Injection de dépendances

SITUATION Je suis en stage en SSIAD et nous prenons en soin une patiente âgée de 70 ans qui présente un diabète de type 2 insulino-dépendant. Lors de nos premières visites je remarque qu'elle réalise seule ses injections d'insuline mais de façon non adaptée. Après avoir questionné les infirmiers sur leur non réajustement face à ces mauvaises pratiques, j'ai compris qu'en dépit des bonnes pratiques ils préféraient prioriser la conservation de l'autonomie de la patiente. Je me suis alors questionné

La prise en charge de la douleur et la dépendance aux morphiniques Situation de souffrance physiologique vécue le 13 mars 2014 La situation que je vais analyser concerne la prise en charge infirmière d’une patiente qui souffre physiquement et qui s’avérait sujette à une possible dépendance à la morphine. Cela amène plusieurs axes de réflexion à propos de cette prise en charge en milieu hospitalier. Je l’ai choisi car cette étude nécessite de se renseigner sur les mécanismes d’actions

nociceptives pre‐synaptiques, on enregistre à l’aide d’électrodes le nombre de potentiel d’action qui parcourt les fibres nociceptives postsynaptiques et ceci dans 3 cas différents : Réponse témoin sans injection de morphine Réponse 5 minutes après injection de morphine Réponse 15 minutes après injection de morphine Enképhalines et morphine ont des structures comparables et similaires au niveau de la portion qui se fixent sur les récepteurs opioïdes. 21Action au niveau de la moelle épinière

évoquée par les usagers de cannabis. IV- Dépendances... Les drogues sont généralement classées en fonction de leur aptitude à générer des phénomènes de dépendances physique et psychique, et sont considérées comme "à risque" si elles répondent à ces deux critères. Le Cannabis a été placé dans ce groupe bien que les cannabinoïdes soient loin de produire des effets comparables à ceux générés par l'héroïne, l'alcool ou le tabac. En ce qui concerne la dépendance psychique, il est bien établi que la très

a une table, 3 chaises et un fauteuil, 2 commodes et 2 armoires. Antécédents médicaux : - Diabétique - Cardiopathie Traitements : - Augmentin iv 1g : 1 injection le midi, le soir et la nuit --> antibiotique de la famille de la péniciline / effets indésirables : nausée, vomissement et diarrhée. - Oflocet 20mg iv : 1 injection le soir et la nuit--> antibiotique traitement des infections urinaire ou génitale, des os ou articulation, et surinfection des bronches chez les personnes fragiles

suffisante au déclenchement de la dépendance. Elle paraît tout au plus la faciliter dans la mesure où elle diminue les effets aversifs de la drogue, et permet d'atteindre des doses plus élevées avec un risque moindre. Il existe d'ailleurs des substances non toxicomanogènes qui induisent une tolérance, les anti-hypertenseurs par exemple. Réciproquement, on n'observe pas de tolérance pour les effets psychostimulants des amphétamines. 1   2   3 Drogues, dépendance et dopamine   On a longtemps

particulières, et doit être confirmé... | IV- Dépendances... Les drogues sont généralement classées en fonction de leur aptitude à générer des phénomènes de dépendances physique et psychique, et sont considérées comme "à risque" si elles répondent à ces deux critères. Le Cannabis a été placé dans ce groupe bien que les cannabinoïdes soient loin de produire des effets comparables à ceux générés par l'héroïne, l'alcool ou le tabac. En ce qui concerne la dépendance psychique, il est bien établi que la très

Catégorie : Dépresseurs - Analgésiques narcotiques  description - historique - effets à court et  long terme  dépendance,  tolérance et symptômes de sevrage |NOMS DE  RUE  | |«smack, héro, junk, horse, H, brown sugar, came » | |Nom chimique |Nom commercial | |Codéine  

Article publié en octobre 2002 Sommaire | I. Introduction II. De la plante à la consommation III. Mode d'action des cannabinoïdes IV. Dépendances... V. THC, cerveau et comportement VI. Toxicité du cannabis VII. THC et système cardiovasculaire VIII. THC et reproduction IX. THC et douleur X. Petite discussion sur ces résultats et les méthodes employées... | I- Introduction Le Cannabis est une drogue d'usage largement répandu dans la population française, et en particulier

nombreuses étapes dans le processus de fabrication. 3- Comment la consomme-t-on ? L’héroine en poudre est dans 90% des cas coupée avec d’autres produits comme la cocaïne, la caféine ou le paracétamol. L’héroine peut se consommer par : -Injection intraveineuse : après dilution et chauffage, l’effet apparaît en moins d’1 minute et s’estompe au bout de 3 a 5h. -Inhalation : on inhale les vapeurs d’héroïne, chauffée la plupart du temps sur une feuille d’aluminium par le dessous. L’effet analgésique