Introspection Franc Maçonnerie

LE CABINET DE REFLEXION Le cabinet de réflexion me semble un passage très important et très symbolique dans notre entrée en maçonnerie ! C’est la première étape du rituel d’initiation. En effet notre S. Experte à notre arrivée à l’entrée du Temple nous fait retirer tous nos métaux (bijoux, clefs, argent…) pour laisser dehors tout « le superficiel » et nous fait entrer dans une toute petite pièce au sous-sol. Quand c’est possible cette pièce se trouve sous le niveau du sol. Cette pièce peinte

Le Labyrinthe et la Franc-Maçonnerie Il m’importe maintenant après cet exposé succinct sur les deux grandes catégories de labyrinthes, ceux qui guident et ceux qui égarent, de vous faire part de mes réflexions personnelles sur les liens du labyrinthe avec la franc-maçonnerie. Il est clair que le labyrinthe n’est jamais représenté dans le Temple comme un symbole maçonnique, mais je trouve qu'il y a beaucoup de correspondances avec ma vie maçonnique. Quand j’ai frappé à la porte de la Loge, tout

dans les civilisations les plus anciennes avec sa signification ésotérique particulière, en font un ample usage à des époques diverses les Eglises établies, les doctrines religieuses d’Orient et d’Occident ainsi que l’architecture profane. En franc-maçonnerie, le triangle isocèle ou équilatéral est appelé delta du nom de la quatrième lettre de l’alphabet grec qui se dessine δ. Sa forme nous est indissociable de son contenu qui sera soit un oeil, soit le tétragramme sacré désignant l’Etre suprême,

ou franc-maçon, s’engager c’est mettre en gage sa parole et prononcer un serment qui induit la notion de respect. Ainsi, en respectant notre engagement nous devenons un homme d’honneur qui assume ses paroles et ses actes. Le serment est donc un acte sacré. Ne pas le respecter c’est se parjurer. Mais tout d’abord quels engagements avons-nous pris en tant que Franc-maçon ? Lors de la cérémonie d’initiation nous prenons 3 engagements successifs sur les trois grandes lumières de la franc-maçonnerie :

le code] Article principal : société savante. Jeremy L. Caradonna montre que les sujets controversés n’étaient pas toujours évités en citant les théories de Newton et de Descartes, la traite négrière, l’éducation des femmes, et de la justice en France comme exemples5. L’ouverture à tous des concours et l’anonymat obligatoire des soumissions garantissait l’impartialité du jugement eu égard au sexe et au rang social des candidats. En dépit de l’appartenance de la « vaste majorité » des participants

retour, on employa le terme grec «Agapai», qui désignait le repas familial. Et, par voie de conséquence, on utilisa le concept d'Agape (agaph en grec), pour désigner ce qui unissait profondément les croyants entre eux. Ce terme d’«Agape» en franc-maçonnerie est propre à notre langue, il a succédé au mot banquet à une date qu’il reste à déterminer1. Outre-manche chez les gardiens du temple qui délivre des attestations de régularité aux obédiences de notre planète, ce mot n’est pas usité. C’est le

88 52 50 41 DoSSIeR De PRéPaRatIon Les Frères réunis 2 sommaire i. le projet d’exposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P. 3 ii. Chronologie : la Franc-maçonnerie et la loge des Frères réunis à strasbourg . . . .P. 5 iii. le parcours de l’exposition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .P.7 iv. Quelques œuvres significatives . . .

van Helsing nous confronte à cette affirmation ; il nous montre l'enchevêtrement des loges et de l'occultisme avec la haute finance et la politique. Il nous fait grâce, cependant, d'en faire retomber la faute, comme c'est si souvent le cas, sur les francs-macons, les sionistes ou Satan. Il va aussitôt au coeur du problème, Il s'exprime sans ambages, comme les jeunes de son époque, qui ne craignent point d'affronter les systèmes criminels basés sur le contrôle, la puissance et la manipulation. Ce livre

de la Franc-Maçonnerie La pierre et le sable Thèse pour l’obtention du grade de docteur ès Lettres présentée et soutenue par Philippe Langlet sous la direction des professeurs Jacques Fontanille et Isabelle Klock-Fontanille Membres du jury : Jacques Fontanille, Université de Limoges, Institut universitaire de France Isabelle Klock-Fontanille, Université de Limoges, Institut catholique de Paris Pierre-Yves Beaurepaire, Université de Nice Sophia-Antipolis, Institut universitaire de France, rapporteur

Cher vénérable maître et vous mes chers frères en vos grades et qualités ici réunis C’est un grand honneur pour moi que de pouvoir vous adresser ces quelques mots, ces premiers mots d’apprenti dans cette enceinte où j’ai connu successivement l’obscurité et la lumière, le doute et le soulagement, la peur et l’euphorie. C’est précisément de ces sentiments et de ces impressions ressenties lors de mon initiation dont je vais vous parler ce soir, avec probablement de la maladresse, certainement de