Institution sans but lucratif au service des ménages

entreprises davantage de biens et de service en levant le plus possible les freins fiscaux et réglementaires. L’économie de l’offre s’oppose à l’économie de la demande pour laquelle il faut encourager la demande par la dépense publique pour augmenter la production. I- Les acteurs économiques. On appel agent économique, un individu ou un gpe d’individus représentant un centre de décision autonome. Les individus sont regroupés en 7 catégories : • Les ménages : en économie, il diffère qq peu du

1 La programmation scientifique de la Chaire de recherche Marcelle-Mallet est présentée sur son site Internet (www.culturephilanthropique.ulaval.ca). v Présentation des auteurs Laurence Martin-Caron est titulaire d’une maîtrise en service social et d’un baccalauréat sur mesure en éducation et développement humain, tous deux obtenus à l’Université Laval. Son mémoire est une contribution empirique à l’appréciation du capital social dans un territoire donné. Il a collaboré à l’étude

technologique, légal et environnemental). Le contexte politique : La Suisse est un pays politiquement stable et un terrain favorable à toute association caritative. La politique fiscale suisse joue également en faveur des organisations à but non lucratif qui dans la plupart des cas sont exemptes d’impôts. De plus, la Suisse a une politique de neutralité ce qui permet aux associations de pouvoir récolter des dons quel que soit la région du monde concernée. Le contexte économique : Le PIB par habitant

économique sur le rôle des agences de notation se multiplient, et ont de plus en plus un impact sur les discours engagés par le gouvernement. En effet, "le big three" composé de "Moody's, Fitch et Standard&Poors" sont les noms des 3 leaders de ce service privé qui est mis en avant ces dernières années. En Avril dernier, l'une d'entre elles, Standard&Poors a notamment été mise en avant pour avoir dégradée la note de la France, une conséquence directe sur la remise en cause de son triple AAA qui

MINISTERE DE L’ACTION SOCIALE ET DE LA SOLIDARITE NATIONALE BURKINA FASO Unité – Progrès – Justice -o-o-o- -o-o-o- LEXIQUE DES CONCEPTS USUELS DU SECTEUR DE L’ACTION SOCIALE Année 2008 AVANT – PROPOS Le présent lexique se veut un outil au service de tous ceux qui travaillent dans le domaine de l’action sociale en général et des travailleurs sociaux en particulier, ainsi que tous ceux qui s’y intéressent. Il n’a pas la prétention de faire l’exhaustivité ni l’unanimité sur la définition de tous

Les revenus primaires des ménages Mots clés ● ● FI FI C HE D ’AC TI VI T ÉS T IV IT Revenus primaires ● Revenus du travail ● Revenus du capital Revenus de la propriété 2 A Q Que sont les revenus primaires ? Doc. 2 Les revenus mixtes Doc. 3 Les revenus de la propriété Les revenus de la propriété proviennent d’un capital utilisé dans une activité productive. Les revenus immobiliers sont constitués essentiellement des loyers perçus par les ménages pour la location de locaux (appartement

commune » 2 mots clés : ➢ Action collective : idée de groupe ➢ Mission commune : poursuite d’objectifs communs ce qui sous –entend une coopération. Les objectifs peuvent être de nature différente c’est à dire avoir un caractère lucratif ou non. Exemples : - SUA - Club de sport d’un quartier - France telecom - Croix rouge française Toutefois, pour Mintzberg l’action collective ne se résume pas à un regroupement informel de personnes. «  ce qui distingue

décision économiques en faisant des prévisions à court terme ou à moyen terme. 4- Qui élabore la comptabilité nationale? Actuellement 4 organismes élaborent en collaboration les comptes e la nation: l'INSEE élabore les comptes des entreprises et des ménages, le Tableau économique d'ensemble (TEE) et le Tableau des Entrées et Sorties(TES) la Direction e la Prévision prend en charge les comptes avec le reste du monde et les comptes prévisionnels, la Comptabilité Publique prend en compte l'élaboration des

janvier 2008 portant définition et fixant les conditions de délivrance du brevet de technicien supérieur «assistant de manager» ; VU l’avis des commissions professionnelles consultatives « commerce et distribution » en date du 18 décembre 2008 et « services administratifs et financiers » en date du 2 février 2009 ; VU l’avis du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 16 mars 2009 ; VU l’avis de Conseil supérieur de l’éducation en date 26 mars 2009 ; ARRETE Article

janvier 2008 portant définition et fixant les conditions de délivrance du brevet de technicien supérieur «assistant de manager» ; VU l’avis des commissions professionnelles consultatives « commerce et distribution » en date du 18 décembre 2008 et « services administratifs et financiers » en date du 2 février 2009 ; VU l’avis du Conseil national de l’enseignement supérieur et de la recherche en date du 16 mars 2009 ; VU l’avis de Conseil supérieur de l’éducation en date 26 mars 2009 ; ARRETE Article