Intimite Pudeur Dignite

d’activités en journée soumis à des règles de relations sociales et des temps « familiaux » où pourrait être abordé ce qui relève de la vie privée ? Comment redessiner les contours d’une intimité pour ces personnes qui vivent au quotidien en collectif ? Comment les aider à distinguer ce qui relève de leur intimité voire de leurs secrets, de ce qui se partage ou s’expose aux autres ? Comment ne pas être intrusive en tant que Monitrice Educatrice ? Lorsque je suis arrivée sur le Foyer Occupationnel

toilettes : est-ce que j’ai respecté la dignité de la personne, l’intimé : est-ce que j’avais le choix et est-ce que quand je l’ai fait j’ai quand même respecter son intimité. Comment je pourrais faire la prochaine fois. Pourquoi je l’ai fait comme ça et pas autrement ? Ex : Pourquoi toute les fois que les patients qui arrive dans le service on les fait mettre en chemise de nuit alors qu’ils viennent pour un mal de gorge ? est-ce qu’on respecte l’intimité , la pudeur de l’autre (elle a fait des recherches

Droit, éthique, morale Droit : -Secret professionnel -respect de la dignité du patient -bientraitance -ensemble de règles appuyées sur la loi >écrit, nos garants -tout le monde a des droits particuliers -avoir une place dans la société et vivre en communauté -règles imposées et sanctionnées par l’Etat > ex : secret professionnel -DROIT DU PATIENT Législation : -révélation de données aux personnes mandatées -obligation de respecter le secret professionnel. Si non

épouse des affaires personnelles (serviette de bain, gants de toilettes, trousse de toilettes) * Lui proposer de lui laver le dos et autres partie du corps trop difficile à laver en lien avec son hémiparésie. * Respecter l’intimité, la pudeur, et la dignité du patient en fermant la porte de la salle de bain. * L’inciter à se laver sous la douche en ayant pris soin de maintenir la température de la salle de bain assez élevée. * Lui fournir les aides adaptées nécessaires telles que les barres

article VII : « la personne hospitalisée est traité avec égards (…) Le respect de l’intimité de la personne doit être préservé lors des soins (…) à tout moment de son séjour hospitalier ». Ainsi, en tant que soignant, je me dois de respecter cette intimité de la patiente. Dans le cas de madame K. l'intimité est de mise, car en toquant avant d'entrer dans sa chambre, je respecte son espace privé, et je recueille aussi son consentement. Je me lave les mains a la solution hydro-alcoolique, afin d’éviter

ce type de soin mais aussi avec Mme L. Présentation de la procédure d’action Je commence donc le soin en disposant une serviette sur le haut du corps de Mme L afin de maintenir sa température corporelle mais aussi pour respecter son intimité, sa pudeur et sa dignité. Je prépare ensuite le gant (mettre du savon avec de l’eau avec une température adaptée d’environ 36°). Je lui explique au même temps les gestes que j’effectue et dans quel but je les fais. La résidente étant rétractée, je prends en

sa peau. - Les savoirs requis pour cette activité sont : Les règles d’hygiène qui sont primordiales pour ce soin afin d’éviter toute infection, la manière de faire une toilette apprise en TP ainsi que le respect de la personne dans sa pudeur et toute sa dignité. - Pour ce soin, il a tout d’abord fallu que je prépare toutes les affaires afin d’être organisée : Je prends un sac poubelle pour la protection et les gants souillés, deux serviettes propres (la plus claire pour le haut, la plus foncée

patient hospitalisé qui stipule en point n°8, je site « la personne hospitalisée est traitée avec égards. Ses croyances sont respectées. Son intimité est préservée ainsi que sa tranquillité. » -2ème point : la loi du 4 mars 2002, qui parle beaucoup de la dignité et du respect des patients. Le droit à la dignité, c'est respecter une personne par sa pudeur, ses croyances, ses valeurs et aussi ses différences. Le droit à la non discrimination et à l'égalité de la prise en charge, qui regroupe plusieurs

ralentissement cognitif nous traitons la patiente avec le respect qu’il se doit, enfin nous lui demandons si cela ne la gêne pas que je fasse sa toilette. En effet, en tant que stagiaire masculin cela peut constituer une certaine gêne. Nous respectons ainsi sa pudeur. Nous lui demandons si elle souhaite faire une toilette ce matin. Une fois son accord obtenu, (voire loi du 4 mars sur le consentement éclairé), nous repartons chercher le matériel nécessaire à celle-ci. Parallèlement, nous prenons connaissance du

lui demander son autorisation. Ce rideau habituellement utilisé par les autres soignants lors des soins. Observation et étonnement. Etant en observation d’un soin de confort fais par une aide-soignante, les gestes tel que le respect de pudeur et intimité sont prioritaires. Surtout que face au patient se trouvent un autre patient. Aurais-je oublié d’utiliser le rideau de séparation ? Difficulté et point à approfondir. Un oubli pareil reste dans le non-respect du patient. Ne sachant pas