Inflation Législative

points de PIB sur un an, soit une baisse du déficit public de l’ordre de 12mds EUR), la Grèce voit sa récession aggravée par l’austérité à la fin 2010. Les résultats économiques se révèlent mauvais (récession à -4,5 % en 2010, taux de chômage à 15%, inflation à 4,7%, endettement à 144,9% du PIB) et le pays ne réussit pas à restaurer sa crédibilité sur les marchés financiers. En mai 2011, il apparaît clairement qu’il ne peut pas revenir sur les marchés en 2012 et que de nouveaux financements doivent être

récession ou de dépression). La récession ou dépression : période de baisse ou de ralentissement de tous les indicateurs. La récession signifie un ralentissement important et long de la croissance et un ralentissement de la hausse des prix, donc une inflation très faible alors que la dépression désigne une période de baisse de la production accompagnée d’une chute des prix c’est-à-dire d’une déflation. La récession correspond généralement à une période de désinflation. La récession et la dépression s’accompagne

était due la démotivation? De la possibilité d’accroître son salaire ? Pourtant les primes existaient, et la quantité de monnaie distribuée ne semble pas être le principal problème : bien souvent, surtout dans des pays ayant connu une très forte inflation comme la Pologne dans les années 80, les travailleurs ne manquaient pas de monnaie, mais bien plus souvent de biens à acheter en échange de cette monnaie. Les économistes spécialistes de l’URSS avaient plutôt repéré des montées d’absentéisme, non

occidentales s’essoufflent (fin de la consommation de masse, du plein emploi, le chômage revient) Inflation : Hausse des prix. Ici on a une fragilité monétaire, un système de dépression. 1971 : Fin du système de Bretton Woods (accords en 1944, création du FMI et de la banque mondiale, le $ est attaché à l’or et toutes les monnaies se définissent sur le $) Monnaies désormais flottantes Inflation. Cout de l’énergie qui augmente Baisse des activités d’entreprises Hausse du chômage. 1979 :

printemps arabe » maîtrisé Nouvelle constitution adoptée en juillet Elections en novembre et nouveau gouvernement en place Une croissance de 4.8% en 2011 (PIB de 814 milliards dh) tirée par la demande intérieure avec un taux de chômage global de 9% Inflation de l’ordre de 1% mais avec accroissement de la compensation (50 milliards dh) qui conduit à une dérive du déficit budgétaire (>6%) Un niveau de dette publique encore favorable (53% PIB), financée aux ¾ localement Un déficit extérieur structurel en

secouait la planète. Le moteur de la puissante locomotive germanique était pourtant déjà en train de s'enrayer, avec un recul du PIB de 0,4% au deuxième trimestre 2008, provoqué par une baisse de la consommation des ménages depuis fin 2007 et une inflation rampante (+ 3,3%). Depuis, les choses se sont encore gâtées, car le ralentissement de la demande extérieure a frappé de plein fouet l'industrie. En septembre, les commandes ont chuté de 14%, du jamais-vu. Au troisième trimestre, le PIB a encore

l'emprunt coute plus qu'il ne rapporte aux entreprise qui ont alors intérêt à se désendetter. Le rôle des banques s'est accru, mais la croissance du crédit se traduit par une forte augmentation de la monnaie en circulation, et donc par une inflation importante. Inflation et ralentissement des investissements (et surtout de l'autofinancement) marquent donc les limites de l'économie d'endettement. 2/ Le retour à une économie de marché financiers A/ la mise en place de nouvelle conditions économiques

CRA-Loi des finances 2011 | 10 | CoursTD | 10- La politique monétaire, contenu, mise en œuvre et efficacité 10.1 : L’open market | - CRA- Analyse de l’indice HCP des prix à la consommation | 11 | CoursTD | 11- Les prix et l’inflation 11.1 : Inflation au Maroc | - CRA- Rapport FMI - Rapport Groupe Banque Mondiale | 12 | Cours | 12-Le système monétaire international. | Evaluation générale. | Examen final | -CR : Compte rendu. -CRA* : A tour de rôle, les étudiants sont invités à faire

bilan contrasté de la politique de Lula En arrivant au pouvoir en 2002, de plus de suivre son programme, il devait poursuivre les réformes déjà entreprises par son prédécesseur, Cardoso dont les réformes agraires, des retraites, fiscale et législative. Le gouvernement a fait part d’une politique de rigueur durant la crise financière de 2002 qui n’a pas été forcément vu d’un bon œil par les partisans du PT. Mais le point central de la politique de Lula était de développer son pays à l’échelle

nombreux fruits et légumes ont Vu leur prix doubler ; en octobre 2007, le prix de l’essence à la pompe a été augmenté de 20%. Même si elle a donné lieu à des mesures d’accompagnement social cette évolution s’est accentuée en 2009 et 2010 avec une inflation moyenne estimée entre 10 et 15% pour les produits de première nécessité. L’économie est minée par la corruption, des industries étatiques vieillissantes, un secteur agricole instable et sous productif, l’épuisement rapide de ses réserves pétrolières