Intérêt Des Portraits Au Théatre

charmes du récit. Les personnages en marge contribuent fortement aux charmes du récitLes personnages en marge suscitent un intérêt particulier par leur singularité et cela apparaît dès leur portrait. Ainsi, les personnages en marge sont présentés comme des êtres à part, propres à susciter la curiosité, et participent alors du plaisir de lecture.les personnages en marge contribuent véritablement aux charmes du récit en ce qu'ils suscitent l'intérêt du lecteur et qu'ils permettent la multiplication

« pas deux heures ») contribue à mettre en place une narration très rapide. · Un récit vivant et plein d'humour : Cet incipit porte manifestement la trace de la passion de Verne pour le théâtre. La place du dialogue mais aussi le travail sur les entrées et les sorties des personnages (Marthe entre en scène avant de se retirer pour éviter la colère du terrible professeur, dont on attend l'arrivée) contribue à donner de la vivacité

février 1763), communément appelé Marivaux, est un écrivain français du 18eme siècle. Homme solitaire et discret, vivant dans un univers bien à lui, il fut un journaliste, un romancier, mais surtout un auteur dramatique à succès, qui, amoureux du théâtre et de la vérité, observait en spectateur lucide et objectif le monde en pleine évolution. Il écrivit, entre 1722 et 1740, des comédies sur mesure et d'un ton nouveau, dans le langage « de la conversation ». Il est, après Molière, Racine, Pierre Corneille et Musset le

passage) Scène (faits et gestes en détails) Pause (commentaire interrompt cours du récit) Ordre du récit : Chronologique / linéaire Analepse (faits antérieurs => explication, justification) Anticipation / Prolepse (annonce faits à venir) => relance intérêt pour l’intrigue / manifeste omniprésence du narrateur Points de vue Narrateur par rapport à l’action ? intervention du narrateur ? Interne / Externe / Omniprésent Romans polyphoniques : épistolaire (journal) / contemporain Fonction personnage

qui voudrait sauver son fils et être fidèle aux mânes d'Hector. Mais ces deux intérêts, ces deux plans sont si heureusement rejoints ensemble que, si la pièce n'était pas un peu affaiblie par quelques scènes de coquetterie et d'amour plus dignes de Térence que de Sophocle, elle serait la première tragédie du théâtre français »[4]. Selon le critique Félix Guirand, la pièce constitue un tournant dans l'histoire du théâtre français en cela que Racine « renouvelle le genre tragique en substituant à la

Une structure claire et concise 1 rencontre, 1 personnage par paragraphe = Drame en deux actes : vie du passage, rapidité de la progression de la situation d’énonciation b. Cette parenté avec le théâtre est double Discours prioritaire : dialogue, vie : on a l’impression d’être au théâtre Mêle deux tons : - comique : réaction du Quaker, de sa femme, de Candide - dramatique : sérieux de la condition de Candide, en état de détresse physique Art de la mise en scène : très visuel,

Zolaà cause de cet article pubié dans le journal L'Aurore. Éléments en relation avec l’œuvre : - Première amour de Zola une prostituée - Utilisation de la presse pour promouvoir ses œuvres littéraire comme le journaliste Fauchery pour promouvoir le théâtre des Variétés et ses acteurs. - Recherche du succès à Paris de Zola comme Nana. - Education de Louiset par Nana et sa tante Mme Lerat, et éducation de Zola par sa mère et sa grand-mère, absence paternel dans les deux cas. Un entourage artistique pour

LE PORTRAIT DU CITOYEN ORDINAIRE DE LA SEMAINE : BERNARD DUCOING, UN AGRICULTEUR PASSIONNÉ Dans notre rubrique hebdomadaire, qui, pour rappel, consiste à faire le portrait d'une personne prise totalement au hasard vivant dans notre belle région qu'est le Limousin, nous avions présenté la semaine dernière Patricia Diorutique, une flûtiste unijambiste venant du Cantal et également dépourvue de ses deux majeurs ainsi que de son auriculaire droit, ce qui fait d'elle une musicienne assez peu reconnue

| | | | | |Paul Gauguin (1848-1903) Portrait de l'artiste au Christ jaune | | |(1890, 1891) ; | |

Construction décor – Atelier François Devineau Construction des accessoires – Éric Den Hartog et Dyssia Loubatière Durée : 2h Coproduction : Théâtre de la Commune, Centre dramatique national d’Aubervilliers Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Scène nationale La Coursive, Scène nationale de La Rochelle Célestins, Théâtre de Lyon, MC2 : Grenoble Théâtre National de Marseille La Criée. Contact : Marie-Françoise Palluy 04 72 77 48 35 marie-francoise.palluy@celestins-lyon.org 2 SOMMAIRE