Introduction Bérénice Racine

Introduction Phèdre est un œuvre écrit par Jean Racine, dramaturge et historiographe de LOUIS XVI. C’est œuvre est sorti et publie en 1677, il fait partie des œuvres dites ‘les œuvres de la décennie du succès racinien’ qui a commencé en 1667 (la publication d’Andromaque). Les questions primordiales sont : - Cette œuvre fait-il polémique ? - Transmet-il un message Politique Phèdre de JEAN-RACINE, l’indétrônable du Classicisme ? Premièrement, nous allons vous présenter la vie de JEAN-RACINE, son

Introduction Source wikipédia La tragédie est un genre théâtral dont l’origine remonte au théâtre grec antique. On l’oppose à la comédie au contraire de laquelle elle met en scène des personnages de rangs élevés et se dénoue souvent par la mort d’un ou de plusieurs personnages. Aristote lui assigne pour but d’inspirer « crainte et pitié ». La tragédie apparaît à Athènes au Ve siècle av. J.-C.. Elle est représentée dans le cadre des fêtes de Dionysos (les Dionysies) (fin janvier et fin juin)

la fin. Dans ce cas là, ton commentaire peut suivre l’évolution du texte sans que tu fasses pour autant du ligne à ligne. Chaque début de partie doit présenter très brièvement ce que tu vas tenter d’expliquer. (par exemple: Ce passage de « Bérénice » est particulièrement révélateur du désespoir de Titus qui est dans l’impossibilité d’affronter le regard de celle qu’il aime.) L’introduction Il est judicieux de s’attaquer à l’introduction une fois que l’on connait son plan. Le correcteur

Introduction : Le genre théâtral de la tragédie remonte au théâtre grec antique. Il met en scène, à l’inverse de la comédie, des personnages de rang élevé qui sont manipulés et impuissants face à la fatalité. Un ou plusieurs personnages sont souvent menés à la mort. Dans Bérénice, Racine respecte les règles classiques mais dépouille sa pièce d’action. En effet, la pièce contient peu de péripéties, aucune scène de violence et le dénouement n’entraîne la mort d’aucun personnage. La scène 3

Bérénice est une tragédie en cinq actes en vers de Racine. Titus : Empereur de Roma, aime B. Bérénice : Reine de Palestine, aime T. Antiochus : Prince de Comagène, Orient. Aime B donc opposant au mariage. Phénice : Confidente de B. Arsace : Confident de A. LA : Scène acte I de « Ah que me dites-vous » à « un autre lui-même » Introduction : Dans cette scène, nous assistons à un dialogue entre Antiochus et Bérénice. B. est la reine de Palestine, elle séjourne à la cour de l’empereur

l’épreuve en temps réel. Naturellement, pour un commentaire à la maison, il faut y consacrer plus de temps pour s’exercer (il faut alors prévoir plusieurs plages de travail, du type 1 heure, puis 2 heures, 1 heure, etc.) Structure du devoir : Introduction (de 8 à 12 lignes) : 1. Entrée en matière : on présente l’auteur ou bien le mouvement littéraire (si on les connaît). Ou bien on part d’une réflexion sur le genre littéraire ; ou sur un thème essentiel qui est présent dans l’extrait (par exemple

et qu’enfin le monologue est souvent lié à la dimension tragique d’un personnage à travers des procédés spécifiques. Le monologue peut être une forme conventionnelle du langage dramatique. Dans la plupart des œuvres tragiques de Corneille et de Racine, se trouve ce procédé théâtral. Le monologue peut exprimer l’amour du personnage, un amour difficile et coupable. C’est le cas de Phèdre (acte I, scène 3) où l’héroïne exprime son amour pour Hippolyte, son beau fils . C’est un amour violent et

apparemment très simple; et son usage on ne peut plus ordinaire du "il" inscrit dans une suite d'actions au passe compose rend la pratique des variations a la Queneau (du genre Exercices de style), comme l'a fait Armelle Webster dans son article cite en introduction à cette étude, très aisée. (2) Et pourtant, ce poème est plus complexe qu'il n'y parait et il ne faut pas se laisser abuser par son sens en apparence univoque: une " pauvre femme qui conte son tourment ", comme y voit naïvement Albert Gaudin dans

rencontre de La Princesse de Clèves et de Monsieur de Nemours, La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette. - La rencontre de Frédéric et de Madame Arnoux, dans L’Éducation Sentimentale, Gustave Flaubert. - « La première fois qu’Aurélien vit Bérénice… » Incipit d’Aurélien, Aragon. Lecture(s) cursive(s) Lectures cursives : La Princesse de Clèves, Madame de La Fayette. Documents complémentaires : - Le Philtre d’amour dans Tristan et Iseult. • La scène de rencontre dans L’Histoire du Chevalier

théâtre racinien dépeint " un monde cruel, peuplé d'êtres passionnés et faibles, entraînés par les fatalités de leur sang". Commentez cette affirmation à la lumière de vos lectures des tragédies raciniennes.     INTRODUCTION Élevé dans les petites écoles de Port-Royal les champs, Racine est, dès son plus jeune âge, imprégné profondément par le jansénisme, qui marque également ses tragédies. C'est ainsi que l'on a pu dire de ses pièces qu'elles montrent : "un monde cruel, peuplé d'êtres passionnés