Infection nosocomiale

serait d'environ 2 millions et le nombre de décès compris entre 40 000 et 70 0004 (sixième maladie en nombre de décès causés). Elle représente l'infection nosocomiale la plus fréquente.L'ex-président américain Reaganen est mort4. Les causes de pneumonie sont nombreuses et variées, et diverses sources peuvent additionner leurs effets : infections bactériennes ou virales, les plus fréquentes (80 à 90 %). Les germes les plus souvent identifiés sont, par ordre décroissant, le Streptococcus pneumoniae

SUPPORT INERTE AIR SUJET PREDISPOSE Dr FIACRE FLORES ET INFECTIONS 3 grandes classes pathogènes : intrinsèque contagion réservoir : homme malade ex : tuberculose - lèpre - syphilis - choléra - peste - fièvre typhoïde méningocoque - gonocoque commensaux : réservoir : homme sain gradient de potentiel pathogène non spécifiques saprophytes : pathogènes possibles tétanos - gangrène gazeuse - légionellose - aspergillose Dr FIACRE Donc infection quand : • le bon germe • au bon endroit • en quantité suffisante

d'infection de sa plair ( infection nosocomiale) besoins perturbes *se mouvoir et maintenir une bonne posture en lien avec sa perte d'autonomie *Etre propre et protéger ses téguments Toilette seulement du visage et du buste de manière autonome le reste est fait par les soignants *besoin d'eliminer (est continente mais impossibilité de se mouvoir car repos strict au lit donc elimination se fait avec le Bassin) *Eviter les dangers Attention aux infections nosocomiales sur sa plaie role

contraignante en terme de disponibilité Analyse de scénarios cliniques Objectifs de l’évaluation Analyser avec des professionnels d’un service, les défenses présentes et possibles concernant la thématique de prévention choisie (BMR, prévention des infections sur CVC, gale …) Comprendre les difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de la stratégie de maîtrise Mettre en place des actions d’amélioration Analyse de scénarios cliniques Méthode Lieu de mise en œuvre : Unités de soins sélectionnées

Dans certains cours enseignés lors du semestre 1, on peut retrouver des règles d’hygiènes : - - - Infections Associées aux Soins. Dans ce cours nous apprenons la définition des IAS : « infection survenant chez un patient, un professionnel de santé, ou un visiteur au cours ou au décours d’une prise en charge (diagnostique, thérapeutique, palliative, préventive). Cette infection n’étant ni présente ni en incubation au début de la prise en charge. » Précautions standard. Selon la circulaire

sur le meilleur usage des gants non stériles. Le port de gants est un point important pour les précautions standards en milieu médical. D'après les «100 recommandations pour la surveillance et la prévention des infections nosocomiales, 1999» du comité technique des infections nosocomiales, les gants non stériles doivent être changés entre deux patients et deux activités. Ils est préconisé de les porter sur des durées relativement courtes afin de respecter leur temps de protection (30 à 45 minutes

en France nous avons de nombreuses recommandations, diffusion des SHA pour la désinfection des mains, (2002 CTIN, SFHH) et surveiller et prévenir les infections associées aux soins (Ministère de la Santé 2010). Les précautions complémentaires viennent en complément des précautions standards. Leurs objectifs : éviter les maladies nosocomiales, les épidémies. La mise en œuvre de la surveillance des AES fait partie des contraintes règlementaires et des exigences de qualité qui s’imposent aux établissements

le SHA n'est pas toujours à disposition dans les salles de consultation. Cependant un bon lavage des mains est une des précautions standards afin d'éviter les infections nosocomiales car il élimine la flore transitoire(flore de la peau qui acquiert des microbes de l'extérieur).Ces infections se transmettent de soignant à patient, de patient à soignant et de patient à patient. Afin d'améliorer cette situation, il serait éventuellement possible de mettre à disposition d'avantage

ire Maîtrise du risque infectieux en eHPad ficHes tecHniques / Pratiques Préface La prise de conscience du risque infectieux dans les EHPAD est relativement récente. Plusieurs enquêtes tant en France qu’en Europe ont montré la réalité des infections associées aux soins (IAS) chez les résidents des structures d’hébergement. Actuellement, nous pouvons penser que la fréquence des IAS tourne autour de 4 à 11 % selon les critères de définitions, qui, il faut le reconnaître, ne font pas l’unanimité

réintégrer le circuit propre. Ainsi, tout le matériel entré doit impérativement être porté au circuit sale, tout ceci ayant pour but d’éviter le transport de micro-organismes qui pourraient provoquer des infections chez d’autres résidents, et notamment des infections nosocomiales. Une infection est dite nosocomiale si elle est absente lors de l'admission dans un établissement de santé et qu'elle se développe 48 heures au moins après l'admission. Quand aux micro-organismes, ce sont des germes qui peuvent être