Induction

l'induction (procédé consistant à observer différents cas particuliers pour en tirer une généralité . C'est la création d'un modèle par l'expérience . ) et grâce à la déduction (procédé inverse de l'induction consistant à utiliser un modèle obtenu par induction pour prévoir un cas particulier .) Le principe est de chercher les causes du changement et de la diversité de la réalité observable, pour en tirer une connaissance stable . Il distingue quatre types de causes constituant un être : la cause matérielle

l’adversaire (origines, caractères, comportement, physique...) Types de raisonnements : • Par déduction : part de propositions générales admises comme vraies pour établir une nouvelle proposition, un fait particulier qui en soit la conséquence • Par induction : par de faits particuliers, puis généralise pour dégager une loi, une règle • Syllogisme : type de raisonnement codifié ( X=Y, Y=Z, donc X=Z Socrate est un homme ; tous les hommes sont mortels, donc Socrate est mortel ) • Par l’absurde : démonte

dons ou de legs, autant que les enfants nés/ Un enfant pas encore né peut aussi bénéficier d’une assurance souscrite par un parent./ - On a induit un principe général : l’enfant simplement conçu est présumé né lorsqu’il en va de son intérêt Induction puis déduction en passant par un principe (plus ou moins général), pour en déduire ensuite des conséquences pratiques.

3. - Comment peut-on concevoir des techniques sans la science ?   Si la technique requiert toujours des savoirs, elle n'a pas nécessairement besoin de savoirs scientifiques pour être conçue : des savoirs empiriquement acquis, c'est-à-dire par induction, par généralisation d'observations singulières, sont suffisants pour inventer des techniques simples ou complexes, comme la machine à vapeur ou l'avion. La technique ne dépend pas de la science exclusivement parce que tous les savoirs qui sont nécessaires

questions, un ou deux thèmes importants au regard de la problématique. Cela implique aussi de classer les idées au brouillon. Il faut ensuite structurer la pensée, c’est le syllogisme. On peut développer le syllogisme de deux manières : soit une induction soit une déduction. Dans l’induction on part des faits (majeure) on regarde ce qu’on peut en dire au regard du droit (mineure) et en conclusion on dit quel est le résultat de cette confrontation au droit. La déduction part du droit (majeure) en mettant

1-definir et classer la batterie de cuisine ?Definition -- La batterie de cuisine comprend tout le matériel nécessaire mobile à la préparation des aliments et la cuisson. Le matériel mobile d'une grande cuisine est un véritable outillage, il doit être réalisé avec des matériaux très résistants en raison de la fréquence de son utilisation //Classification--❖ Le matériel mobile de cuisson ex : russes, sautoirs. ❖ Le matériel de préparation et le matériel à débarrasser ex : plaque, calotte, bahut..

est plus dans l’abstrait. En effet, Platon dit qu’il doit y avoir une définition parfaite pour tout, mais ne peut pas donner de définition à la beauté. Aristote dirait qu’on devrait employer l’observation avec l’ induction , le fait d’analyser et réfléchir sur plusieurs cas qu’on observe est déduire un point en commun invariable qui est lier entre tous nos observation. Il commence par ce demander ce qui est concret. Il dit qu’on peut définir les formes

pathologiques : insuffisance rénale, insuffisance hépatique, obésité Liaison aux protéines : les molécules liées ne peuvent pas être filtrées, donc si un médicament est sous forme libre il sera entièrement filtré. Interactions médicamenteuses : inhibition, induction… Partie 2 : Aspect quantitatif de la pharmacocinétique et détermination des paramètres pharmacocinétiques Biodisponibilité (F) : paramètre permettant de quantifier la résorption. C’est la fraction du principe actif administré sous forme de

(suite) : 4) la variété des types d’inférence. Inférences ampliatives (induction, abduction) vs non-ampliatives (déduction). La différence épistémique fondamentale entre les inférences ampliatives et non-ampliatives. Quelques exemples d’inférences inductives. Les inférences déductives basées sur des énoncés conditionnels : modus ponens et modus tollens. La variété des inférences inductives : induction énumérative, induction éliminative inférence par analogie. Inférence abductive (inférence à

réunit dans un même texte un projet artistique et un exemple d’application. Mais à l’inverse de son illustre devancier qui en bonne logique définissait d’abord la règle avant de se livrer à un modèle, Breton, dans son souci de rupture, procède par induction : d’abord plusieurs faits apparemment disjoints dont il tire une prescription. Quelques pistes qui ne prétendent pas épuiser la pensée d'André Breton : • Le surréalisme se veut en rupture avec l'ordre classique bourgeois : dans le classicisme