Intimite Pudeur Dignite

finir par le plus sale :La face, le haut et le bas du corps sont considérés comme étant le plus propreLes organes génitaux et le siège sont considérés comme étant le plus saleSi patient souillé= commencer par la toilette intime (concept de confort/dignité) 15; si le change est souillé, faire une toilette au lit et mettre une protection propre (gants et serviette de toilette jetables); ôter et jeter les gants à usage unique15V/Le déroulement de la toilette Changer l'eau de la bassine aussi souvent que

biologie et la dépression quelle relation ? 5 ●Quelle est l’état de santé générale de Mme G et présente t elle des facteurs de risque de perte davantage d’autonomie et d’indépendance ? 6 ●La toilette de Mme G quand le soin interpelle la pudeur ? 7 ●la pudeur s’estompe-t-elle avec l’âge ? 7 ACTION 8 POSITIONNEMENT 9 Bibliographie SITUATION CONTEXTUELLE Le 29 octobre 2014, j’effectue mon premier stage en tant qu’élève infirmière en première année à l'EHPAD : un établissement d’hébergement

des soins qui lui sont administrés. Pourquoi l’aide soignante me confie t-elle une personne exigeante? Madame P, était réticente à l'idée que je l'aide à faire sa toilette pendant la durée de mon stage. Pour ne pas faire atteinte à sa dignité, j'ai préféré ne pas insister. Plus tard dans la journée, elle cherchait à me voir pour m'expliquer qu'il fallait qu'elle connaisse d'emblée la personne qui s'occuperait d'elle. Le lendemain à 8h30, l'aide

T, en noir ; moi, en bleu ; Mme S la voisine de Mme T, en rouge) J'entre dans la chambre, mets ma présence et préviens Mme T que je vais lui faire une glycémie capillaire, celle ci acquiesce. Je mets les rideaux de chaque côté pour garder son intimité et veille à ce que Mme T soit bien installée. À peine ais-je mis les rideaux que sa voisine, Mme S m'interpelle pour me demander si j'ai un annuaire téléphonique. Je lui réponds que non, mais je me renseignerai. « comment allez-vous Mme T? »

toilette ,enfin doit répondre à un désir de confort et de bien être du patient. Etre propre pour répondre aux normes sociales d’aujourd’hui et maintenir ses relations. Etre bien coiffé, bien rasé, bien vêtu c'est se plaire à soi-même et conserver sa dignité humaine, c'est rester aux yeux de son entourage une personne à part entière. Comme l’expression le dit si bien « être bien dans son corps, c’est être bien dans sa tête ». Pour finir, la toilette est aussi pour le soignant, un moment d’observation

personnes handicapées qui, comme lui, ont vécu et vivent encore un quotidien particulier rythmé de difficultés que l’on ne soupçonne pas toujours. En plus du regard parfois cruel porté sur eux par certains individus, c’est également une pudeur, une intimité et une dignité mises à mal. C’est un quotidien à réorganiser car, si pour une personne valide changer la chaine de sa télévision ou aller aux toilettes est un acte banal de la vie de tous les jours, pour une personne paraplégique ou tétraplégique ce

réellement que la date de naissance figure sur les registres. C'est à partir de là que l'âge commence à avoir une importance personnelle. Pour les plus instruits, il est déjà important au XVIè siècle ( peintres, écrivains… ). On observe une certaine pudeur par rapport à l'âge : les gens ont une façon réservée de le donner. Les âges de la vie : Moyen Age : enfance/puérilité, jeunesse/adolescence et vieillesse/sénilité. XIVè siècle : âge des jouets, de l’école, de l’amour

de retraite permet également d’inclure les résidents dans la vie de la cité. Le respect de l'intimité et des convictions La maison de retraite est le domicile de la personne âgée qui y réside : cette dernière a donc le droit au respect de son intimité tout autant qu’à celui de ses convictions religieuses et politiques. Quelques questions peuvent donner des indications sur le respect de ces droits : Hébergement : Pourrai-je changer de chambre en cours de séjour si j’en ai envie ? Il peut arriver

enlevé la serviette pour la mettre en dessous de son bras droit puis j’ai fait la toilette du tronc et des bras tout en respectant l’hygiène. Préalablement, je lui avais enlevé les bras de sa chemise ouverte et je l’ai laissé sur elle pour préserver sa pudeur. J’ai savonné son tronc, l’ombilic, le dessous de bras droit, le bras, la main droite. J’ai recouvert avec la chemise, j’ai rincé, ressuyé en tapotant et j’ai posé la serviette sur la partie droite. J’ai fait de même avec le bras gauche en utilisant

‘’masochisme’’ de Michel. ................................................................... 30 III. Un rejet du collectif ou un caractère observateur ? ................................................................... 31 IV. L’’amour-propre et à la pudeur : quelles sont leur limite ? ..................................................... 34 4. LE PROJET REPENSE ET SON EVALUATION. ......................................................................... 38 I. Le projet au quotidien dans l’ici et le