Industrie Textile Indonésie

cause le partenariat avec Planète Urgence. Annexes : Annexe 1 : Reprocolor, poids lourd de l'impression numérique, s'installe à Hallennes Annexe 2 : Les activités de Reprocolor Annexe 3 : Planète Urgenge et ses actions pour la reforestation en Indonésie Annexe 4 : Le marché de l’imprimerie Annexe 5 : Développer de nouveaux services Annexe 6 : L'impression 3D quadri arrive à Lille, chez Reprocolor ! Annexe 7 : Quel avenir pour l'impression 3D ? 15MGTIN1 2/8 Annexe 1 : Reprocolor, poids lourd

la main-d’oeuvre était en pénurie, ce qui conduisit à une hausse des salaires. Selon HJ HABBAKKUK, les entreprises eurent alors recours à des méthodes de labour-saving (afin d’économiser sur ce facteur coûteux), notamment dans la mécanisation du textile ou l’adoption de nouvelles méthodes de fabrication de la fonte à la houille. • La dynamique des marchés Le point précédent a montré que la disponibilité des facteurs de production était une condition permissive de la croissance et l’existence de

fibre de coton a marqué notre histoire industrielle et a entraîné un essor remarquable de l’industrie textile. A- L’historique du coton L’histoire du coton est assurément ancienne. Le premier mot pour désigner clairement le coton est celui du vieux Sanskrit « Karpasi ». Ce mot donnera plus tard « Karpas ou Kapas », c’est ce mot qui est resté pour désigner le coton-graine en Inde et en Indonésie. C’est ce mot que l’on verrait évoquer dans sa version en hébreu de la Bible, vers 1500 ans avant J-C

qui franchit régulièrement la barre des 10 %. Ces pays ont pour objectifs de se positionner comme bases économiques et ce notamment en se tournant vers les exportations vers l’étranger, ils se focalisent surtout sur les industries de faible technologie ( par exemple le textile ) pour lesquelles ils ont un certain avantage comparatifs . ( Sauf Singapour qui se spécialise dans le pétrole et ses dérivés). Dans les années 1980-1990, on assiste à un véritablement changement de leur économie, ils passent

pays en développement Le monde a connu depuis la Seconde Guerre mondiale une forte croissance économique. Mais cet enrichissement spectaculaire s'accompagne de l'accentuation manifeste des inégalités : 15 % de la population contrôlent de 75 % (industries, commerce) à 85 % (capitaux, technologies, informations) de la richesse mondiale. Quels éléments distinguent les pays riches des pays pauvres ? L'évolution va-t-elle dans le sens d'un renforcement ou d'une disparition des inégalités ? 1. Caractéristiques

Plus que les autres aies de puissance, celle de l'Asie orientale a une activité industrielle importante. On parle d' « atelier du monde », plus particulièrement pour la Chine. Tous les types d'industrie y sont représentés: industrie lourdes (constructions navales, sidérurgie), textile, chimie, électronique, nanotechnologie,automobile. Tous ces domaines utilisent des technologies de pointe, comme le montre le développement de la robotique. L'Asie orientale assure le ¼ du PIB mondial (Japon: 15%, Chine:

G2 : Une diversification des espaces et des acteurs de la productionDiversification  : processus qui mènent vers plus de diversité Acteur  : personne ou état ou une communauté urbaine qui agit. Comment les espaces de production se recomposent-ils dans le contexte de la mondialisation ? I. Les espaces de production dans le monde : une diversité croissante A. Une géographie de la production des richesses en

Japon s’est centré sur un choix méthodique des produits qui constituent tout d’abord une importante valeur ajoutée technologique et aussi une forte demande au niveau mondial. Et ainsi elle abandonne les activités les moins rentables et booste les industries pour innover toujours plus et ainsi être à la pointe de la technologie. D’un autre côté, elle est aussi au 4ème rang des exportations mondiales (en se basant comme nous l’avons dis plus tôt sur le secteur technologique prioritairement). Le Japon

porte-parole d'agriculteurs E) La fin des Accords Multifibres : L’Accord multifibres régissait le commerce international dans la filière textile depuis 30 ans par des quotas d’importation. Il a pris fin en 2005, et en 2008 pour la Chine. Ce système de quotas avait été instauré pour protéger les industries du Nord face à l’ouverture progressive des marchés aux produits textiles des pays du Sud, beaucoup plus compétitifs en raison du faible coût de leur main d’œuvre. Mais s’ils ont limité les exportations des grands

celle de l’Asie Orientale a une activité industrielle importante. Les économistes assimilent déjà la région à « l’atelier du monde ». Toutes les industries y sont représentées, de l’industrie lourde (construction naval et sidérurgie) à la fabrication de jouet principalement en Chine, en passant par le textile, l’électronique et la robotique. Forts d’une industrie efficace et d’une main d’œuvre abondante et bon-marché, le Japon et la Chine se hissent même au rang de 4e et 3e exportateur mondial. Les marques