Inégalités de revenu en France

Chapitre 4: Stratifications sociales et inégalités. I- la dynamique de stratification sociale. 1) la diversité des inégalités éco et sociales. a) les instruments de mesure des inégalités. Les déciles: 30 millions d’actifs occupé sur 63 millions (42%) => 90% (27millions) de salariés parmi les A.O. Divisible par 4 (quartiles) ; par 10 (déciles) D1 est la valeur de salaire tel que 10 % des salaries ont un revenu inférieur. D5 divise la masse en 2 parties

CORRECTION : La réduction des inégalités est-elle un frein à la croissance ? Le gouvernement Raffarin projette d’instaurer une amnistie des capitaux sortis de France illégalement : en payant une taxe légère, les ménages pourraient rapatrier leurs capitaux qu’ils avaient placé à l’étranger. L’objectif de cette mesure serait d’accroître la quantité de capitaux prêts à être investie en France. Pour être efficace, elle devrait être couplée avec une autre stratégie : la réduction de l’imposition des

et la ou les lettres correspondantes à la bonne affirmation. 1- Comment qualifie-t-on la baisse des inégalités ? a- baisse cyclique. b- baisse irréversible. c- baisse séculaire 2- Depuis les années 90, comment les inégalités évoluent-elles en France ? a- elles s’accroissent. b- elles se stabilisent. c- elles diminuent. 3- En France, quand les femmes ont-elles obtenu le droit de vote ? a- en 1924 b- en 1934 c- en 1944

Les enjeux de la redistribution L’observatoire des inégalités cherche à établir un état des lieux des politiques de redistribution le plus complet possible. La mesure de l’efficacité des politiques de redistribution et enjeu majeur de l’action de l’État et des organismes sociaux. Je réalise l’étude sur les enjeux d’une politique de redistribution pour l’Observatoire des inégalités. Il est mis à ma disposition différents documents d’information et d’analyse sur le sujet. Dans une première

Exposé sociologie Les inégalités scolaires entre l’amont et l’aval. Organisation scolaire et emprise des diplômes. Introduction Texte de la revue « Sociologie » publié en 2010. Trois chercheurs en sociologie qui ont écrit cette enquête. Marie Durut-Bellat, sociologue spécialiste des questions d’éducation, François Dubet, sociologue également, Il s’intéresse à la marginalité juvénile, à l’école et aux institutions de l’éducation. Antoine Vérétout, sociologue du travail et de l’emploi

| 2- En France, d’après la source internet : www.vie publique.fr, sur la structure de prélèvement obligatoire (PO), datant de 2007, la part des cotisations sociales représente 16.3% du PIB. D’après la source www.vie publique.fr, sur la structure de PO de 2007, le taux de Prélèvement Obligatoire de la suède représente 50,7%. 3- La spécificité de la France par apport aux autres pays, est d’avoir la part de cotisation sociale la plus élevée, c’est-à-dire 16.3% du PIB. La France a aussi la

I. Les objectifs et les instruments de la redistribution A. Définitions La redistribution consiste à prélever une partie des revenus primaires de certains agents économiques et à la transférer vers d’autres agents. La redistribution est opérée par les administrations publiques (APU) et a pour objectif général de corriger la répartition initiale des revenus. Les principaux prélèvements sont les cotisations sociales et les impôts. Les principaux transferts sont les prestations sociales et

Inégalités sociales de santé en France Philippe Pépin, ORS Ile-de-France et François Tuffreau, ORS Pays-de-la-Loire En France, sur la période 2000-2008, les écarts d’espérance de vie à 35 ans entre cadres et ouvriers atteignent 6,3 années chez les hommes et trois ans chez les femmes. Toutes les catégories sociales ont bénéficié de l’augmentation de l’espérance de vie entre les périodes 1976-1984 et 2000-2008, mais les écarts d’espérance de vie entre ouvriers et cadres masculins se sont légèrement

mesures visant à réduire les inégalités de revenus, et à assurer un minimum vital à tous les citoyens. Il s’agit dans un premier temps de corriger les défauts de la répartition primaire en réduisant les inégalités de revenus et en prenant en charge les individus exclus de cette répartition (ex : les personnes n’occupant pas d’emploi). Dans un second temps, certaines politiques sociales visant à lutter contre les inégalités sociales (étroitement liées aux inégalités de revenus) peuvent être financées par

cesse redéfinies, où les inégalités diminuent, les classes sociales tendent à s’estomper au profit de la formation d’une vaste classe moyenne. Or, dans la lignée de cette analyse, les transformations sociales connues par la France dans la seconde moitié du 20° siècle, ont permis à certains sociologues d’affirmer la tendance à une« moyennisation » de la société française. La forte croissance, le développement de l’Etat-Providence ont permis une réduction des inégalités économiques et sociales. La