Intervention De L Etat Est Elle Un Frein Pour La Compétitivité Des Entreprises

Portelli, Yves Pozzo di Borgo, Josselin de Rohan, Mme Catherine Tasca, M. Richard Yung. -3- SOMMAIRE Pages I. LE DEUXIEME ACTE DE LA CRISE FINANCIERE GRECQUE ....................................... 7 A. LES CONDITIONS DE LA PREMIERE INTERVENTION EUROPÉENNE ............................ 7 1. Une aide financière de 110 milliards d’euros… ...................................................................... 7 2. …subordonnée à la mise en œuvre de réformes structurelles ..................

l’armée chinoise) écrivait au 3éme siècle avant J-C « Ceux qui ne connaissent pas le plan de leurs adversaires ne sont pas prés pour la négociation ». A l’instar des guerriers, les entreprises ont cherché à anticiper l’avenir. Dés les années 1920-1930, les services de planification des grandes entreprises établissaient des plans prévisionnels de résultats à, long terme, cette démarche qui partait du siége vers les services a été complétée par une approche ascendante dans les années 1960-1970

compagnies d'assurance, fonds de pension, edge funds, fonds souverains...). Cette logique financière déborde de la sphère financière sur la sphère réelle. On s'aperçoit que celle logique induit des modifications dans la logique productive des entreprises : modification de l'organisation de la production, des techniques de management... Quand on dit "mondialisation", il ne faut donc surtout pas la réduire à la seule sphère des marchandises, c'est à dire à la seule sphère du commerce international

développement agricole ; (v) rationalisation de l’utilisation des ressources naturelles ; (vi) renforcement des capacités d’analyse économique et financière et de suivi de la performance du secteur. Ce programme était axé sur la restructuration des entreprises publiques et la modification des règles du jeu économique en laissant de plus en plus d’espace au secteur privé et aux mécanismes du marché. Sa réalisation devait se faire sur deux années. 3. Le prêt de la BAD visait à soutenir la balance des paiements

17 avril Le Métier Influence Société de l’information Ecosystème informatique Entreprise Le Métier Intelligence Le SI au service des métiers et de la DG La performance durable des SI Le Management de la fonction SI Groupes d’échanges de pratiques La Recherche au CIGREF Le SI du CIGREF Livrables et publications Fondation CIGREF Partenariats International Le mot du Délégué Général L’équipe des Permanents Les entreprises membres en 2007-2008 1 2 3 4 5 5 6 6 7 8 9 9 10 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22

efforts et se montre le plus productif possible. B-Réduction des inégalités et croissance •D’autres économistes ont montré que la réduction des inégalités peut aussi être favorable à la croissance. •En effet, des calculs effectués en comparant des entreprises françaises (aux inégalités de salaires et d’autorité marquées) et allemandes (aux inégalités moins marquées) ont montré que la réduction des différences d’autorité et de salaires peut entraîner une meilleure coopérationentre travailleurs de niveaux

gestionnaire pour les entreprises .........................13 6. Une politique de soutien inadaptée.................................................14 7. Un environnement fiscal instable....................................................15 III - LES PROPOSITIONS DU CONSEIL ÉCONOMIQUE ET SOCIAL.............................................................................................16 A - LES AXES D’UNE STRATÉGIE MACRO-ÉCONOMIQUE FAVORABLE À L’INVESTISSEMENT DES ENTREPRISES.......16 1. Pour une

développement et leur évolution dans les années 1970 Avant, les pays développés étaient attractifs pour les placement et il y avait une demande importante. Depuis le 19ème Siècle, il y a des flux internationaux, sous forme d'obligations émis par l 'Etat /municipalité/province (instances publics), ou par de grandes sociétés qui exploitent des ressources minérales ou pétrolière, ou bien qui construisent des chemins de fer. Les obligations étaient souscrits par des épargnants des pays riches ; les taux

qui monte en puissance depuis une douzaine d’années. Cependant, au niveau de ses pratiques, les études démontrent que les PME-PMI ne maîtrisent pas l’intelligence économique. Cette dernière, étant établie sur la base des expériences des grandes entreprises, résulte des méthodologies inadaptées aux spécificités des PME, ce qui exige de créer des outils propres à leur contexte pour la mise en œuvre d’une démarche d’intelligence économique. Dans cette perspective, l’outil coopératif apparaît une piste

1981, Birch(1) démontre que les grandes entreprises ne sont plus les fournisseurs principaux d'emplois et d'activités. Ce renversement de tendance affecte toutes les nations industrialisées libérales, quel que soit leur niveau de maturité industrielle. En France, pendant la période 1971-1979, les grandes entreprises de l'industrie manufacturière voient leur emploi diminuer de 7,5%. Or, dans la même période, la proportion des salariés employés dans les entreprises de moins de cent salariés est passée