Intimité Pudeur

parties : 1ère partie, rythme rapide ou on apprends l'arrestation des fils de Strozzi. 2ème partie, beaucoup plus statique ou l'on découvre le véritable Lorenzo de Médicis. Confession de Lorenzo Cela nous révèle sa vrai nature. Il confie son intimité a PS pour la première fois mais aussi au public qui découvre en même temps que PS, le vrai Lorenzaccio. On peut remarquer l'opposition des temps du passé et du présent ( Lorenzo n' était pas le même) Il évoque sa jeunesse avec des verbe du passé :

pendant une longue période et ainsi ne plus être capable de financer ses études. De plus elle semble s’ennuyer à l’hôpital et son entourage lui rend très peu de visites. Elle semble également attacher une grande importance au respect de sa pudeur et de son intimité ; elle ne supporte pas les vêtements de l’hôpital qui laissent apparaître son corps… elle se sent également très vulnérable. Camille présente des antécédents médicaux ; elle souffre d’asthme depuis l’enfance. Elle traite cela par des inhalations

Ses propos donnaient une image très péjorative de l'acte de défequer, allant dans le sens de la "saleté", d'avoir été considérée comme une enfant. J'ai effectivement compris et partagé son opinion et sa pudeur sur le sujet; J'ai tout de même nuancé mes propos en lui rappelant que cette pudeur ne devait pas porter préjudice à sa santé et la gravité d'une occlusion intestinale et que l'équipe soignante avait besoin de sa coopération pour veiller à sa santé, mais que cela devait se faire en toute

patient hospitalisé qui stipule en point n°8, je site « la personne hospitalisée est traitée avec égards. Ses croyances sont respectées. Son intimité est préservée ainsi que sa tranquillité. » -2ème point : la loi du 4 mars 2002, qui parle beaucoup de la dignité et du respect des patients. Le droit à la dignité, c'est respecter une personne par sa pudeur, ses croyances, ses valeurs et aussi ses différences. Le droit à la non discrimination et à l'égalité de la prise en charge, qui regroupe plusieurs

de tout ce malheur et de leur persécution. Arrière-planDevant la maison à droite on voit deux détenus en habillons presque nus :L’un, tournant totalement et montre son dos au spectateur, peut-être dans le but de préserver une once d’intimité et de pudeur. Il est accroupit et défèque dans des latrines improvisés. La couleur jaune marron attire l’œil est met en valeur l’importance de cette situation. L’autre, de profil est blanc plâtreux, son dos est vouté sous le malheur et la maladie. Il semble chercher

-respect d’autrui -civisme -valeurs culturelles commune d’une société (ex : politesse) -pas d’écrit : implicite et en lien avec la société -partagée entre plusieurs personnes -ensembles de règles et conduite Ethique : -respect de la pudeur/ intimité -règlement pouvant encadrer la profession, ensemble de règles morales -Détermine le comportement de chacun -Notion de sentiment et d’empathie du professionnel de santé -prendre en compte l’intégrité physique et morale du patient -règles

n'attaque pas Don Juan frontalment et violemment puis qu'elle est une femme et elle le fait par pudeur. Elvire reste très calme même si d'un côté elle a comprit la vérité. Malgré tout Elvire est quand même offensée et elle le fait ressortir par des formules de politesse ironique qui montre sa douleur. Don Juan humilie Elvire qui ne va pas s'énerver pour ne pas salir son image de grande dame. Elle répugne son intimité. Elvire n'a plus aucun espoir de retrouver l'amour de Don Juan. C'est pour cela qu'elle

mauvaise estime d'elle-même (pudeur). Mme B. avoue être dépressive mais ne se laisse pas aller pour autant, d'où sa prise en charge par le SSIAD afin de l'aider pour ses soins d'hygiène. Mme B. elle essaie de faire le maximum de chose afin de ne pas tomber dans une totale dépendance, ce qui serait vécu pour elle comme une perte de dignité. Mme B. n'aime pas non plus qu'on la touche trop sinon cela est vécu comme une intrusion supplémentaire vis à vis de son corps (intimité). Mme B. est une femme assez

se cacher les uns des autres, on devrait pouvoir s’exprimer sans artifices, plus besoin de « oui » pour camoufler un « non », de « cela va bien » pour prévenir les questions indiscrètes…Oui mais c’est sans compter sur le droit à la pudeur, cette protection de son intimité très légitime, comme le coquillage qui refuse de s’ouvrir pour cacher la perle qu’il secrète. Je pense qu’il faut apprendre à vaincre son angoisse et apprécier la vérité, la sienne d’abord en s’acceptant soi-même, et celle des autres

de monde est alors présent et où la lumière joue un rôle clef. Cependant malgré cette présence humaine autour d'eux, la lumière émane de bougies (à l'époque pas d'électricité) ce qui favorise une ambiance romantique et la création d'une certaine intimité. 3. Le regard « On admira » « cherchait des yeux » « elle vit » « voir quand on ne l'avait jamais vu » « aussi de voir ». Comme dans beaucoup de scène de 1ère rencontre, le regard joue un rôle décisif pour les deux personnages, ce que nous voyons