Intimité Pudeur

Bien qu’il faut dans la mesure du possible laisser libre choix de l’horaire du patient. Ce doit être en plus d’un soin d’hygiène et de confort, un moment important d’échange entre le patient et le soignant. Elle se pratique en respectant la pudeur du patient ainsi que sa sécurité. La toilette se fait avant la réfection du lit ainsi que le ménage de la chambre. On s’organise selon un ordre hygiénique, du plus propre au plus sale. DEROULEMENT DU SOIN : Pour ce faire, j’aurai besoin de

livre, on sait qu'il s'agit d'une maladie grave et incurable. Elle est très en colère et à la rage. On sent que cette maladie va être le centre du livre. Elle y raconte ses hospitalisations où les médecins et le personnel soignant ne respectent ni sa pudeur ni sa dignité. Elle souffre autant sur le plan physique que sur le plan psychique. Elle parle d'une « démolition » de son corps. Elle n'a pas l'air heureuse mais ne présente aucune tristesse. Elle a des douleurs auxquelles elle ne s'habitue jamais

personnelle, profil, narcissisme, altérité, identité Colporter, diffuser, divulguer, propager, créer le buzz, rumeur, information, qu’en-dira-t-on, réputation, cancans, ragots, marketing viral Intimité, anonymat, silence, protection de la vie privée, confidentialité, discrétion, secret, meuble secrétaire, pudeur Vitesse, immédiateté, temps réel, spontanéité, retenue, réserve, atermoiement, procrastination Ami, association, coterie, cercle, club, communauté, forum de discussion, réseaux sociaux Élégance

Fiche toilette Matériel utilisé : Savon (adapté), gants (si nécessaire), gants de toilette (quantité), serviettes → S'adapter au patient (dépendant ou pas) → Respecter le patient (intimité, confort, bien-être) → Être à l'écoute des besoins du patient → Protocole à suivre Confort : Psychologie → présentation de la toilette, demander son accord, fermer les portes (paravent) Physique → température de l'eau en fonction du patient, ne pas laisser le patient entièrement nu, faire attention

d'identifier les interlocuteurs, car les tirets ne sont pas toujours là pour nous aider. Serait-ce une promenade nocturne à deux, sous la lune, mais où l'atmosphère romantique, la douceur, le chant du rossignol ont bien disparu : - intimité dans le tutoiement - intimité dans l'expression « près de moi, ton soldat fidèle » Mais opposition croissante dans les réactions : - le dégoût : avec le leitmotiv « Horreur » et le double point d'exclamation - l'incompréhension devant cette réaction : « Pourquoi

Je rince en effectuant le même chemin que pour le savonnage, membre par membre tous en cachant sa poitrine avec une serviette pour la pudeur. Je la sèche bien, notamment sous les seins car l’endroit est sujet à diverses irritations cutanées. Je laisse une serviette propre à Mme A, et je lui suggère de continuer avec la petite toilette pour préserver son intimité. Je retire la protection saturée d’urine, je garde le même gant car Mme A n’a pas de mycose sur le torse. Je me frictionne les mains avec

les mains. Ce mode de transmission est la principale cause d’infections au cours des soins. Sa prévention repose sur le lavage des mains. Pudeur : Disposition à éprouver de la gêne devant ce qui peut blesser la décence, devant l'évocation de choses très personnelles et, en particulier, l'évocation de choses sexuelles Respect dignité, intimité : c’est de prendre en considération qu’une personne a le droit d’avoir une vie privée. Ici la moindre des choses et de faire la porte de la douche

cibler ma recherche. En effet, il en ressort un vécu douloureux d’où ma problématique : l’extraction manuelle de fécalome est difficile à vivre pour le soigné et à réaliser pour le soignant. 3 Cadre conceptuel 1 Intimité et soins infirmiers 1 Intimité Le mot intimité vient du latin intimus qui est le superlatif de intérior signifiant intérieur. Ainsi, d’après le Petit Robert, l’intimité représente le « caractère intime, intérieur et profond, ce qui est intérieur et secret », l’intime

chambre de la patiente sur laquelle j’effectuerai le soin. Une fois dans la chambre, je m’installe, bouge le mobilier. Ensuite, j’installe la patiente alitée sur le côté en m’assurant que la position est confortable. Je veille également à sa pudeur et son intimité. Je pratique la réfection du pansement. Quand c’est fait, je réinstalle la patiente sur le dos, remet le mobilier comme il l’était auparavant (lit, sonnette, téléphone, télécommande, eau, verre, magazines). Puis, l’I.D.E. et moi sortons. Une

dernière heure"). Puis les efforts de M.L. sont traduits par des expressions et des « marques d'amour ». Il fait l'économie de nous en révéler la nature, comme s'il jugeait que cela appartenait à leur intimité. Tout ça vise à bien nous amener à prendre conscience de la grande retenue et beaucoup de pudeur de ce récit. D'autre part, il est le récit de l'impossible à raconter, l'indicible. D.G. en fait ce récit des mois après la mort de M. Il n'est toujours pas capable de la raconter. Il s'excuse d'ailleurs