Inflation Phénomène Monétaire

économique, la notion de ‘politique économique’ désigne en fait l’ensemble des décisions des acteurs politiques et économiques qui vise à avoir un impact et à orienter l’économie. Elle se divise principalement entre politique budgétaire et politique monétaire, même s’il on peut en rajouter d’autres, telle que la politique de change. Si, traditionnellement, les recettes de l’Etat ne servaient qu’à assurer le bon fonctionnement des services publics, c’est à partir des années 1970, après le premier choc

- Après désastres de 1945, la croissance est maintenant très forte et surtt longue - au cours de cette période C➚, le plein emploi est assuré: chômage pratiquement disparu pdnt 30G D'autre part,plusieurs phénomènes économiques sont à l'origine de cette C➚ du PIB: - Les progrès Techniques ont été remarquables → ces innovat° ont amené les E à faire + de profit, et dnc de croissance - Fordisme et taylorisme sont adoptés → méthode de

approches demeurant partielles, une dernière analyse n’envisage plus l’inflation comme un phénomène pathologique ou un dérèglement passager de l’économie, mais au contraire, comme un facteur d’atténuation des crises économiques. I. L’inflation par la monnaie A. La théorie quantitative de la monnaie La formalisation la plus courante de cette théorie est celle d’Irving Fisher : MV = PT (où M = masse monétaire en circulation ; V = vitesse de circulation de la monnaie ; P = niveau général des prix

Smith)=> existe un intérêt pour le commerce international -il faut se spécialiser dans les produits pour lesquels l'avantage comparatif est le plus important -idée de cout d'opportunité : cout de renonciation + cout d'aller à l'université (cout monétaire + le fait que je bosse pas) -il faut tenir compte de considérations stratégiques : droit de douane, spécialisation à outrance est négatif -Ricardo s'oppose au protectionnisme : impacte sur le pays et les pays avec lequel il échange -le commerce

le garant du fonctionnement économique : -Fonctionnement du marché. -Droit à la propriété privée. -Garantie de la monnaie comme intermédiaire d'échange. 7. Problèmes avec la théorie néoclassique. L'approche de la firme. Ne tient pas compte des phénomènes observes : -La firme représentée comme « boite noire » ou comme fonction de production est réductrice. -Il n'est pas tenu compte des stratégies des entreprises. L'approche des individus. Les comportements peuvent être dicte par d'autres principes

intermédiaire. Cette monnaie a un avantage, elle est divisible. Son rôle dépend de 2 facteurs : - de sa quantité. S’il y a trop de monnaie par rapport à la production, →inflation. S’il n’y en a pas assez, c’est un frein aux échanges. - de sa vitesse. Il s’agit de connaitre le nombre de rotation effectué par chaque unité monétaire pendant un laps de temps donné. • La monnaie est un instrument de mesure des échanges Elle est un instrument de mesure de la valeur car elle a une unité et que toutes

chèques virements cartes bancaires 2. LA CREATION MONETAIRE La quantité de monnaie en circulation, mesure la capacité de dépense des agents non financiers. Elle est mesurée par et …sa création résulte l’agrégat M1… essentiellement du crédit sa composition le mécanisme de création/destruction La masse monétaire est surveillée, régulée par la banque centrale… action sur

L'inflation se definit comme la hausse generalise des prix . Ce phenomene a lieu en cas d'embolie de la masse monetaire en circulation .Certain economiste comme Keynes preconise l'inflation comme outil salvateur lors d'une crise . En effet on peut monaitiser une dette ou proceder a une devaluation interne pour reduire une dette cela provoquera alors une certaine inflation souhaitable si elle est maitriser et si elle n'est pas galopante .En France, l'inflation est évaluée au moyen de l’indice des

l’économie. Les keynésiens sont partisans de politiques discrétionnaires. Illusion monétaire : Elle représente l'illusion dont sont victimes les agents économiques qui prennent leurs décisions en fonction des variables nominales (exprimées en quantités de monnaie courante) et non en fonctions des variables réelle (mesurées à prix constant ou en pouvoir d’achat) : un individu est victime de l’illusion monétaire lorsque son revenu nominal a augmenté alors que les prix ont augmenté dans la même proportion

britanniques au début du XIXème siècle. On trouve parmi ses défenseurs David Ricardo, Henry Thornton et Robert Torrens. Selon ces économistes l’inflation provient d’une création de monnaie fiduciaire trop importante. La création monétaire et donc l’évolution de la masse monétaire doit se faire parallèlement à la quantité d’or que détient la banque centrale. On peut ainsi assurer la stabilité de la parité dans un régime de changes fixes. La banking school, dont le plus illustre défenseur est Jean-Baptiste