Intifada

relatant la « provocation » du leader de la droite israélienne (Likoud) Ariel Sharon. http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/video/CAB00051661/incidents-a-jerusalem.fr.html Q2 : Pourquoi cette provocation a-t-elle provoqué la seconde « Intifada » ? Q3 : Quels sont les arguments des protagonistes dans cet incident grave ? Visionner les affrontements du 9 novembre 2008 au Saint-Sépulcre http://www.dailymotion.com/video/x7creq_affrontements-au-saint-sepulcre_news Q4 : Qui oppose cet affrontement

Quelques rares chapitres de monologues intérieurs des deux personnages viennent interrompre l’échange épistolaire et tiennent le lecteur en haleine d'un bout à l'autre du roman. Une valse des mots, au rythme de leur vie bousculée au gré des Intifadas, des attentats, des violences quasi quotidiennes et terrorisantes, vécus comme des fatalités, les rendant impuissants à être les acteurs de leur propre vie, dans leur propre pays Les nombreuses expressions du silence dévoilent la béance du vide

résolution des problèmes sociaux et le renforcement des Forces armées Israéliennes.[2] Il perd les élections de 1977 et devient Ministre de la Défense en 1984 suite à la formation du gouvernement d’union nationale. En 1987, il réprime la première Intifada, soulèvement populaire palestinien contre l'occupation. Puis, le parti travailliste revenu au pouvoir, Rabin est réélu comme premier ministre en 1992. En 1993, les négociations avec l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) mènent

atteint un degré critique, il ya des manifestations, des fusibles qui sautent, des explosions, des révoltes, des ras-le-bol qui mènent vers l’éclatement du système. Il s’agit alors d’une fracture de la dignité. C’est cela ce qu’on appelle une « intifada » (débordement). Extrait de « HUMILIATION à l’ère du méga-impérialisme » de Mahdi ELMANDJRA (pp : 13-14) Troisième édition, 20 novembre 2003. ROYAUME DU MAROC MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR DE LA FORMATION

les alliés d’Israël en diminuant la production de pétrole et en augmentant le prix du baril. Après la proclamation de Jérusalem comme capitale d’Israël en 1980 provoque le soulèvement des populations palestiniennes en 1987 c’est le début des « intifada » et des mouvements anti-Israël comme le Hamas sont fondés. La construction d’un mur en 2003 séparant les deux états pourtant déclarée comme illégale par l’ONU et la Cour Internationale de Justice car celui-ci s’étend sur le territoire palestinien

Beyrouth ; l’OLP est menacée de destruction et se réfugie à Tunis mais il y a des massacres dans les camps de Palestiniens fait par les milices chrétiens, sous les yeux des Israéliens. Les Palestiniens qui vivent en Israël se sentent abandonnés, en 1987 > Intifada (« guerre des pierres »), il y a une répression féroce -En 1991 c’est la fin de l’URSS : perte du soutien pour l’OLP et la première guerre du golfe : OLP soutient l’Irak (qui finalement perd et il y a une réunion à Madrid, organisée par les USA,

amis " qui leur servaient d’appuis régionaux). 2. Deuxième raison : l’échec du processus de paix au Proche-Orient (lié à l’intransigeance des dirigeants israéliens et à la radicalisation des courants islamistes) entraîne une escalade entre Intifada, attentats terroristes et mesures répressives. 3. Troisième raison : les prétentions à l’hégémonie régionale de Saddam Hussein entrent en jeu. Ainsi, alors que les États-Unis prétendaient imposer leur ordre international, les réactions

le parti chiite libanais Hezbollah. C’est la 1ère véritable défaite israélienne de longue après une lutte de longue haleine contre l’occupation sioniste au Liban. 3) L’impasse du processus de paix face à aux manœuvres israéliennes LA SECONDE INTIFADA en réponse à l’impasse du processus de paix Alors qu’en théorie, selon les accords d’Oslo, un Etat palestinien souverain aurait dû voir le jour en septembre 2000 en Cisjordanie et en bande de Gaza, Israël refuse de restituer les territoires de 1967

lamentations. La proximité des deux monuments faits de ce secteur de la vieille ville un des épicentres du conflit. En 2000 Ariel Sharon se rendit sur l’esplanade des mosquées ce qui provoqua des émeutes violemment réprimées (c’était le début de la deuxième Intifada). Les représentations: enjeu symbolique d'une ville trois fois sainte Jérusalem représente un enjeu spirituel pour les trois monothéismes et un lieu de mémoire pour une bonne partie de l’humanité. Judaïsme, Christianisme et Islam associent la

les années 60. La droite (Likoud), prend le pouvoir en 1977. Lui succède en 1984 un gouvernement d'union nationale dirigé en alternance par les travaillistes et le Likoud. Il doit notamment composer avec le soulèvement dans les territoires occupés (Intifada) qui exacerbe les passions. Des initiatives de paix et de nombreux reculs, dont un second soulèvement dans les territoires occupés, marquent la fin du siècle. L'arrivée d'Ariel Sharon au pouvoir, en 2001, s'accompagne d'un raidissement, puis d'une