Inflation Et Anticipation

trouve la monnaie fiduciaire la monnaie divisionnaire, contrôlé par l’Etat ou la banque centrale, et la monnaie scripturale. Ce sont des monnaies totalement liquides qui ont un rendement nul et peuvent avoir un rendement négatif en cas de forte inflation. Pendant longtemps c’était la seule forme de monnaie qui existait. M2 : la masse monétaire. C’est M1 + la quasi-monnaie. Ensemble des livrets d’épargne et des dépôts à moins de 2 ans. Rémunéré à des taux règlementé (taux fixé par l’Etat). Livret

pensent qu’à court terme, les individus ne perçoivent pas le salaire réel qu’ils ont et pensent qu’ils ont moins de pouvoir d’achat. Mais à long terme, les individus perçoivent que les prix ont diminué et l’équilibre réapparait. La théorie des anticipations rationnelles (nouveaux classiques) : les individus perçoivent les modifications du marché et ils renégocient leurs salaires dès le début de la crise, ce qui évite de passer par une phase de récession. La vision keynésienne de la crise : Keynes

monétaire de la BCEAO pour y déceler une éventuelle logique de décision et de crédibilité sur la période 1993 :T12010 :T4. Dans un contexte où le paradigme dominant privilégie la règle à la discrétion, nous avons spécifié une règle de Taylor avec anticipations tournées vers le futur. Cette règle endogénéise le taux directeur de la banque centrale relativement aux gaps de la production et de l’inflation anticipée par rapport à leurs niveaux cibles. La Méthode des Moments Généralisée (MMG) est utilisée

l’intervention étatique keynésienne présentes depuis l’après-guerre. La responsabilité de la montée de la stagflation (=inflation + stagnation de l’économie) lui sont imputés. Les arrivées au pouvoir , donc, de M.Thatcher en 1979 et de R.Reagan en 1980 vont imposer des politiques dont la priorité est de lutter contre l’inflation. (Alors qu’auparavant : lutte : soit VS chômage soit VS inflation). L’Etat lui-même, sa légitimité à intervenir, sont remis en cause dans l’activité économique, ce qui présuppose

nationale et internationale. La microéconomie, c’est l’étude des comportements des agents et du fonctionnement des marchés. Les sujets traités par la macro : revenu et production ;emploi et chômage ;facteur de production et répartition des revenus ;inflation ;Liens économie réelle et marché financiers ;ouverture internationale de l’économie. Long-terme : sur une longue période - sur une longue période, croissance continue et importante de la production et des revenus. Depuis la seconde moitié

Problématiques A/ LES THÉORIES A PRIX FIXES IS IS-LM L'accélérateur d'investissement Les équilibres à prix fixes Conclusion des théories à prix et salaires fixes B/ LES PROLONGEMENTS NEO-CLASSIQUES Le modèle OG/DG La critique par l'École des anticipations rationnelles C/ LES PROLONGEMENTS NEO-KEYNESIENS Les rigidités réelles Les rigidités nominales D/ CYCLES ENDOGÈNES L'oscillateur de Samuelson Le modèle de croissance avec butoir de Hicks (1950) L'interaction salaires-profits-chômage de Goodwin

CHAPITRE IV : INFLATION, DESINFLATION, DEFLATION 1. Signification de l’inflation L’inflation est une hausse continue du niveau général des prix. Une hausse ponctuelle des prix ne suffit pas : la hausse doit être continue La hausse ne doit pas être celle de quelques prix : Il faut une hausse du niveau général des prix. Plusieurs formes d’inflation : Inflation coupante (< 10%) Inflation galopante (> = 10%) Hyperinflation (> 50%) Hyperinflation dans les années 20 et 40 X Fort taux d’inflation

12 496 milliards d’euros, 496 Millions Pib/Hab 36 993 UE 15 11 520 Milliards, 395 Millions Pib/ Hab 43 068 Peco, diversifier l’économie ce que d’autres pays ne pouvaient plus faire. 2. L’euro Inflation relativement faible. Problème de l’euro face au dollar, barrière au niveau mondiale pour favoriser les ets européennes pour l’export. D’autres disent que c’est un cout économique. L’euro portugais est il le même que l’euro Français ? ==>Croissance

« multiplicateur d l’investissement » (dY/dl) ; lequel est d’autant plus conséquent que la Pmgc est élevée. L’efficacité des G dans la régulations de la conjoncture. Le comportement d’épargne des français atteste que la population craît des « anticipations d’avenir » Analyses de Friedman et Modigliani 2,1 : théorie du revenu permanent (Friedman ; 1957) -Les plans de © sont faits pour une durée assez longue(consommateur possède ue vision à long terme) L’avenir influence la C courante. Idée

de ceux-ci a peu d’effet, et n’influence donc que très peu l’économie réelle. On constate donc qu’une augmentation de LM, c'est-à-dire de la masse monétaire, ne modifie en rien le taux d’intérêt, ni le revenu. Elle ne se traduit que par une forte inflation. La politique monétaire est donc inefficace en situation de trappe a liquidité, contrairement a la politique budgétaire. En effet, l’efficacité de la politique budgétaire est maximale en situation de trappe a liquidité car il n’y a pas d’effet d’éviction