Interprétation Des Didascalies

dans les didascalies. 4 Propriété exclusive de Studyrama. Toute reproduction ou diffusion interdite sans autorisation c- Jusqu'au XIXème siècle, la mise en scène était à ce point liée au texte que bien souvent les auteurs eux-mêmes se chargeaient d'en proposer la représentation. C'est particulièrement le cas bien connu de Molière et de sa troupe, l'Illustre théâtre. II- La mise en scène propose une interprétation du texte a- La mise en scène est la représentation d'une interprétation spécifique

l’expression du spectacle vivant. Il s'agit d'un spectrale dans lesquels des acteurs  incarnent des personnages par un regard extérieur du public dans un temps et un espace limité. De ce fait, le théâtre est il avant tout un texte ou bien une interprétation ? I- Le texte est essentiel à l’œuvre 1- la création de l’œuvre Chaque texte est crée de façon très précise afin de faire comprendre un maximum de chose aux lecteurs. Il y un travail colossal atour de celui-ci puisqu'il y à l'imagination

le langage théâtral peut dépasser nos attentes en matière de révélations. I – Lire le théâtre Accéder à une œuvre théâtrale par la lecture de son texte nous garantit de façon évidente la jouissance intime de son contenu et la liberté de son interprétation. A – Le théâtre, c'est d'abord un texte, une œuvre poétique ou polémique, qu'il s'agisse de Jean Racine, de Bertolt Brecht ou de Bernard-Marie Koltès. La lecture permet de s'approprier le texte. Livre en main, on peut en prendre possession par

Tartuffe). On peut également trouver en vidéo une adaptation filmée plus récente (1997) réalisée par Georges BENSOUSSAN et coproduite par France 3, Néria Productions, Euripide Productions et la Comédie Française. Cette mise en scène présente une interprétation plus dépouillée dans laquelle le personnage de Tartuffe est, au-delà de l’imposteur et de l’hypocrite, un véritable « chasseur ». Cependant, ces mises en scène ne sont pas exhaustives et en fonction des orientations et / ou des prolongements

l’affectivité, de la douleur et de la souffrance. – Demandez-vous ce qui, dans la situation de Cyrano, est pathétique et provoque donc la pitié ; comparez pour cela le début et la fin de la scène (imaginez aussi ce qui se passe sur scène, voir les didascalies), l’évolution des sentiments de Cyrano. – Isolez les expressions précises qui traduisent le désarroi de Cyrano. Commentez-les. – Cherchez ce qui, dans la situation, est humoristique, voire comique parce que invraisemblable. – Cherchez ce qui, dans

de Marc Riboud (contre la guerre du Vietnam 1967), fillette brûlée au napalm au Vietnam de Nick Ut (1972), place Tian An Men de Stuart Franklin (juin 1989) Mais les photographies peuvent être mal comprises puisqu’elles nécessitent une interprétation ou provoquer un rejet car elles montrent la réalité crue, sans concession. Mais genres qui manquent d’attrait et difficiles parfois à comprendre. Ne serait-ce pas plus efficace si un genre amusait en même temps qu’il explique ? II

des nombreuses compétences que se doit de maîtriser le metteur en scène d'une pièce de théâtre. En effet sa direction se doit d'être précise de façon à ce que les acteurs ai quelqu'un à qui se référer sans se baser uniquement sur le textes et ses didascalies, tout en en répondant au attentes du metteur en scène. Le metteur en scène est également essentiel dans la mesure ou il est le premier spectateur de sa représentation. Car si il ne participe pas en tant qu'acteur au spectacle, il peut suivre le

types de discours (direct ou indirect), marqueurs temporels et traitement du temps (par exemple analepses et prolepses) etc. Poème : types et agencement des vers, jeux rythmiques et sonores, images etc. Théâtre : longueur et nombre des répliques, didascalies, jeux de scène, nombre et identité des personnages etc. Texte argumentatif : thèse, arguments, forme (essai/dialogue/apologue), registre, procédés (ironie, questions rhétoriques) etc. Texte de la Renaissance : contexte de la période, idées défendues

discours (direct ou indirect), marqueurs temporels et traitement du temps (par exemple analepses et prolepses) etc. Poème : types et agencement des vers, jeux rythmiques et sonores, images etc. Théâtre : longueur et nombre des répliques, didascalies, jeux de scène, nombre et identité des personnages etc. Texte argumentatif : thèse, arguments, forme (essai/dialogue/apologue), registre, procédés (ironie, questions rhétoriques) etc. Texte de la Renaissance : contexte de la période

« tu étais le seul homme qu’un roi de ma sorte pût supporter.  . La construction exclusive « le seul qui » montre le caractère unique de ce bouffon qui correspond à celui du roi. Cette ressemblance entre les deux personnages est soulignée par les didascalies et la mise en scène. Dans la première partie de la scène « Folial sur les talons du roi » il le suit comme son ombre et il cherche à le remplacer. A la fin de la scène, jeu terminé, Folial et le roi « en haut des marches se font face » comme si