Inflation Chômage

majorité d’alors, sans parler des tensions au sein de cette même majorité, et entre Valéry Giscard d’Estaing et Jacques Chirac. Ainsi, un moins après sont arrivée à Matignon, le plan Barre du 22 septembre 1976 cherche à établir les grands équilibres : inflation limitée, monnaie stable, équilibre budgétaire et commercial et ceci, par des mesures contraignantes : les prix et les salaires les + hauts sont bloqués, tandis que la pression fiscal s’accentue. Ce qui domine alors incontestablement la vie parlementaire

hausse durable et cumulative du niveau général des prix. Mais constater une hausse des prix ne suffit pas pour qu'il y ait inflation. Par exemple, si les prix du pétrole subissent un choc à la hausse, il n'y a pas inflation tant que ce choc ne touche que le pétrole et ses dérivés. En revanche, si cette hausse est répercutée sur un grand nombre de produits, il y a bien inflation. L'inflation se mesure par la hausse des prix, mais elle ne s'y réduit pas. Pour mesurer la hausse du niveau général des prix

balance des paiements courants (=Exportations – importations) (il doit être le plus grand possible) – l'emploi : mesuré par le taux de chômage (il doit être le plus petit possible) – la stabilité des prix : évaluée par le taux d'inflation (il doit être le plus petit possible) Variation du PIB en % + Chômage - + + - + Solde extérieur Inflation Ces 4 objectifs sont pratiquement impossibles à réaliser en même temps, il faut donc se fixer des priorités. - c - Politiques conjoncturelles

Inflation mondiale : retrospective et perspectives. Le corpus documentaire mais en évidence que l’inflation mondiale est en baisse depuis le milieu des années 90 et ce, dans les pays industrialisés mais également les pays en voie de dévelopement. Ainsi nombreux sont les economistes qui commencent à ce poser une question : combien de temps ce phénomène va-t-il durer ? Pour cela les documents vont d’abord retracer historiquement cette désinflation mondiale. D’où le titre, d’abord étudier le passé pour

1) définition et différentes formes - inflation : augmentation des prix problème moins préoccupant que le chômage puisque les États peuvent intervenir pour la maîtriser, dans une fourchette qui varie entre 1% et 3% - la déflation : diminution des prix (rare) – Crise économique de 1929, baisse de prix à 11% relance de la consommation. - stagflation : (stagnation – inflation) diminution du PIB, augmentation des prix - hyperinflation (inflation galopante) elle suit une guerre ou une

L’inflation touche toutes les composantes de l’économie, des dépenses de consommation aux investissements des entreprises et au chômage, sans oublier les programmes gouvernementaux, les politiques fiscales et les taux d’intérêt. Qu’est-ce que l’inflation ?  L’inflation est une hausse durable du niveau général des prix. Si une inflation modérée est un signe de croissance, une forte inflation peut traduire une surchauffe de l’économie. En période de croissance économique, les dépenses en biens et services des

décembre 2010 et décembre 2009, alors qu'ils avaient quasiment stagné l'année précédente. Cette inflation est en grande partie importée. Elle s'explique en effet par une flambée des prix de l'énergie, notamment du pétrole. Si l'on ne prend pas en compte les tarifs publics (électricité, gaz, tabac), ni les prix les plus volatils (énergie, produits frais), l'augmentation est beaucoup plus limitée. Cette inflation « sous-jacente », comme l'appellent les économistes, a même diminué en moyenne annuelle entre

- DISSERTATION - ( INFLATION ET CROISSANCE ( - Regard sur les relations - 1. INTRODUCTION La question importante qui va être traité ci-dessous, est celle de la relation entre l’inflation et la croissance économique, est-ce qu’ils s’entrelacent dans le vie socio-économique d’un pays donné ou pas. 1. a) qu’est-ce que l’inflation: L'inflation est la hausse du niveau général des prix, entraînant une baisse durable du pouvoir d'achat de la monnaie. Elle est généralement évaluée au moyen

premier choc pétrolier (1973) 4 2. Le deuxième choc pétrolier (1979) 4 3. Actuellement le troisième choc pétrolier 4 C. La cause financière 5 II. La crise et ses conséquences 5 1. L'inflation 5 2. La crise de la dette. 5 3. Chômage 6 III. Comment l'état agit face à la crise ? 6 A. Les politiques conjoncturelles 6 1. Solution keynésienne 6 2. Solution libérale 7 B. Les politiques structurelles 7 1. La politique énergétique 8 2. Les politiques sectorielles

monnaie découlant du premier 3) Chômage naturel/structurel : Pour Keynes il n’y a pas à proprement parlé de marché du travail, le niveau d’emploi résulte de l’investissement ( détermination macro économique : l’offre de travail va se confronter à la demande de travail (offre d’emplois) non pas par des mécanismes marchands mais à travers de rapports de force : patronats syndicats. Ce prix d’équilibre établi est négocié. ( Friedman reprend cette notion : un chômage structurel/naturel = résultant