Inflation

Inflation : En économie, l'inflation est une hausse du niveau général des prix des biens et services dans une économie sur une période de temps. Lorsque le niveau des prix augmente, chaque unité de monnaie achète moins de biens et services, par conséquent, l'inflation annuelle est aussi une érosion du pouvoir d'achat de la monnaie * une perte de valeur réelle dans le milieu intérieur de l'échange et unité de compte dans l'économie. Une mesure en chef de l'inflation est le taux d'inflation, la variation

Et accroît effet de levier, rentabilité. • Pour keynésiens, politique monétaire expansive = effet positif sur l’investissement et croissance, mais, négatif car baisse tx d’interet = Hausse inflation. [donc, moins de croissance.] • Pour les Libéraux, création monétaire trop importante = Inflation. Milton Friedman « L'inflation est partout et toujours un phénomène monétaire. » Toute variation de la masse monétaire a une incidence sur le niveau général des prix. Selon la théorie quantitative

conséquences sociales désastreuses (massacres ethniques, exodes massifs…), la conduite des politiques budgétaire et monétaire respectivement par les autorités politique et monétaire a produit les effets pervers redoutés. Il s’agit notamment d’une inflation galopante jamais enregistrée de par le monde, du fait du recours abusif à la planche à billets et d’une récession économique aux conséquences sociales dramatiques. A l’issue de la présente analyse, des propositions de sortie de crise basées sur

au moment même où la croissance s'essouffle et s'annoncent les premières difficultés. C. L'inflation et l'ébranlement du système monétaire international. 1. Une inflation endémique C'est une particularité des 30 glorieuses : une croissance qui s'est accompagnée d'une inflation relativement importante. Cette inflation est née de la pénurie de l'après-guerre et a persisté car la croissance s'accompagne naturellement d'une augmentation de la masse monétaire. La particularité n'est donc pas

l’inflation, un des indices insee (notamment celui des 295 postes) ; pour l’investissement, la FBCF… B.— Vous pourrez alors ordonner les observations empiriques Quelques chiffres sont à connaître (des ordres de grandeur) : croissance, chômage, inflation, commerce extérieur, quelques agrégats : PIB, RDB des ménages, FBCF, l’évolution de la productivité, les taux d’intérêt, les taux de change. On DOIT très utilement connaître des chiffres de quelques pays. C.— Vous pourrez enfin chercher des corrélations

INFLATION : DEFINITION, CAUSES, CONSEQUENCES ET SOLUTIONS HISTORIQUE 1 | | | On trouve de nombreux exemples d'inflation et de déflation à travers l'histoire, mais aucun document détaillé ne permet de quantifier ces tendances avant le moyen âge. Les historiens ont identifié une longue période d'inflation entre le XVIe et le début du XVIIe siècle en Europe, quoique à un taux annuel moyen de 1 p. 100 à 2 p. 100 bien modeste pour notre époque. Un important changement eut lieu pendant

plus clair. L’inflation est la perte du pouvoir d’achat de la monnaie qui se traduit par une augmentation générale et durable des prix. Elle connait plusieurs origines : inflation monétaire (émission excessive de la monnaie), inflation par les coûts, inflation par la demande (déséquilibre entre l’offre et la demande) ou inflation par les structures. La désinflation est le ralentissement de l’inflation, la hausse des prix continue mais à moindre rythme. La déflation est le processus de baisse généralisée

rapport entre la masse monétaire (M) et le niveau général des prix (P). Si M augmente, l'agent se trouve en présence d'une encaisse réelle supérieure à l'encaisse désirée : il va donc dépenser cette encaisse excédentaire et provoquer de ce fait une inflation (hausse de P) qui rétablit M/P à son niveau de départ. o Critiques La théorie repose sur des hypothèses bien déterminées telles que la constance de la vitesse de circulation de la monnaie, du revenu réel, du niveau de production et du

rapport entre la masse monétaire (M) et le niveau général des prix (P). Si M augmente, l'agent se trouve en présence d'une encaisse réelle supérieure à l'encaisse désirée : il va donc dépenser cette encaisse excédentaire et provoquer de ce fait une inflation (hausse de P) qui rétablit M/P à son niveau de départ. Critiques La théorie repose sur des hypothèses bien déterminées telles que la constance de la vitesse de circulation de la monnaie, du revenu réel, du niveau de production et du volume de

véritable inflation législative ; elle est très souvent dénoncée. Les « textes de simplification des lois » ne simplifient pas toujours les lois. Déjà dans un rapport du 10 décembre 1991, le Conseil d’Etat avait condamné cette inflation. Non seulement, il y a trop de lois, mais, en plus, elles sont dégradées. En effet, le Conseil d’Etat déplore le développement des textes d’affichage qui ne contiennent que la formulation de simples objectifs. Le Conseil d’Etat a dit : « Qui dit inflation dit dévalorisation