Inflation Chômage

généralement prescrites. La microéconomie s’intéresse aux activités des unités économiques individuelles (entreprises, consommateurs…) et étudie l’ensemble des choix des agents économiques. La macroéconomie étudie divers agrégats tels que le niveau du chômage, de la croissance, de l’inflation au sein d’une économie. Cette double démarche s’appuie généralement sur une méthode « scientifique » (observation et induction) comparable à celle des sciences exactes (théorie, modèles). Si l’économie constitue bien

permet plein emploi (pr w*/P, Ld = Lo) - w/P  L Lo émane des ménages (maximis° utilité) : Lo = f (w/P) ↗ Lo’ >0 effet de substitu° // loisir, contraintes budgétaires Ld émane des entrepr. (maximis° profit) : Ld = f (w/P) ↘ Ld’ chômage involontaire imposs (sauf si interv° Etat) Production : niveau emploi détermine niveau prod° : L  Y (car dde s’ajustera à Y) à CT, K fixe => Y = f (L) ↗ (ms Y ↗ moins vite q L, car rendt décroît) à LT, Y = f (K,L) => on peut ↗ K pr

néoclassiques, la lutte contre le déficit public est une priorité, 1°- car ils veulent empêcher qu'avec ce déficit, il y ait une trop forte création de monnaie, qui pourrait être entreprise pour le financer. Cette création de monnaie amènerait à une inflation qui devrait augmenter les prix à l'intérieur du pays. Pour Friedman, chef de file des monétaristes, toute création monétaire n'augmente que la demande, sans augmenter la production, les prix progressent donc. Cette idée s'est imposée et, aujourd'hui

objectifs, avant de se pencher sur la question de l’indépendance vis-à-vis du pouvoir politique. I) Objectifs d’une banque centrale A – Limiter l’inflation La Banque centrale a pour objectif de stabiliser les prix. Elle sert à empêcher une inflation trop importante. C’est la mission des banques centrales, et plus particulièrement de la BCE, créée en 1998. Son objectif final est de garder un taux inférieur mais proche de 2%. Une question se pose alors : pourquoi 2%, alors que la stabilité des

conséquences sociales désastreuses (massacres ethniques, exodes massifs…), la conduite des politiques budgétaire et monétaire respectivement par les autorités politique et monétaire a produit les effets pervers redoutés. Il s’agit notamment d’une inflation galopante jamais enregistrée de par le monde, du fait du recours abusif à la planche à billets et d’une récession économique aux conséquences sociales dramatiques. A l’issue de la présente analyse, des propositions de sortie de crise basées sur

INFLATION : DEFINITION, CAUSES, CONSEQUENCES ET SOLUTIONS HISTORIQUE 1 | | | On trouve de nombreux exemples d'inflation et de déflation à travers l'histoire, mais aucun document détaillé ne permet de quantifier ces tendances avant le moyen âge. Les historiens ont identifié une longue période d'inflation entre le XVIe et le début du XVIIe siècle en Europe, quoique à un taux annuel moyen de 1 p. 100 à 2 p. 100 bien modeste pour notre époque. Un important changement eut lieu pendant

 Macroéco 2 parties : - PIB , inflation , chômage - Modèle IS.LM IS : biens et services LM : Monnaie CHAP I 1.1) Définition de la macroéconomie : La macroéconomie s'intéresse a la structure , au fonctionnement et au résultat de l'économie global , son objectif principal est d'expliquer les grandes tendances suivies par les agrégats économiques , tels que la production intérieure brute, le chômage , l'inflation , les taux d'intérêts , et la monnaie 1.2) politiques macroéconomiques :

tout les pays (dépression+tx de chômage). Elle contient aussi des limites. B) les enjeux autour de la création monétaire lien entre inflation et monnaie. Lien entre masse monétaire, croissance et emploi. 1Er lien : néoclassique 2ème classique : keynésiens 1) assurer la stabilité des prix néoclassique : trop de monnaie en économie est synonyme d'inflation. (aug du niv des prix) la BC doit veiller à ne pas fournir trop de liquidités aux Bcom (risque inflation). Elle doit respecter une règle

dépression, chômage en augmentation. La crise se stop grâce a la reprise. Récession : Croissance économique négative ( environs 6mois) → baisse de la production (prolongement récession sur plusieurs années) = dépression économique Fluctuations économiques : Ensemble de mouvement de ralentissement ou d'accélération du rythme de la croissance économique → repérage statistique des fluctuations (annuels, trimestriels, mensuels) = volume de production, prix, chômage, niveau de

le niveau élevé du chômage (8.1%) est gage d’une faible demande, qu’il conviendrait donc de relancer par l’investissement public. L’économie Britannique présente tous les signes de la trappe à la liquidité comme les autres économies développées. En témoigne la forme de sa courbe des taux. Des lors, une injection de liquidité massive n’est pas inflationniste et peut même être salutaire si elle parvient à modifier les anticipations des agents. b. …Et frappée d’une inflation probablement transitoire