Inflation Choc Petrolier

1970. Le choc pétrolier d'octobre 1973 en a été l'accélérateur mais des indices précurseurs étaient présents bien avant. A partir de 1974 commence une période de récession mettant fin à la prospérité des Trente Glorieuses et remettant en cause le credo capitaliste d'un marché capable de s'autoréguler. Dès lors apparaît le terme de crise, c'est-à-dire une rupture d'équilibre entre la production et la consommation. Mais cette crise que l'on voyait conjoncturelle, car liée à un choc pétrolier, se mue

place de mécanismes étatiques de redistribution de la richesse. Tel est, pour l’essentiel, le régime de régulation de la société qui a accompagné la croissance économique des pays industrialisés depuis la période de l'après-guerre jusqu'au premier choc pétrolier de 1973-1974. Ces trois principaux traits de caractérisation de nos sociétés furent remis en question au milieu des années 1970. Les nouvelles exigences du marché modifièrent la logique traditionnelle de production de masse au profit de la

crises connues par les pays. La crise est une baisse du développement qui est ponctuel avec comme élément perturbateur le Krach boursier et qui augmente le développement du chômage et la baisse des productivité mais aussi une inflation toujours très élevé du aux chocs pétroliers, contrairement aux dépressions qui sont de longue durée. Le document montre également le PIB par habitants qui augmente, avec l’Europe de l’ouest à 1 204 dollars en 1820 puis à 19 256 dollars en 2000 mais aussi avec les Etats-Unis

marquée par le développement de la dette , publique et privée. Dans un contexte de surchauffe inflationniste, le choc pétrolier amplifie la hausse des prix dans les pays importateurs et ponctionne par l'augmentation des factures pétrolières un prélèvement estimé à 1,5% du PIB. Il va en résulter une sévère récession. En 1974 les économies occidentales doivent faire face au premier choc pétrolier, l'énergie est devenue chère. Les petrodollars s'accumulent et un océan de liquidités se constitue. Les banques

(français): cycles purement économiques : reprise, extension, crise et une phase de récession). c. Les cycles de Schumpeter : II. La diversité des évolutions conjoncturelles A. Les évolutions économiques depuis 40 ans : • 1973 -1981 : choc pétrolier – (73, 79) et stagnation de l’économie avec une croissance ralentie et une augmentation du chômage. ÉCONOMIE DE TENDANCE LIBÉRALE – POLITIQUE DE RELANCE PAR LA DEMANDE. • 1983 – 1990 : phase de désinflation : croissance reprend au ralentie

parents. Nés avec la télévision et la société de consommation, ils ont acquis une grande confiance en leur capacité de réussir leur vie. Cet optimisme a cependant été ébranlé dans les années 1970 par la crise économique qu'ont entraînée les deux chocs pétroliers successifs. Confiants, malgré tout, en leur avenir, les baby-boomers ont pu se concentrer sur eux-mêmes et sur la réalisation de leurs aspirations. Leurs valeurs sont : l'amélioration de soi, la liberté, l'individualisme, la volonté de réaliser

III Analyse du document : Chacune des sérigraphies à la pierre noire fait 60 x 200 cm Pour les expulsés il a réalisé 4OO sérigraphies qu’il a collées sur les façades des murs d’Avignon. Entre la fin de la seconde guerre mondiale et le premier choc pétrolier la France a eu besoin de se reconstruire et a fait appel à de la main d’œuvre étrangère et surtout nord africaine mais après la crise ces étrangers ont été oubliés et mis à l’écart. L’artiste les a rencontrés, a dialogué avec eux, ils ont compris

Suite II) Dévellopement : 2) La crise ne date pas d’aujourd’hui. Depuis les années 70 – période du 1er choc pétrolier – la France n’a cessé de connaître des crises successives. Une situation familière pour de nombreux français : 45 % de nos compatriotes sont nés après 1974 et 7 Français sur 10 avaient 18 ans en 1974. Il est alors peu étonnant qu’en avril 2009 81 % des Français estiment que la crise durera plus d’un an, voire plusieurs années. Dès lors, quelles sont les conséquences de la crise

aux prix ont résulté en une surprotection coûteuse pour le pays et peu rentable en prix économiques. Cette politique a pu être maintenue jusqu'au début des années 70 grâce aux revenus provenant des taxes sur les produits importés. Le premier choc pétrolier en 1973 provoque une hausse brutale des prix des phosphates ce qui permet au Maroc de quadrupler ses recettes d'exportations en 1974 et donc décompenser largement l'augmentation des prix de l'énergie. Le revenu du budget est multiplié par trois

1970. Le choc pétrolier d'octobre 1973 en a été l'accélérateur mais des indices précurseurs étaient présents bien avant. A partir de 1974 commence une période de récession mettant fin à la prospérité des Trente Glorieuses et remettant en cause le credo capitaliste d'un marché capable de s'autoréguler. Dès lors apparaît le terme de crise, c'est-à-dire une rupture d'équilibre entre la production et la consommation. Mais cette crise que l'on voyait conjoncturelle, car liée à un choc pétrolier, se mue