Inflation Et Anticipation

→ degré élevé d’inaltérabilité (réserve de valeur) → pas reproductibles : pr assurer la rareté Seigneuriage → consiste à erroné la valeur des pièces d’or en grattant les pièces pr en récupérer. Aujourd’hui : inflation. Passage de monnaie marchandise à monnaie fiduciaire : L’intermédiaire de l’échange : l’or brut → lors de chaque transaction il faut vérifier l’or : - peser Coût de transaction élevé - sa qualité → les métaux

Contre-révolution libérale », permis par une situation de stagflation. - La stagflation étant une période où il y a une stagnation de la croissance économique et une accroissement du chômage, donc une situation économique délicate. - Persistance d’une inflation importante. Le raisonnement reste inséré dans le cadre d’analyse néo-keynésien avec : - Une remise en cause des lois de comportement keynésiennes. - Une remise en cause des effets de la politique budgétaire sur la croissance économique.

L’inflation et la politique de stabilité des prix I. La mesure de l’inflation L’inflation en France B. La mesure des prix en France : l’indice des prix à la consommation (IPC) C. Inflation et pouvoir d’achat II. Les causes de l’inflation A. L’inflation par la demande B. L’inflation par les coûts III. Les politiques anti-inflationnistes A. Les effets de l’inflation B. La politique de la Banque centrale européenne C. Maîtriser les déficits budgétaires D. la

augmentée………….. II.3) Les anticipations rationnelles et l’inutilité des politiques économiques……….. II.3.1) Définition et propriétés des anticipations rationnelles……………….. L’absence de biais des anticipations rationnelles………………. Propriété d’orthogonalité des anticipations rationnelles……….. La cohérence des anticipations rationnelles…………………….. II.3.2) Les implications pratiques des anticipations rationnelles……………. II.4)

politique monétaire, elle concentre son rôle sur la régulation conjoncturelle, avec une priorité aux objectifs de stabilité des prix et la stabilité monétaire. Le problème de conflit d'intérêt qui pourrait émerger avec un éventuel arbitrage entre inflation et croissance à été institutionnelle ment résolue. La maîtrise de l'inflation d'abord. En l'absence de menaces inflationnistes, elle apporte son soutien aux politiques économiques, en vue d'une croissance saine et durable, tout en veillant à la

conjoncturelles de relance s’avèrent inefficaces voire néfastes, puis recyclée par les nouveaux keynésiens au sein du modèle WS-PS. 1. L’interprétation keynésienne Dès 1960, Lipsey substitue à la variable « salaires nominaux » une variable « inflation » dans le modèle de Phillips. De fait, l’augmentation des salaires nominaux est intimement liée à l’inflation. Elle entraine une augmentation de la demande et une augmentation des coûts de production pour les entreprises qui se traduisent tous deux

lié au taux d’inflation) et externe (Q de monnaie nationale nécessaire pour acquérir une devise étrangère : taux de change) Forte distribution de crédit => Forte création monétaire (hausse trop rapide de M3) => hausse de la dmde (B&S, actifs) => Inflation et risque de déficit commercial => Baisse de la valeur externe de la monnaie. CONTEXTE : Durant les 30 Glorieuses, les interventions de la BC (ds pays européens) se sont inscrites dans le cadre de politiques économiques de « stop and go » d’inspiration

La BCE attendra juillet pour relever son taux Suite de la première page par VIOLAINE LE GALL es anticipations de taux de la BCE à un an ont chuté de près de 20 points de base (pb). Elles font à présent apparaître une hausse de taux de 76 pb, d’ici à 12 mois, alors qu’après la réunion d’avril, le marché des futures avait tablé sur un durcissement de 140 pb de la politique monétaire d’ici à un an. Les marchés obligataires se sont également vite resserrés hier. Le rendement des emprunts

la trajectoire future du taux directeur et l’engagement de la FED à se maintenir sur cette trajectoire.  Les banques centrales souhaitent ainsi accroître la transparence de leur action et agir sur les anticipations.  Elles peuvent ainsi espérer influencer les anticipations privées de taux courts, et de taux longs, afin de renforcer la transmission de la politique monétaire et de stimuler l’économie.  Une politique de communication B) Le « forward guidance » On distingue

=1$ Ce qu’on veut : 1$=2€ (appréciation) Par le biais de la spéculation, l’évolution du taux de change est déterminée par les anticipations du taux de change (anticipation auto réalisatrice). Le fait d’anticiper l’appréciation d’une monnaie étrangère par beaucoup de monde va faire apprécier la monnaie étrangère. Source d’instabilité puisque par leurs anticipations, les spéculateurs, modifient l’équilibre sur marché des changes. II. La gestion des taux de change L’étalon or : Quand la masse