Inflation

constante Si une mesure en unités monétaires est pratique, elle présente cependant un inconvénient : la valeur réelle de la monnaie est rarement stable dans le temps. Si les prix ont tendance à augmenter de façon durable et généralisée (inflation) alors le pouvoir d'achat ( c'est à dire la quantité de biens et de services qu'un revenu permet d'acquérir) diminue. Par conséquent, dès que l'on veut mesurer l'évolution d'une valeur exprimée en unités monétaires au cours du temps, il

variation de l’IPC en pourcentage mesure le taux d’inflation de l’économie Inflation Inflation en Polynesie Francaise et en France 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% -5% 1960 1962 1964 1966 1968 1970 1972 1974 1976 1978 1980 1982 1984 1986 1988 1990 1992 1994 1996 1998 2000 2002 2004 Prix nominaux et prix réels  Calcul des prix réels : Prix Réel  IPCannéede base x Prix Nominal annéecourante IPCannéecourante Zero Inflation Microéconomie 2 - C hapitre 1 13 Polynesie Francaise FRANCE 14

causes les plus souvent admises : inflation monétaire : une trop grande quantité de monnaie est émise par l'État ou par les banques , ou à l'inverse une trop faible demande de monnaie survient (exemple de l'Europe pendant les épidémies de peste au Moyen Âge) inflation par la demande : la demande d'un produit ou d'un service essentiel excède l'offre, et les producteurs augmentent leur prix car ils ne peuvent ou ne veulent augmenter la production. inflation par les coûts : le coût d'un produit

Régulations et déséquilibres macroéconomiques 5.3 Quelles politiques conjoncturelles ? Demande globale, inflation, chômage, déséquilibre extérieur, politique budgétaire, politique monétaire On présentera les principaux déséquilibres macroéconomiques et leurs instruments de mesure. On montrera comment ils sont liés à la dynamique de la demande globale. En s'appuyant sur les développements du point 5.2, on montrera comment les pouvoirs publics peuvent utiliser la politique budgétaire

politico-économique personnelle. Dans Inflation et Systèmes monétaires (Dollars and Deficits: Inflation, Monetary Policy and the Balance of Payments, 1968), Milton Friedman énonce sa théorie du « taux de chômage naturel », déterminé par des forces réelles, comme la structure du marché du travail, les imperfections du marché et l’assurance-chômage. Tout effort pour abaisser le taux de chômage en dessous de ce « taux naturel » entraîne obligatoirement une inflation qu’il faut accroître sans cesse pour

l’investissement. _La politique de relance par la demande est une politique qui peut présenter certaines limites : inflation ,déficit extérieur et déficit budgétaire _C'est pourquoi c'est une politique qui suppose que soient réunies des conditions préalables ,avant de l'appliquer ; afin de ne pas aggraver la situation économique du pays qui mène ce type de politique (faible inflation, faibles déficit budgétaire et extérieur)     2) Des conditions qui semblent réunies aujourd'hui en France et renforcées

peut se servir immédiatement) II. Les qualités attendues de la monnaie A. La stabilité de la monnaie 1) stabilité interne - elle correspond à celle des prix + du pouvoir d’achat - elle correspond à l’absence d’inflation ou inflation très modérée - Inflation : correspond à une hausse générale des prix - ça permet de maintenir le niveau du pouvoir d’achat 2) stabilité externe - elle correspond à celle du taux de change de monnaie nationale en devise étrangère - elle dépend du pouvoir

excédentaire. —> déficit budgétaire = stimuler la demande. Stagflation = plus de croissance et inflation des prix. Contrainte extérieur = 3.3 La contestation des idées keynésiennes - Choc pétroliers et échec des politiques keynésiennes - Stagflation = inflation + chômage - Milton Friedman et les monétaristes Théorie du revenu permanent => pas d’effet de la politique budgétaire + inflation car une augmentation de la masse monétaire. —> Les nouveaux courants néoclassiques et keynésiens

croissance économique et de l'augmentation des salaires. Cependant, l'Argentine semble souffrir de la crise américaine et de la chute du dollar, en effet, la forte inflation avec un taux « officiel » de 8 à 9 %, pourrait en réalité atteindre 25 % en 2008. Officiellement, le taux de pauvreté était de 20,6 %, mais si l'on suppute une inflation de 25 %, en 2008, le taux de personnes vivant au-dessous du seuil de pauvreté a augmenté, passant à 30,3 %.[26]. Ça sera le premier renversement de situation depuis

fusions-acquisitions, suppression des frais bancaires, des coûts de transaction). Comment fait on partie de la zone euro? Il faut être candidat et être admis. Pour être admis, l'idée de base est que les pays font tout pour limiter leur inflation (qui ne doit pas dépasser celle des 3 pays les moins inflationnistes). Le déficit budgétaire ne doit pas dépasser 3% du PIB, la dette publique ne doit pas dépasser 60% du PIB (pacte de stabilité), les taux d'intérêt à LT demandés pour les emprunts