Introduction à La Grèce Antique

La citoyenneté Introduction La citoyenneté est le fait pour une personne, pour une famille ou pour un groupe, d'être reconnu comme membre d'une cité (aujourd'hui d'un État) nourrissant un projet commun auquel ils souhaitent prendre une part active. La citoyenneté comporte des droits civils et politiques et des devoirs civiques définissant le rôle du citoyen dans la cité et face aux institutions. Au sens juridique, c'est un principe de légitimité : un citoyen est un sujet de devoir. DéfinitionLa

SEQUENCE 5 - LE THEATRE I ] Introduction • Complexité du genre théâtral qui repose sur : pérennité du texte écrit éphémérité de la représentation (interprétation, mise en scène, décors,…) • Double énonciation du dialogue théâtral ; les propos s’adressent à la fois aux personnages et au public. • Le théâtre se veut un art proche de la vie, de la réalité ; on remarque une exigence de naturel dans la représentation des personnages et

Philosophie Introduction : Définition : La philosophie est un héritage de la Grèce Antique. A l’époque de Périclès. Le mot n’apparait qu’au 5ème siècle. A l’époque, la philosophie et les sciences ne se distinguent pas, donc la philosophie est une morale, une logique, une physique. La philosophie n’est pas une théorie mais un mode de vie. Philosophie = recherche de la sagesse On réfléchit, on fait un retour sur soi. On ne possède pas le savoir, on le recherche. Ce sont les questions

Introduction : Au temps de l’antiquité, beaucoup pensait que la maladie était une punition des Dieux et la médecine scientifique grecque était moins connu, elle était apparemment très proche de la médecine égyptienne .Mais c’est à l’arrivée d’Hippocrate que la médecine scientifique se modernise car autrefois, elle était très proche de la médecine égyptienne. Hippocrate : Hippocrate est né vers 460 av. J-C , dans l’île de Cos. Il appartient à la famille des Asclépiades qui se dit descendante d’Asclépios

LE MYTHE D’ORPHÉE 23 mars 2010 INTRODUCTION La mythologie grecque et romaine est une source inépuisable d’inspiration qui, depuis des siècles, fait toujours bouillonner notre imagination. Les mythes n’ont cessé d’être interprétés et actualisés. Ils ont été exploités de toutes les façons : musique, peinture, sculpture, cinéma, littérature, etc. Il faut dire qu’ils ont beaucoup de matériel pour garder notre intérêt. Tous ces dieux et héros, forts et intelligents, qui affrontent de terribles

Didier Anzieu, «Le moi-peau», Nouvelle revue de psychanalyse, n°9, printemps 1974. Antonin Artaud, « Le Théâtre et son double », Œuvres complètes, tome IV, Paris, Gallimard, 1978. Colette Assouly-Piquet, « double, mère et mort », in : Psychanalyse à l’université, revue trimestrielle, t.II, n°42, avril 1986. Paul-Laurent Assoun, Freud, la philosophie et les philosophes, Paris, PUF, 2005. Gaston Bachelard, L’Eau et les rêves, Essai sur l’imaginaire de la matière, Paris, José Corti, 1993. Madeleine

Artisanat et techniques antiquespascale.rimassa@univ-tlse2.frcontrôle continu : 27 octobre 2 ou 3 questions Introduction – bibliographie (sur iris) signature sur les vases à partir de 580 région d'Italie du sud importantes :-Lucanie - Métaponte-Campanie – Cumes (740)/ Capoue (citée italique, indigène)-Apulie – Tarente -Paestum (citée grecque) -Sicile 40% des plus beaux vases sont retrouvés en Etrouvie. Historiographie du vase grec : La galerie Campana du Louvre, la collection du Marquis

L'histoire du siècle. II - Le 18ème siècle : le siècle des Lumières. III - Situer les auteurs sur la frise chronologique. IV - Les représentations théâtrales au 18ème siècle.I - L'histoire du siècle . Cours dialogué. A l'aide de la première bande de la frise chronologique (succession des régimes politiques), d'un texte résumant l'histoire du siècle (cf. Textes et méthode -classe de seconde - Hatier) et de leurs connaissances, les élèves doivent

termes de rupture. D’ailleurs, certains parlent même « d’humanisme médiéval », enrichi par les efforts considérables des clercs et le travail entrepris à partir du XIIe siècle. Au XIIIe siècle, à l’effort et à l’apport des clercs viennent s’ajouter des préoccupations philosophiques qu’à son tour, Charles V a suivies de près et organisées, grâce ou à cause du mécénat. Des orientations précises pouvaient être insufflées aux différentes manifestations de la vie culturelle et artistique. Et si l’on

dans son poème il y a de nombreuses comparaisons : Du Bellay compare les poètes antiques aux sept merveilles du monde. Il compare donc les 7 collines de Rome aux 7 merveilles du monde. L’intérêt de cette comparaison est de dire que Rome est la plus belle, qu’elle vaut les sept merveilles du monde et de s’inscrire dans une tradition poétique. Babylone : les jardins suspendus et les murs Le Babylonien ses hauts murs vantera, Et ses vergers en l’air, de son Éphésienne La Grèce décrira la fabrique