Interventionnisme

A- La conception libérale (A.Smith) A l’origine le libéralisme prône la théorie de l’Etat Gendarme qui est un Etat minimal dont l’intervention se limite aux fonctions régaliennes qui sont la justice, la défence national et la police. Un interventionnisme économique est justifié par l’existence de défaillance des marchés ou la concurrence ferait défaut et par l’existence de biens collectifs. Les libéraux considèrent en effet qu’une intervention trop importante de l’Etat fausse les mécanismes

canal de Panorama (1914). En Amérique du Sud les USA obligent les créanciers Allemands, Anglais et Italiens à accepter un arbitrage international dans lequel ils s’arrogent le droit d’exercer une « police internationale » dans la région. Cet interventionnisme se manifeste aussi par des immixions dans les affaires européennes et asiatiques : • En 1884 – 1885 les USA étaient observateurs à la conférence de Berlin sur l’Afrique. • En septembre 1899, ils avaient imposé aux Européens, « la politique

estimé à près de 59 milliards d’Euros en 2012, pour un bénéfice net de 2,13 milliards d’Euros. Acquisition de YPF le pétrolier Argentin, puis perte récente de YPF http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/04/17/repsol-ypf-derniere-victime-de-l-interventionnisme-de-buenos-aires_1686506_3234.html - Exposé a la crise Repsol à 45% de ses actif en Argentine, forte exposition a la crise où il réalise 22 % de son chiffre d'affaires (un peu plus de 10 milliards d'euros en 2000, sur un total de 45,5 milliards)

budget traduit toujours des choix politiques. La première loi que vote une nouvelle équipe présidentielle est en générale une loi financière. Derrière le vote d’un budget, il peut y avoir une conception de l’Etat. Suivant la conception de l’Etat (interventionnisme ou non, par exemple), les ressources nécessaires vont varier. II- La méthode de travail. Important de comprendre comment on vote un budget, le rôle des différents acteurs ou encore la particularité de certaines lois (question de la

l'impôt n'a pour seule fonction que de répondre aux besoins financiers de l'Etat qui exerce des activités non rentables. l'impôt n'a pas à être socialement juste, il n'a pas de fonction redistributive. B- la conception interventionniste - le bon interventionnisme: pour Keynes, on peut se mettre en déficit uniquement dans le cadre de crise économique mais pars pour des décennies. en ce qui concerne le chômage: il préconise une politique économique active de la part des autorités administratives c'est

Communistes (KPD), socialistes (SPD), libéraux, Juifs, Eglises catholique et protestante, etc. Aspects économiques Dirigisme étatique total : Collectivisation, planification (Gosplan, plans quinquennaux), stakhanovisme, industrialisation, etc. Interventionnisme étatique et politique d’autarcie. Les corporations remplacent les syndicats. Dirigisme étatique : relance de l’industrie de guerre, grands travaux publics, politique d’autarcie. Thèmes de propagande Culte du chef, de l’Etat fort, glorification

la double condition qu’existent localement des « circonstances particulières » à celle-ci et qu’un intérêt public local justifie l’atteinte ainsi portée au principe de la liberté du commerce et de l’industrie. 2. L’acceptation d’un certain interventionnisme. Le Conseil d’état va profondément modifier son attitude à partir de 1933, en admettant très largement l’existence de circonstances locales justifiant l’interventionnisme des collectivités locales, principalement les communes. Les exceptions

l’amphithéâtre, alors que certains croient qu’il faut opter pour les finances privées. Pour le schéma conceptuel, je placerais tout en haut le concept général de principe politique. Il y a donc un similitude plus qu’évidente entre interventionnisme et libéralisme car les deux sont un principe politique pour diriger un pays. Par contre, on peut faire une différence entre le libéralisme économique et l’interventionnisme économique car ces deux principes politique sont très différents l’un

communistes et de matériels dès 1958 grâce à la réutilisation de la Piste Hô Chi Minh. Dès le début du conflit, la RDVN fut soutenue par des aides logistiques sino-soviétiques alors que de son côté, la RVN fut progressivement « coadministrée » par un interventionnisme américain croissant au fil des années. Les États-Unis inscrivirent ce conflit dans une logique de guerre froide en s'appuyant sur une stratégie anti-communiste. L’expansion du communisme devait être stoppée conformément à la doctrine américaine

après 1971 (fin de Bretton-Woods), ralentissement des investissements, endettement des entreprises, chômage ( création de l’ANPE en 1967 et du RMI en 1987), déficit commercial chronique · les politiques de droite et de gauche entre interventionnisme de l’Etat ( keynésianisme, nationalisations, diminution de la durée légale hebdomadaire du travail, allocations…) et libéralisme économique ( privatisations ,rigueur budgétaire, diminution des impôts, réhabilitation de l’entreprise privée…)