Interruption volontaire de grossesse

Les conservateurs essaient de faire adopter en douce un projet de loi contre le droit à l’avortement, et c’est parfaitement légal. Ainsi, le premier ministre Harper n’aurait pas besoin de renier sa promesse électorale de ne pas recriminaliser l’avortement. De simples députés de son parti feront le travail à sa place, avec l’appui de quelques députés libéraux. C’est un plan compliqué : quatre projets de loi d’initiative parlementaire conféreraient au fœtus le statut juridique « d’enfant non encore

LES INEGALITES ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES. Dans le passé, beaucoup de sociétés ont instauré une différence naturelle entre l'homme et la femme. Cette différence naturelle se caractérise par des inégalités dan la répartition des tâches ménagères, dans l'accès du pouvoir et dans la représentation des sexes. Mais les pays se sont démocratisés et le statut des femmes ont évolué. En 2000, la loi sur la Parité a été mise en place. Nous allons voir qu'en effet, ces inégalités se réduisent progressivement

III] 1) Inégalités dans le monde. Les grossesses non prévues sont loin d’être une éventualité rare. En moyenne, chaque femme en France y serait confrontée une fois au cours de sa vie et une sur deux aurait recours à une IVG*.De fortes inégalités régionales sont tout de même présentes.Près de la moitié des 857 services de gynéco-obstétrique ne font pratiquement pas d’avortements. A l’inverse, vingt services réalisent à eux seuls un cinquième des IVG, d’où des inégalités régionales et des difficultés

considéré comme une personne ne fait donc pas de sa mort, causée par une tiers personne, un homicide, que ce soit volontaire ou involontaire. Aucune règle de droit ne protège ainsi l’embryon de la mort dans le sens où il n’a pas la personnalité juridique. Mais la lui attribuer reviendrait à revenir sur le débat interminable et moralement inabordable de l’Interruption Volontaire de Grossesse pourtant autorisée en droit français depuis 1975. On observe alors une primauté du droit à l’avortement sur le

L'interruption volontaire de grossesse, souvent abrégée en IVG, désigne un avortement provoqué dans un cadre légal. En France elle permet de désigner un avortement décidé pour des raisons non médicales. Lorsque l'intervention est motivée par des raisons médicales, que la poursuite de la grossesse soit dangereuse pour la santé de la mère ou parce que le fœtus ou l'embryon est atteint de malformations ou d'une maladie graves et incurables, on parle d'interruption thérapeutique de grossesse (ITG) ou d'interruption

lesquelles de nombreuses femmes se sont battues. Ces droits passent par la loi sur l'interruption volontaire de grossesse. La loi sur l'ivg est la "Loi Veil", elle date du 17 janvier 1975. La loi dit : La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin l'interruption de sa grossesse, laquelle ne peut être pratiquée qu'avant la fin de la 10ème semaine grossesse. L'entrave à l'IVG constitue un délit puni de deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende

L'AVORTEMENT EN FRANCE INTRODUCTION Un avortement, également appelé IVG, est le processus médical qui consiste à mettre fin à une grossesse afin de ne pas donner naissance à un bébé. Cette décision est difficile à prendre. Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles vous pouvez décider d’avorter : par exemple votre situation personnelle, un risque pour votre santé ou un risque de problème médical pour votre bébé. Beaucoup de gens ont une opinion sur l'avortement (pour ou contre)

LOI VEIL La loi Veil = Le 17 Janvier 1975 = IVG Dépénalise l’avortement en France Par Simone Veil, ministre de la santé sous la présidence de Valérie Giscard d’Estaing (rédactrice) Loi n°75-17 du 17 Janvier 1975 relative à l’interruption volontaire de grossesse Gouvernement Jacques Chirac (1) Promulgation = le 18 Janvier 1975 Entrée en vigueur = 19 Janvier 1975, initialement pour une période de5 ans mais depuis reconduite indéfiniment AVANT CETTE LOI La législation de la contraception (1967) Manifeste

femme. Mai 68 aida aussi les femmes à prendre la parole. Ce fut également à partir du début des années septante que la contraception et le planning familial devinrent accessibles plus facilement à toutes. Enfin, les femmes n'eurent plus peur des grossesses non-désirées, et n'avaient plus besoin d'avoir recours à des méthodes peu sûres, comme celle de la température, par exemple. Elles pouvaient enfin disposer de leur corps quand elles le désiraient. Plus tard, la pilule fut encore améliorée, et ne

légale du commandement "Tu ne tueras point". http://www.svss-uspda.ch/fr/ethique/ethique.htm http://www.svss-uspda.ch/fr/facts/mondial.htm Des chiffres : alors que la contraception est largement diffusée, le recours à l'interruption volontaire de grossesse ne fléchit pas (environ 227 000 chaque année) Histoire du droit à l’avortement en France Le 31 juillet 1920, est votée par 521 députés contre 55 la loi qui interdit l’avortement et la contraception. Le but de cette loi est démographique