Intimite Pudeur Dignite

sa mère et de leurs relations pour arriver au jour où elle est atteinte brutalement, d'un accident vasculaire cérébral grave qui la plongera dans un coma qui la conduira, quatre semaines plus tard à « naitre au ciel¹ » Il nous décrit, avec pudeur et intimité, a traers des yeux d'enfant et de médecin, les moments passés auprès sa mère, dans un journal, qu'il à écrit à son chevet. Il nous fait part de son vécu sur l'accompagnement au seuil de la mort, Les moments intenses qu'il vivait à ses côtés

personne dans la réalisation de ses soins quotidiens. Elle est en lien avec le décret du 16 février 1993 sur les règles déontologiques : article 2 : « l'infirmière exerce sa profession dans le respect de la vie et la personne humaine. Elle respecte la dignité, l'intimité de la personne. » Mme C. est âgée de 89 ans, elle est veuve et a deux enfants : une fille décédée et un garçon qui ne lui rend que très peu visite. Elle est entrée en 2008, elle est donc dans l'établissement depuis 6 ans suite à une

psychologique. Elle permet aussi de prendre un premier contact avec le patient, on parle de relation soignant-soigné. Cet acte est sur rôle propre d’après l’article R4311-5 du code de la santé publique et plusieurs concepts sont mis en avant comme la pudeur, la dignité, l’hygiène, l’intimité. Lors de ma deuxième période de stage de 10 semaines, je devais réaliser différentes toilettes et aux transmissions en poste du matin on m’annonce une patiente arrivée la veille au soir pour dyspnée et chute à domicile

mauvaise estime d'elle-même (pudeur). Mme B. avoue être dépressive mais ne se laisse pas aller pour autant, d'où sa prise en charge par le SSIAD afin de l'aider pour ses soins d'hygiène. Mme B. elle essaie de faire le maximum de chose afin de ne pas tomber dans une totale dépendance, ce qui serait vécu pour elle comme une perte de dignité. Mme B. n'aime pas non plus qu'on la touche trop sinon cela est vécu comme une intrusion supplémentaire vis à vis de son corps (intimité). Mme B. est une femme assez

afin d’être plus à l’aise lors de la réalisation du soin. J’ai alors commencé par aider le patient à enlever la chemise de nuit qu’il porter en la laissant sur son torse, j’ai également laissé les draps jusqu'à sa taille pour respecter sa pudeur, intimité et préserver sa température corporelle. Avant de mettre du savon sur le gant j’ai d’abord procéder au nettoyage des yeux, puis avec le gant savonné j’ai nettoyé le visage et le cou en terminant par le rinçage et le séchage de ces derniers. Puis

permanent. » Le lendemain matin, l’auteur fait la rencontre de « Ernest » : aide-soignant. Ernest va l’accompagner pour réaliser tous les gestes quotidiens de la vie. Dans ces paragraphes, l’auteur explique sa perte d’autonomie, « voire même de dignité » , « Je découvre les joies de l’autonomie zéro, de l’entière dépendance aux humains qui m’entourent et que je ne connaissais pas hier» Fabien décrit son accident parvenu à la suite d’un plongeon effectué dans une piscine peu profonde. Sa tête

pathologie de mes résidents je me renseignée auprès de mes collègues sur ce qu’il était capable de faire seul et sur quoi il fallait que je l’assiste ou fasse à sa place.Je l’ai accompagné jusqu’à sa chambre, j’ai fermé la porte afin de respecter son intimité afin qu’il conserve son autonomie je l’ai laissé commencer à se déshabiller seul durant ce temps j’ai préparé ce dont j’avais besoin dans la salle de bain afin de ne pas le laisser seul sous la douche (gant de douche personnel, serviette, gel douche

retire son bas de pyjama pour lui faire sa toilette et j’installe la serviette de toilette sur lui, Monsieur X : « Il n’y a pas besoin de la serviette. »  Moi : « Et bien si vous permettez, je mets la serviette sur vous pour préserver votre intimité » Monsieur X : «  Faites comme vous voulez. » Je mets de la solution hydro alcoolique sur mes mains et je mets des gants à usage unique non poudré. Je prend mon gant de toilette y mets du savon, je commence à savonner le bas ventre en nettoyant

superficielles, elles n’ont plus de dignité et de pudeur comme celles en perse. Elle n’ont finalement pas d’amour propre. IV. Roman épistolaire (1717 – 1720 dernières années de L14) • Forme moderne, différentes de celles de l’époque (romans n’étaient pas composés des seulement lettres) • Authenticité , réaliste à l’histoire • Permet au lecteur de déduire par soi même ce qui ce passe • Et d’imaginer la société à travers le regard de quelqu’un d’autre • Intimité avec le lecteur • Crée une ambiance

sont différentes face à la pudeur et à l’intrusion dans l’intimité. La pudeur et l’intimité sont des notions difficiles à expliquer car elles sont souvent similaires . Selon le Dictionnaire encyclopédique des soins infirmiers (Marguerite POTIER, édition LAMARRE) : la pudeur est un sentiment de gêne éprouvé par une personne qui est témoin d’actes intimes, de la nudité de l’autre et/ou d’actes sexuels ou par une personne qui se sait observée dans ces circonstances. La pudeur se traduit par une attitude