Insecte ravageur

d’assurer la conservation des sols et d’améliorer les conditions de travail des paysans ; - La mise au point de technologies de conservation des produits pour réduire les pertes post-récolte causées par les maladies, par les dégâts qu’infligent les insectes et les rongeurs et par les conditions de transport défectueuses ; - La mise au point de technologies artisanales et semi industrielles, de transformation des produits locaux. A partir de ces potentialités l’agro-industrie à l’échelle locale

biotechnologies ouvrent de nouvelles perspectives en matière d'amélioration des plantes, sur le plan quantitatif et qualitatif, et contribuent notamment à l'optimisation de la gestion agronomique par : la tolérance aux herbicides, la résistance aux ravageurs, la résistance aux virus, la tolérance à la sécheresse et aux basses températures. Au plan environnemental : Des herbicides au profil écotoxicologique favorable, la réduction de l'utilisation des insecticides, la diminution de l'érosion des sols

l'importation des plantes ou parties de plantes susceptibles d'être infestées par certaines espèces nuisibles des ravageurs animaux ou végétaux (B.O 2 Mai 1984 P . 239). 23. -Arrêté du 19 Mars 1984 du Ministre de l'Agriculture et de la réforme agraire n° 468-84 relatif aux contrôles phytosanitaires des plantes ou parties des plantes susceptibles d'être infestées par certains ravageurs et maladies nuisibles (B.O 2 Mai 1984 P . 240). 24. -Arrêté du 22 Décembre 1986 relatif à la police sanitaire

pattes huit pattes X X X X X X X X X X X Les insectes possèdent six pattes articulées, des ailes, des antennes, des yeux et une bouche. Les annélides possèdent des yeux, une bouche et un corps annelé. Les chélicériformes possèdent des chélicères, huit pattes articulées, une bouche et des yeux. 2. Identifier le groupe auquel appartient chacune des trois espèces présentes en fonction de ses caractères. L’espèce a est un insecte, l’espèce b est un annélide et l’espèce c un chélicériforme

efficace soit-elle, la couverture des sols n’est qu’une pratique de l’agroécologie, qui comprend d’autres techniques (cf. pages 27 à 31 : « les techniques de l’agroécologie »). (risques climatiques, risques de destruction par les maladies ou les ravageurs), économie de travail (exemple vu plus haut du Togo où deux façons culturales sont faites en même temps). La modernisation consiste à pouvoir mécaniser par la traction animale en pratiquant les cultures en ligne et à conseiller le choix des cultures

couche superficielle, meuble, de la croûte terrestre, résultant de la transformation de la roche mère enrichie par des apports organiques Le sol est un milieu vivant, habitat naturel d’un bon nombre d’espèces vivantes – bactéries, microchampignons, insectes, lombrics, etc.… - et indispensables à la bonne régulation des équilibres naturels. En effet, s’il n’a eu pour l’homme qu’une fonction économique (fertilité) jusque dans les années 1990, ses fonctions sont vitales pour le bien-être environnemental

propos lors d’une conférence à la Sorbonne. Durant cette période, où il poursuit toujours ses études sur l’acidité du vin et de la bière, il met au point la méthode de pasteurisation. LE PHYLLOXERA Insecte homoptère, sorte de puceron ravageur de la vigne. Originaire de l’est des Etats Unis cet insecte est à l’origine d’une grave crise du vignoble européen à partir de 1863. En France, il provoqua le dépérissement de la plupart des vignes à base de cépages autochtones de l’espèce Vitis Vinifera. Il

des progrès importants dans la lutte contre la faim, par exemple, des variétés de riz associant la productivité du riz asiatique et la résistance aux ravageurs des variétés africaines. Ces variétés, cultivées aujourd’hui en Afrique, ont permis de réduire notablement les importations. Autre succès, des techniques de lutte biologique contre des ravageurs du manioc, qui génèrent des économies (4 milliards de dollars) du même ordre de grandeur que l’ensemble des coûts de recherche engagés par le CGIAR

unités de conservation et de conditionnement. Pour soutenir la lutte contre certaines maladies émergentes une subvention de 35% est accordée à l’acquisition et l’utilisation des filets de protection des cultures maraîchères sous serres contre les insectes. Par ailleurs diverses primes ou subventions sont prévues notamment au profit des unités de trituration des olives (3.500 à 5.000 DH/T/Jour), l’acquisition des plants certifiés pour le développement de l’arboriculture fruitière (80% du coût du plant)

l’écosystème rizière. [..] Les systèmes riz-poisson peuvent améliorer les fertilisations du sol via les excréments des poissons (permettant une réduction de l’usage d’engrais par rapport à la riziculture classique). De plus, les poissons dévorent les insectes et les mollusques aquatiques qui pullulent dans les rizières et se nourrissent des jeunes pousses de riz. Les poissons protègent donc les plants de riz sans qu’il soit nécessaire de recourir aux pesticides. D’autre part le fait de laisser la rizière