Intensité Factorielle

(K/L) • Intensité relative en facteurs de production utilisés dans les productions a) Les bases du modèle HO 1) La notion d’abondance/rareté relative en facteurs de production Dans le modèle de base, les différences de dotation sont les sources des avantages comparatifs. Les pays ont des dotations relatives différentes : K/L différent de K*/L*. Les coûts de production doivent être différents : K/L > K*/L* ( W/R > W*/R* L’abondance factorielle est considérée par

de production ou la main-d'œuvre est très demandé, on parle d’industrie a forte intensité de main-d’oeuvre, c’est le cas des pays du Sud,particulièrement l’Asie du Sud-Est. Les pays qui sont dotés du facteur capital en abondance se spécialiseront dans les activités à haute intensité technologiques, c’est le cas des pays du Nord. Les conséquences de ce modèle : les pays spécialisé dans les industries à forte intensité de main-d’oeuvre engendrent sur le marché du travail une augmentation de la demande

incommensurable. MARX pense que chaque nation à sa propre productivité. Les échanges entre les nations ne peuvent se régler comme sur la base interne. Une intensité moyenne de travail n’est pas imaginable sur le marché mondial. Un travail national peut produire dans le même temps davantage de valeur et donc davantage d’argent. Différentes intensités sur le marché mondial avec des conséquences différentes, ce qui modifie la loi de la valeur. Si la concurrence n’oblige pas à abaisser le prix de la

200 | 6 | A | 250 | 10 | B | 150 | 10 | C | 50 | 40 | D | La technologie A fait appel à beaucoup de travail et peu de capital par rapport aux autres technologies, on dit qu’elle est à faible intensité capitalistique. La technologie D est au contraire à forte intensité capitalistique, économie du travail. La technologie B doit être rejetée car pour un même niveau de production, elle utilise plus que les deux facteurs de A. Frontière de production : Travail 250 B

force intérieure qui l’amène à réaliser son travail de manière consciencieuse. La motivation réunit quatre éléments de base : – un ou des déclencheurs de motivation (un acte qui incite à agir) ; – une direction (un but à atteindre) ; – une intensité (des efforts nécessaires pour atteindre le but) ; – la persistance du comportement (la continuité dans les efforts). La motivation est propre à chaque salarié : certains en auront, d’autres moins ; certains seront motivés par le salaire, d’autres

les nouveau-nés, les enfants et les adolescents Différentes méthodes ont été utilisées pour déterminer les besoins en AAI chez l’enfant : le bilan azotée, la méthode factorielle et l’IAAO. Chez les nouveau-nés, les deux principales méthodes utilisées pour déterminer les besoins en AAI chez le nourrisson ont été la méthode factorielle [38] et une évaluation à partir de la composition en AA du lait humain. En effet, il est reconnu que la source optimale de nutriments pour les nourrissons est le lait

quantitatives et causales entre la production et se facteurs utilisés. Q= f (F) Q est la production, F les facteurs de production. Q= f (L, K) Q désigne la production, L le travail et K le capital. La combinaison productive se caractérise par son intensité capitaliste c'est-à-dire : QUANTITE DE CAPITAL // QUANTITE DE TRAVAIL On parle de substitution de capital au travail lorsque l’intensité capitaliste de la combinaison productive s’élève. Le coefficient moyen de capital est : CAPITAL // PRODUCTION

dans laquelle celle-ci est évaluée comme débordant ses ressources et pouvant mettre en danger son bien être» (LAZARUS et FOLKMAN, 1984b, p. 19). Ainsi, les événements de la vie n’ont pas tous le même impact sur tous les individus. Ce n’est pas leur intensité, leur fréquence ni leur gravité «objectives» qui sont stressantes en soi, mais leur retentissement émotionnel et leur signification pour un individu particulier. Ainsi la notion de stress perçu a-t-elle détrôné peu à peu celle d’événement de vie

est placée sous forme de bons du trésor étranger à faible rentabilité mais sûrs). ! D’autre part la mondialisation a accentué ses déséquilibres dans la mesure où elle tend à une division internationale du travail en fonction des dotations factorielles (matières première, travail, capital), or les pays déficitaires sont le plus souvent désindustrialisés et ont du mal à dégager des excédents. Toutes les spécialisations ne se valent pas. On peut également rappeler les stratégies protectionnistes

investisseurs étrangers et continue son développement en autarcie[4]. Enfin, depuis 1980, l'économie chinoise s'est ré-ouverte aux investisseurs étrangers et a axé son développement principalement sur l'exportation de biens manufacturés à faible intensité capitalistique, tels que le textile ou l'électronique bas de gamme. Cependant on observe une remontée des filières technologiques et la Chine est de plus en plus à même de produire des biens requérants une technologie supérieure, comme l'industrie