêve

Autrui Le problème principal qui est posé par autrui, par l’autre est le fait qu’il ne soit pas moi. Autrui, tout en étant distinct de moi, a quelque chose de commun à moi : la conscience. Il occupe cette position particulière c'est-à-dire qu’il n’est pas moi mais il a quelque chose qui le met sur le même plan que sur ma propre conscience. On se comporte avec autrui de telle façon à ce qu’il influence mon attitude, le personnage que je joue.C’est quelqu’un qui, par son regard nous montre ce que

l'origine de mes désirs. Mais mes désirs ne sont-ils pas au départ suscités par autrui? Ne sont-ils pas la reproduction de quelque chose ou de quelqu'un et m'appartiennent-ils donc vraiment? Ou bien mes désirs sont-ils guidés par mon inconscient? Un inconscient qui m'appartiendrait? Et lorsque je prends réellement conscience de mes désirs et de mon existence, suis-je alors maître de ces désirs? I. Désirs suscités par autrui Si l'homme était solitaire, et n'avait aucun contact, quel qu'il soit, avec