Interruption volontaire de grossesse

l’appréciation des femmes selon chaque situation particulière. Il n’existe pas en effet un portrait-type de la femme en demande d’IVG : toutes les générations et toutes les classes sociales sont confondues. 1 Chargée de projets au CEFA Interruption Volontaire de Grossesse 3 Organisée par une plateforme composée d’une vingtaine d’associations, voir www.abortionright.eu 4 Film de Sylvie Lausberg, CAL, 2010 5 Groupe d’Action des centres Extra-Hospitaliers Pratiquant l’Avortement, voir http://www.gacehpa

moyens (pillules, préservatifs, implants,...) visant à éviter une grossesse non désirée, elle empêche la fécondation de l'ovule par les spermatozoïdes. La contraception à pour principe d'être temporaire et réversible, c'est à dire que quand le couple désirera avoir un bébé, il suffira d'arrêter toute forme de contraception. Mais faut faire attention à ne pas confondre moyen de contraception et IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) car celle-ci est le dernier recours suite à un échec ou un oubli

C’est en rapport ・cette mati鑽e que s’est prononc・la Cour de Cassation, le 17 novembre 2000. Il s’agit en l’esp鐵e d’une femme enceinte qui subit des tests de recherche de la rub駮le; sachant qu’elle d馗iderai de se soumettre ・une interruption volontaire de grossesse dans le cas d’un r駸ultat positif. Les r駸ultats qui lui sont pr駸ent駸 sont n馮atifs, ・la suite de quoi elle accouche d’un enfant gravement handicap・ du fait de l’ atteinte in utero de l’ infection de la rub駮le. Se sentant trahie par le

qualité de sujet de droit n’existe pas encore ? En d’autre terme la protection de l’embryon par le droit n’est-elle une protection de la vie alors que même que la qualité de sujet de droit n’est pas en reconnu. L’interdiction de l’I.V.G (Interruption Volontaire de Grossesse) correspond bien à une protection de la vie humain se qui semble nous inciter à penser que les frontières de la vie ne sont pas exactement les frontières de la personnalité juridique.

posent quant au statut juridique de l’embryon. En effet, au cours de la grossesse, les françaises ont la possibilité de faire un avortement c’est-à-dire une interruption volontaire de grossesse (IVG) jusqu’à 14 semaines d’aménorrhées. Si l’embryon était considéré comme un humain, cet acte médical serait alors un homicide volontaire avec préméditation. Des le délai dépassé, il est alors impossible d’interrompre cette grossesse, et donc de tuer le fœtus dépendant de sa mère pour vivre. Au niveau

1970 : la mère devient l'égalité du père en matière d'autorité parentale. 1971 : Loi rendant obligatoire l'égalité des salaires entre les hommes et les femmes pour un même travail. 1974 : loi Veil qui autorise L'avortement ( L'IVG : Interruption volontaire de grossesse) Tous ces progrès, ces avancées se sont fait grâce aux combats des femmes, et aux organisations féministes (MFL...) qui luttent pour l'égalité homme-femme. Aujourd'hui, les inégalités se sont réduites considérablement mais elles n'ont

semaines de grossesse ou si l'enfant sans vie a dépassé un poids de plus de 500 grammes : circulaire du 30/11/01. La cour de cassation a cassé cette circulaire dans trois arrêts rendus le 6/02/08 : l'acte d'enfant sans vie est de droit quelque soit le stade de l'avancement de la grossesse ou du poids du fœtus.  L'acte d'enfant sans vie doit être demandé par les parents et l'accouchement doit être spontané ou provoqué pour raisons médicales (IMG : Interruption Médicale de Grossesse) * L'acte

extension au droit qui nous est « imposé ». Toutefois, il ne faut pas voir en cette légitimité donnée, un moteur idyllique du droit. En effet, il arrive que des valeurs morales soient relatives. C’est le cas pour l’avortement (et l’IVG - interruption volontaire de grossesse), sujet controversé et au milieu de nombreux débats actuels. Comment le droit peut-il s’imprégner de la morale alors qu’elle-même relativise sur ce fait ? Le caractère autoritaire et stricte du droit crée donc une nouvelle morale (d’un

1 : 15 / Luc 1 : 41 / Exode 21 : 22-25 / 1 Corinthiens 12 : 22-26 Problématiques : Le « droit à l’avortement » prôné par notre société moderne est un combat spirituel et idéologique. C’est aussi une guerre des mots : les termes « interruption volontaire de grossesse » ou « avortement thérapeutique » adoucissent la cruelle réalité de l’avortement, celle de la destruction d’une vie. La pensée du « recours à l’avortement » insinue que les conditions pour avoir un enfant ne sont pas réunies. Euthanasie

cessé de prendre de plus en plus d'importance et à revendiquer leurs droits : Quelques dizaines d'années plus tard, le 17 janvier 1975, le droit à l'avortement fut proclamé, la loi Veil l'autorisant. Les femmes en France peuvent donc interrompre une grossesse en toute légalité. Ensuite, le 6 Juin 2000, une loi est votée pour assurer la parité au sein des milieux politiques. Désormais, l'accès aux mandats électoraux et aux fonctions électives devra concerner autant d'hommes que de femmes. L'objectif était