Institutions Européennes Force Faiblesse Evolution

d’emploi ; l’investissement ne dépend pas seulement des profits mais aussi de la demande effective II les effets dur la demande : A le multiplicateur d’investissement : revenu  conso + S  production = revenu … ; S = I pas forcément réalisé  faiblesse de la demande effective  I public pour relancer l’activité B les conditions de la relance de l’investissement : les limites du multiplicateur (contraintes extérieure et budgétaire ; risque inflationniste) et l’étroitesse des marges de manœuvre

L’Union européenne * Sommaire I. La genèse de la construction européenne 4 1.1 La volonté de construction 4 1.2 Une union essentiellement économique 4 1.3 Une union économique et monétaire 5 1.4 Les institutions 6 II. Les grandes réalisations de l’Europe 7 2.1 L’Union Européenne puissance 7 2.1.1 Une production puissante et diversifiée 7 2.2 Paix et stabilité en Europe 10 2.2.1 La Yougoslavie : une guerre au cœur de l’Europe. 10 2.2.2 La difficulté d’une sécurité

sens qu’elle n’a qu’un rôle consultatif. C’est sans doute pour pallier cette lacune que la Cour verra le jour avec à la clé des fonctions de protection et de consultation. Mais, il convient de préciser qu’aucun groupe, aucune structure, aucune institution ne peut efficacement s’épanouir sans un minimum de règles qui président à son organisation en vue de son fonctionnement. Aussi, la Cour Africaine des droits de l’homme et la Commission Africaine des droits de l’homme et des peuples se sont-elles

plus à l’aune d’une géopolitique territoriale mais plutôt en fonction de paramètres multiples et évolutifs conditionnant une capacité d’influence. En cela l’ONU rejoignait d’autres multiplicateurs de puissance comme l’Union européenne, l’OSCE ou l’Alliance atlantique. Force est de reconnaître que le multilatéralisme onusien - décrié par beaucoup - s’inscrit dans le cas de la France dans la perspective d’une géopolitique universaliste et d’une géopolitique d’influence que l’on pourrait même baptiser

socialistes :  Socialistes révolutionnaires = Communistes (après 1917 & Lénine) mais Gracchus Babeuf avait émis lors de la Conspiration des égaux les premières idées pendant la révolution française  Socialistes réformateurs = Socialistes (grâce à des institutions : ex. vote)  Après le Congrès de Tours (1920) : 2 autres catégories :  Les communistes (P-C)  Section Française Internationale Ouvrière (S.F.I.O.) C) L’économie mondiale de 1945 à nos jours 1. La croissance des trente Glorieuses (1950-1973)

déversement d’emploi ; l’investissement ne dépend pas seulement des profits mais aussi de la demande effective II les effets dur la demande : A le multiplicateur d’investissement : revenu ⇒ conso + S ⇒ production = revenu … ; S = I pas forcément réalisé ⇒ faiblesse de la demande effective ⇒ I public pour relancer l’activité B les conditions de la relance de l’investissement : les limites du multiplicateur (contraintes extérieure et budgétaire ; risque inflationniste) et l’étroitesse des marges de manœuvre de

INSTITUTIONS INTERNATIONALES: INTRODUCTION: 1-QU'EST CE QUE LES RELATIONS INTERNATIONALES? Les relations internationales désignent à la fois un certain nombre de phénomènes. Cela dit, les relations internationales et un ensemble des rapports et communications pouvant s'établir entre des groupes sociaux qui traversent les frontières. L'étude des relations internationales en tant que science « autonome » est apparue aux États-unis après le premier conflit mondial et s'est fortement

notions étrangères dans un droit national. Au contraire, ses mérites sont relevés. C’est au cours du 20ème qu’apparaîtront les premières études comparatives approfondies à telles ou telles règles, telles ou telles notions ou telles ou telles institutions. Certaines de ces études seront le fruit d’un travail individuel, d’autres le fruit d’un travail d’équipe souvent soutenu par des organismes officiels. Sur le plan international, l’académie nationale de droit comparé voit le jour en 1924 et son

effet, selon l’auteur, elles occupent une place grandissante dans notre société sans forcément répondre aux exigences de légitimité et d’effectivité démocratique. Il analyse ensuite chacune de ces formes de démocratie pour mettre en exergue leurs faiblesses et conclut que « la démocratie reste, encore, aujourd’hui, une cause politique, systémique, voire civilisationnelle sans alternative légitime » (p. 37).Le propos du troisième auteur, Jean Gicquel est nettement plus optimiste. Sa contribution intitulée

politiques européennes, lorsqu’on analyse des administrations. On va essayer de saisir la portée des questions qu’on va poser, la pertinence de ces questions. On va se dire ce concept (populisme, autoritarisme) est utile dans tel contexte mais ça n’en fait pas un principe explicatif général. Il faut relativiser des entités que l’on considère souvent comme universelles, exemple de l’Etat. La politique comparée se caractérise par un effort d’explication par la confrontation entre des institutions, des structures