Intégrisme

elles s’opposent. * La juxtaposition : Relativisme : difficulté à hiérarchiser les biens et les activités (zapping devant la télévision – étalage des biens de consommation dans les supermarchés). Chacun a ses propres goûts. Mais la dérive (intégrisme, fondamentalisme). * L’ici-maintenant : On vit dans le temps court (temps politique entre 2 élections). Contradiction : technologies avec leurs répercussions sur le long terme (déchets…). Nécessité de traiter les problèmes longs. * Le labyrinthe :

dite communauté plus aussi lié qu’auparavant et lui colle sans cesse des étiquettes (EX : l’islam made in Arabie Saoudite inconnue des parents). Les récents évènements perpétrés sur le sol français renforcent les amalgames entre nation, religion et intégrisme. (Parler des amalgames entre le terrorisme et la religion). Cependant l’échec n’est pas total des individus ont emboité le pas et arrive en faisant des sacrifices pour vivre avec le pluralisme culturel à la manière de Mme A. Originaire d’Afrique

anti-impérialiste pour le mouvement ouvrier révolutionnaire. L’impérialisme américain et l’intégrisme chrétien Depuis toujours, l’idéologie fasciste et raciste a de fortes racines dans l’intégrisme religieux aux États-Unis. À l’origine, la notion d’« intégrisme » se référait aux enseignements des Églises évangéliques du protestantisme américain. Leur idéologie métaphysique et idéaliste soulignait que la Bible était « la seule source de vérité absolue, et cela littéralement, intégralement et infailliblement

population musulmane de France. Cependant, la laïcité n’est pas contraire à la tolérance, mais la France penche vers une laïcité plutôt fermée qu’ouverte, car il serait effectivement meilleur d’appliquer une laïcité ouverte et tolérante, et non un « intégrisme laïcard ». L’intégrisme laïcard c’est exclure la religion en se cachant derrière la définition de laïcité, de façon exagérée. Il sous-entend une certaine islamophobie, comme quoi l’Islam doit être le moins présent possible en territoire français

richesses. Avec l’Aïd le nécessiteux n’est pas seulement le proche ou le frère en religion, c’est l’humain quelle que soit son origine ou sa croyance. Avec l’Aïd les mots solidarité et partage prennent un sens assez fort pour délégitimer tous les intégrismes laïques et confondre toutes les haines «rédékériennes » de ceux qui veulent diaboliser l’une ou l’autre, ou toutes les religions, pour masquer souvent la vacuité de leur propre sens moral et légitimer parfois leurs projets criminels. Ave l’Aïd

liberté et de responsabilité et il n’y a pas de moralité sans liberté, sans conscience de ce que l’on fait. La religion est donc immorale d’autant plus qu’elle soutient la violence ; elle pardonne certains crimes et aboutit quelques fois à des intégrismes ainsi qu’au fanatisme. Elle est aussi intolérante étant donné qu’elle prétend connaitre la vérité absolue. Le mépris des athées, des humbles ou encore de ceux qui croient en autre chose font aussi partie des éléments à la source de l’immoralité

composantes fondamentales : l'arabisme et l'islamisme. Deux composantes qui vont jouer, sur un double plan - interne et externe -, un rôle de mobilisation des masses et des solidarités des communautés arabe et islamique. III. Les conséquences 1) Intégrisme Plusieurs pays arabes sont confrontés aux problèmes de l’intégrisme. Il a pour origine une crise sociale visant à soumettre la vie de la société aux strictes lois de la religion(le port du voile intégrale par exemple qui devient excessif dans

nucléaire, spatiale, et d'une influence culturelle non négligeable (ancienneté de la civilisation et, surtout, diaspora présente sur tous les continents). B. Des contestations de plus en plus fortes 1. Venant de l'extérieur - Résistances culturelles, intégrisme islamique qui refuse l'ordre interna­tional et qui souhaite éliminer l'influence américaine de l'espace arabo-musulman. - Altermondialistes qui proposent un ordre international fondé sur la discussion collective, notamment en améliorant le dialogue

instrumentaliste ont des conséquences: d’une part les hommes ont davantage besoin de certitudes, voire d’évidences pour se rassurer, d’autre part l’exigence de partager réellement le monde avec d’autres hommes est reléguée au second plan. Il y a intégrisme là où il y a contestation de l’ordre républicain et volonté d’y substituer un ordre public d’inspiration divine. Inversement, la crise des valeurs républicaines peut conduire la société globale à rechercher des boucs émissaires, et les sociétés

d'une influence culturelle non négligeable (ancienneté de la civilisation et, surtout, diaspora présente sur tous les continents). B. Des contestations de plus en plus fortes 1. Venant de l'extérieur - Terrorisme, résistances culturelles, intégrisme islamique qui refuse l'ordre interna¬tional et qui souhaite éliminer l'influence américaine de l'espace arabo-musulman. - Altermondialistes qui proposent un ordre international fondé sur la discussion collective, notamment en améliorant le dialogue