Interprétation Des Didascalies

nous remarquerons que les décors reflètent l'état d'enfermement des personnages. Pour commencer, il nous faut décrire les costumes que revêtent les personnages principaux, Ruy Blas, Don Salluste et la reine, au commencement de la pièce. Dans la didascalie de l'acte I, Victor Hugo décrit de manière très détaillée les habits portés par les personnages principaux, ce qui veut dire qu'il y a accordé une grande importance. Prenons Don Salluste, son costume est décrit par un champ lexical de la richesse

tirades. Exemple: p25 : la pharmacienne : "Elle ? La voilà sa vie : elle a étudié 4 ans….cuisinière"/la vachère:" "La voilà, sa vie : les vaches"/la pharmacienne: "La moitié…..d'elle"/la vachère : "Après...main" etc … .Leur faire lire également les didascalies en continu avec les tirades. Autre exercice possible: la pharmacienne dit son texte à la 1ère personne mais la vachère le répète à la 3ème personne (là aussi en déconstruisant la tirade phrase par phrase et en instaurant un jeu d'échos). Autre moyen

et d’abord un prétexte à un dialogue philosophique sur la nature humaine, ses faiblesses et ses prétentions dérisoires. Si on se tourne vers Ionesco, on découvre que la métamorphose de Jean en rhinocéros est prévue et « orchestrée », puisque les didascalies précisent que le personnage fait des va-et-vient entre la pièce principale et la salle de bains, ce qui permet, à chaque passage, de lui ajouter un élément nouveau. Il n’en reste pas moins que transformer un acteur en rhinocéros est une gageure

Ionesco. Chaque représentation de cette pièce est différente. La première représentation à avoir été montrée au public respecte toutes les didascalies, le jeu d'acteurs est simple mais les comédiens font quand même passer le sentiment principal de la pièce par différents jeux. Cependant, d'autres metteurs en scène vont choisir de ne pas respecter les didascalies, ou de les réinterpréter. L'atmosphère de la pièce devient alors différente, elle peut paraître angoissante ou drôle. Cette pièce d'adresses

langage théâtral peut dépasser nos attentes en matière de révélations. I – Lire le théâtre Accéder à une œuvre théâtrale par la lecture de son texte nous garantit de façon évidente la jouissance intime de son contenu et la liberté de son interprétation. A – Le théâtre, c'est d'abord un texte, une œuvre poétique ou polémique, qu'il s'agisse de Jean Racine, de Bertolt Brecht ou de Bernard-Marie Koltès. La lecture permet de s'approprier le texte. Livre en main, on peut en prendre possession

généralisante. La Mère pourrait représenter toutes les mères. · Dans la didascalie initiale, l’adverbe « évidemment » est un modalisateur exprimant la certitude et suggérant l’idée que la famille a pour habitude (pour « rite » comme c’est expliqué par la suite) de se réunir le dimanche. Il y a donc de la subjectivité dans ce « évidemment » : c’est comme si Lagarce, dont on comprendra que Louis est une sorte de double, glissait dans la didascalie une sorte de clin d’œil à son vécu familial. · L’indication « ou

DISSERTATION En quoi la mise en scène d'une œuvre théâtrale en constitue, à sa manière, une interprétation ? Intro : Avant de concevoir la notion d'interprétation en tant que telle, il faut en premier lieu avoir conscience de ce qu'est une œuvre théâtrale. Destinée à être mise en scène, puis représentée lors du spectacle final, cette œuvre est le fruit d'un genre littéraire spécifique, né durant l'Antiquité, ayant traversé les siècles et plaisant encore profusément à ce jour : le théâtre. Forme

personnages, la narration, le récit. Comme seules les répliques font avancer l’action, on dit qu’au théâtre, la parole est action. 2- Le texte théâtral est aussi le langage non verbal, indiqué généralement par les didascalies (= indications scéniques) qui informent sur : · Les gestes/ l’intonation / les déplacements/ mouvements· Les objets/accessoires/ décors/ les lieux· Le nom du personnage qui parle/ les personnages présents dans une scèneCe langage

animaux. Ils se déclarent leur amour mais Daisy se transforme à son tour. Il ne reste que Bérenger. Il est tenté par la transformation mais il se rend compte qu’il ne peut se transformer. Puis il se ravise : seul, il se battra et résistera. Interprétation de la pièce: La métamorphose en rhinocéros est désirée passionnément par Bérenger à la fin de la pièce mais elle se révèle impossible. C’est parce qu’ il est le seul à avoir gardé la faculté de douter, de résister. C’est un anticonformiste

Abdel Sefsaf voix (interprétation) Alain Aithnard, M'Baye Mame Cheikh, Denis Mpunga,  Boubacar Ndiaye, Abdel Sefsaf environnement sonore Bernard Vallery costumes Nathalie Prats-Berling maquillage Sophie Niesseron assistants à la mise en scène  Guillaume Delaveau, Célie Pauthe stagiaire à la mise en scène Anne Monfort   Comparaison théâtre-roman : La scène finale (scène 20) porte un titre (elle est la seule scène dans ce cas), et est constituée d’une longue didascalie puis d’une plus courte