Infection nosocomiale

Questionnement...................................................................................Page 4 5. Mobilisation des ressources…………………………………………..….Page 5 L’hydrocèle L’Indice de Masse Corporelle (IMC) Le décalottage L’infection nosocomiale Risque d’infection lié au non décalottage 6. Analyse de la pratique ………………………….……………...…………Page 6 Evaluation de la pratique ………………………………………………...……….Page 7 Conclusion …………………………………………………………………………Page 7 Sources Annexes Introduction :

hospitalière : Exemple de risques nosocomiaux : Eau froide => pseudomonas aeruginosa => colonise les plaies Eau chaude => légionellose qui s’inhalent par les goutelettes Siphon => eau stagnante => transmission croisée BMR Air => tuberculose, grippe, aspergillose Surfaces et dispositifs médicaux => transmission croisée BMR, virus, spore de clostridium difficile Elimination des déchets : AES Gestion du linge= > transmission croisée bactéries, poux Gestion des repas => TIAC (toxi infection alimentaire collective)

toilettes au lit à effectuer dans un temps limité Le personnel soignant ne pense pas que les germes présents dans les liquides biologiques peuvent être source d’infection Questionnement : En quoi un bon usage des gants participe à la prévention des infections associées aux soins? I) Cadre de référence 1.1) Le port des gants : fait partie des précautions « standard » cela veut dire que ce sont des mesures systématiques destinées à assurer une protection des professionnels et des patients vis-à-vis

" Définition du mot Flore microbienne : Ensemble des différentes espèces de bactéries colonisant une région du corps. S'applique principalement à la cavité vaginale ou rectale Port de gant important : - 70 à 80% des infections sont manuportées - La meilleure prévention est le lavage des mains - Le port de gants n’exclut pas le lavage des mains La peau constitue l’un des organes les plus importants du corps humain Elle forme une barrière contre les agressions venant de l’extérieur

La commission régionale de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux, infections nosocomiales et affections iatrogènes Depuis environ 30 ans. Lorsque est intervenue la loi Kouchner du 4 mars 2002, la Nouvelle Zélande (depuis 1972), la Suède (depuis 1975), l'Allemagne, le Danemark, le Royaume Uni, la Finlande avaient institué des procédures spécifiques visant à obtenir une indemnisation sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours aux tribunaux. Dans ces pays, il suffit que le

fr/science/sante/index.htm) Exercice 2: a) Une infection nosocomiale désigne une infection contractée au cours d'une hospitalisation, infection qui n'existait pas auparavant ni, d'ailleurs, durant les 48 premières heures à l'hôpital. (http://www.vulgaris-medical.com/encyclopedie/nosocomiales-infections-5710.html) b) La colibacille (Escherichia coli - 25 %) et le staphylocoque doré (Staphylococcus aureus - 19 %) sont des micro-organismes responsables des infections nosocomiales. (http://www.inserm.fr/thematiqu

La place de l’hygiène des mains et de leurs propretés tient une place importante dans le contact entre soignant et soigné, car c’est un vecteur de contamination directe et indirecte des germes pathogènes, et augmentant ainsi les risques d’ infections nosocomiales par transmission manu-portée. Au niveau de Madame G : L’état de ses ongles avec les germes et microbes (la flore résidente), vu qu’elle s’est grattée toute la nuit ou une bonne partie du moins. Son état cutanée à cause des différents

lutte contre les infections nosocomiales (Mme Tamamès – Cadre hygiéniste) 1. Définissez le sigle CLIN. Réponse : Comité de Lutte contre les Infections nosocomiales. 2. Citez quatre missions du CLIN Réponses : - Prévention des infections nosocomiales par l’élaboration et la mise en œuvre de recommandations de bonnes pratiques d’hygiène. - Surveillance des infections nosocomiales sur l’hôpital. - Formation des personnels. - Rapport annuel sur les infections nosocomiales. 3. Citez

Sur l’engagement de la responsabilité de l’hôpital en vue d’une indemnisation d’une infection nosocomiale. L’article L.1142-1 du code de la santé publique résultant la loi n° 2002-303 du 4 mars 2002 modifiée sur les droits des malades et la qualité du système de santé prévoit l’engagement de la responsabilité sans faute d’un professionnel ou d’un établissement de santé notamment en cas d’infections nosocomiales d’un usager. De plus, l’article L.1142-1-1 du même code, issu de la loi n°2002-1577

de l’absorption et le risque infectieux. Les complications locales de la perfusion peuvent être des rougeurs, des œdèmes ou encore des abcès. Les infections liés aux soins  : Selon le ministère de la santé, de la jeunesse et des sports , du CTINILS ( comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins ) : «  Une infection est dite associée aux soins si elle survient au cours ou au décours d’une prise en charge ( diagnostique , ,thérapeutique , palliative ou éducative)