Inconscient Autrui

société est la justice, celle-ci risque d'être inefficace voir même non compétitive. Ce qui je crois occasionnerait de nouveaux problèmes sociaux. La justice, interviendra notamment quand un citoyen se sent lésé par le non respect de ses droits par autrui ou plus globalement par la société ou encore le gouvernement lui-même. C’est pourquoi elle est sans contredit, essentielle au bon fonctionnement de notre société. L’efficacité, quant à elle, a aussi une grande importance dans le bon fonctionnement

preuve de ses capacités vis-à-vis de l’autre. « De même, il ne consacrerait pas le moindre effort au beau, s'il ne devait pas là, comme il l'attend, être vu et admiré par d'autres. », nous pouvons interpréter ce passage comme le fait que l'Homme avec autrui n'agit pas de la même manière que s’il eut était seul. Dès lors qu'il se rend compte qu'il est observé, jugé, il change de comportement. Il se met à faire attention à l'image qu'il renvoi. Le sentiment d’être constamment épié apparait dans l’expression

n’est pas moi, nous incite à réfléchir sur le jugement d’autrui et le rapport avec moi-même car autrui peut-être a la fois mon semblable et un sujet différent de moi. Ce sujet met en question le difficile rapport du moi aux autres. Que sont les autres pour moi ? Et peut-on affirmer de droit que le regard d’autrui doit être craint, c'est-à-dire tenu a distance par peur d’un risque ? Peut-on considérer autrui comme un juge dont le seul regard va délivrer la sentence ? I) Le regard que les autres

tête, personne ne peut ressentir se que je j'éprouve. Ainsi on ne peut mettre fin a la solitude sur se point métaphysique . C'est donc une illusion de croire que l'ont pourrait supprimer la solitude se que l'ont peut oter c'est la séparation avec autrui qui donne se sentiment d'isolement. Cela explique qu'il est totalement possible de ressentir un sentiment de solitude même au milieu d'une foule on doit donc assumer sa solitude interieur. Par essence nous sommes seuls le refus de la solitude est

Supposons donc la présence d'autrui tel un repère contre la solitude. Autrui offre d'abord un repère social et, à l'inverse, la solitude est déshumanisation. Roquentin dans La nausée de Sartre, note qu’à force de refuser le contact des autres, il sent qu'il perd son éloquence, il semblerait que sa vivacité mentale ne se développe qu’au contact immédiat des hommes. La présence d'autrui est donc la marque de notre humanité. Si autrui par sa présence physique permet d’obtenir des repères sociaux et de

sincérité peuvent être associées, il faut prendre le cas de l’honnête homme. L’honnête homme est quelqu’un de sociable et qui se comporte bien en société : il est donc poli. On peut aussi dire que la politesse est une forme de bienveillance envers autrui car on essaie de ne pas le blesser. On parle alors d’un élan de sincérité du cœur. Malgré que la politesse soit contraignante car il s’agit d’une règle à respecter, on y trouve une certaine liberté. On s’approprie la politesse et on choisit avec qui

L'AMITIÉ EST-ELLE LA FORME IDÉALE DU RAPPORT A AUTRUI ? A première vue, l’amitié pourrait bien constituer la relation idéale à autrui, car elle semble être une véritable relation de sujet à sujet, où l’autre m’apparaît comme mon alter ego, que je peux chercher à connaître et comprendre, notamment par le biais de la confiance et de la confidence. Pourtant, est-il possible de vraiment comprendre autrui, même s’il est mon ami, dans la mesure où sa subjectivité me restera à jamais mystérieuse ? De

La violence est-elle un phénomène actuel? I Qu'est-ce que la violence? La violence est une forme extrême d’agression, qui constitue une tentative délibérée pour provoquer chez autrui une blessure physique ou psychologique sérieuse. La violence est un terme général employé pour décrire un comportement agressif, non amical, non pacifiste, autrement dit une contrainte ... La violence peut s'expliquer comme une réponse de violence, une personne étant victime de violence peut se venger en répondant

Citoyenneté et Civilité Civilités Incivilités La civilité, c’est l’ensemble des choses qui peuvent améliorer la vie d’autrui. La civilité :  Aider une personne âgée à traverser, lui porter ses courses, lui céder sa place dans le bus…  Aller voter  Respecter un orateur (professeurs, politiques, …)  Etre poli  Donner la priorité aux piétons non fumeur  Trier les ordures  Aider des personnes âgées ou handicapées  Donner son sang 

rapport à autrui est fondamental. On peut donc se demander si ne pas être comme les autres (leur être différent) consiste donc à être soi-même. A priori, il semblerait que oui, mais nous verrons que la réalité est plus ambiguë, en cherchant d’abord à définir ce qu’est qu’être différent, puis ce que peut signifier qu’être soi-même. Partant de ce principe, on cherchera à montrer dans un premier temps qu’il est nécessaire d’être différent d’autrui, puis ensuite que cette différence à autrui doit s’accorder