Inflation Législative

seulement d’apport pur et simple des titres à la holding, ce qui était déjà le cas, mais surtout et c’est en pratique très important, en cas d’apport partiellement rémunéré par la prise en charge d’une soulte consécutive à un partage. La modification législative permet donc d’envisager un apport mixte (titres + soulte) à la société holding et non pas simplement un apport pure et simple. Cette précision est fondamentale car elle vise tout particulièrement une hypothèse très pratique, celle des donations-partages

ceri-sciences-po.org 3 Tableau n° 1 : Les performances économiques selon les libertés et la stabilité gouvernementale (1950-2002) Durées Croissance Volatilité moyennes des annuelle du de la Périodes (1) gouvernements (2) PNB/hab. croissance (3) Inflation (4) Selon les libertés individuelles Constitution 1924 Constitution 1961 Constitution 1982 Selon la stabilité gouvernementale Majorités stables (12/5) 1950-59 (5/1) 1966-71 (3/1) 1984-91 (4/3) Coalitions (20/10) 1962-65 (4/2) 1974-80 (7/3) 1992-02

c'est bon pour la compréhension), ou toute personne née meurt à exactement 75 ans, entre sur le marché du travail à 20 ans, touche 2000 euros de salaire brut, prend sa retraite à 65 ans(*). Par souci de simplification, dans ce pays, n'existe aucune inflation (raisonnement à monnaie constante), et les gens ne sont jamais malades (prendre en compte l'assurance maladie ne rendrait pas  les calculs qui suivent plus simples...). (*) dans le monde réel, ces chiffres auraient représenté des  moyennes réalistes

instituts économiques tablent pour autant sur un possible rebond de la croissance en 2014 (+ 1,5%). Principaux Indicateurs économiques Source : COFACE   2011 2012 2013  2014(p)  2015(p) Croissance PIB (%) 3,3 0,7 0,4 1,8 2,0 Inflation (moyenne annuelle) 2,1 2 1,6 1,1 1,7 Solde budgétaire / PIB (%) -0,8 0,1 0,0 0,1 0,0 Solde courant / PIB (%) 6,2 7 7,5 7,2 7,0 Dette publique / PIB (%) 80 81,2 78,3 76 74 Risques pays Source : Ducroire.be

10%    2,10%            Déficit  publique    8,10%    7,60%      6,50%      4,9%    2,60%        (% du    PIB)          Dette  publique (%    133,30%      145,10%      148,60%      149,10%      144,30%    du  PIB)        Inflation      1,90%    ­0,40%        1,20%    0,70%      0,90%        On peut observer sur ce graphique que la croissance du PIB deviendra positive a partir de  2012 mais que la dette publique a augmenté de 2011 à 2013. Cette croissance est sûrement 

salaires des fonctionnaires. Cela signifique que les salaires n'évoluent plus en fonction des prix (inflation). Evidemment, le secteur privé a très vite fait la même chose. L'Etat a donc le pouvoir d'impulser une politique économique sans passer par la voie législative en l'appliquant aux fonctionnaires pour inciter le privé à faire de même. • Le deuxième moyen d'action est la voie législative : l'Etat mène depuis la deuxième moitié du XXe siècle une véritable politique des salaires. 1950 :

excessif : volet répressif Les Etats s’engagent à respecter une orthodoxie budgétaire (parfois difficile). Pourquoi ce pacte  Il faut éviter qu’un Etat membre de la zone euro adopte un certain laxisme budgétaire car cela pourrait entraîner une inflation trop forte + une hausse du taux d’intérêt. Chaque Etat membre doit présenter un programme triennal de stabilité chaque année pour présenter les objectifs des comptes publics à moyen terme. En France facilité par l’adoption des nvlles lois de programmation

groupe des pays pauvres très endettés 166 Tableau F. Principaux documents relatifs aux données 168 178 Encadré A1. Hypothèses de politique économique retenues pour les projections Liste des tableaux 183 Production mondiale (Tableaux A1–A4) 184 Inflation (Tableaux A5–A7) 191 Politiques financières (Tableau A8) 196 Commerce extérieur (Tableau A9) 197 Transactions courantes (Tableaux A10–A12) 199 Balance des paiements et financement extérieur (Tableaux A13–A14) 205 Flux de ressources

utilisant des instruments sophistiqués comme les CDS ou les ventes à découvert. » Quelques acteurs du marché craignent également un scénario « à l'Argentine ». En 1991, l'Argentine avait lié sa monnaie, le peso argentin, au dollar US pour vaincre son inflation. À partir de 1997, suite à la crise asiatique et russe, les primes de risque sur ce pays avaient augmentés rendant le poids du service de sa dette plus lourd alors que, par ailleurs, ses concurrents voyaient leur compétitivité augmenter suite à des

quittent le SME, la peseta, l'escudo, ainsi que la livre irlandaise sont très fortement perturbés. Il y a surévaluation de certaines monnaies. - choc de demande dû à la réunification allemande qui entraîne le ralentissement de l'activité en Europe. (Inflation en Allemagne, or toutes les autres BC doivent défendre leur taux de change à cause des changes fixes, la hausse des taux d'intérêts entraîne une récession) - spéculation financière (certains opérateurs prennent des paris que le SME va exploser)