Inventer Fable

sous genre de l'apologue, court récit illustrant une morale. L'apologue répond donc à deux objectifs : plaire et instruire. Problématiques possibles à l'oral : - En quoi cette fable est elle un apologue ? - Quelles sont les critiques présentes dans « Les deux Coqs » ? - Comment la morale se déploie-t-elle dans cette fable ? - Comment La Fontaine utilise-t-il la réécriture ? - Quels sont les registres présents dans « Les deux Coqs » ? I. Les deux Coqs : Une parodie Une réécriture parodique de la

avec lui. En ces sortes de feintes, il faut instruire et plaire… La Fontaine. 2) Les formes de l’apologue : Tout au long de l’histoire de la littérature, l’apologue a pris des formes diverses en fonction des contextes et des situations. • La Fable : Dès l’antiquité, de courts récits représentent les animaux pour parler des hommes. Mais les recueils de fables en vers mettent en scène une véritable comédie humaine, peignant avec humour les caractères, donnant des leçons aux puissants. Au terme

ou peut-il éveiller la réflexion du lecteur ? Vous répondrez à cette question dans un développement argumenté, en vous appuyant sur les textes du corpus, sur ceux que vous avez étudiés en classe et sur vos lectures personnelles. - Essai, conte, fable sont autant de formes que peut prendre l'argumentation. Laquelle vous paraîtrait la plus appropriée si vous deviez écrire une argumentation et pourquoi ? - Lorsqu'on aborde des notions abstraites ou morales, quelles stratégies vous semblent les

cimetière du Père Lachaise.Les sources Esope et PhèdreJean de La Fontaine s’est beaucoup inspiré de deux fabulistes de l’antiquité, Esope et Phèdre notamment, pour écrire ses fables, mais en renouvelant le genre. En effet, pour Jean de La Fontaine, la fable n’est plus la simple démonstration d’une morale mais un récit avec une intrigue.On ne sait pas grand-chose d’Esope. Né il y a 2500 ans, il serait l’auteur de fables qui à cette époque là étaient contées. Ceux qui les écoutaient, les répétaient ensuite

textes du corpus, les lectures étudiées durant l'année et vos connaissances personnelles. Qu'est-ce que la fiction ? Ce que l'on désigne communément par "fiction", c'est un texte fondé sur des faits imaginaires qui se déroule dans des lieux inventés mettant en scène des personnages créés de toute pièce. Contrairement au documentaire ou au récit de faits historiques qui, eux, relatent de vrais événements. Ce genre littéraire est souvent choisi par les écrivains, souhaitant diffuser certaines

Queneau Sommaire Introduction 1. L’apport de La Fontaine à la fable 2. La fable au XXe siècle réécritures contemporaines 3. Techniques de réécriture Fiche pour la lecture cursive Séquence 8 – FR10 1 © Cned – Académie en ligne Introduction Objectifs ▶ les réécritures : connaissance des différentes formes de reprises littéraires : imitation, transposition, parodie, pastiche ; Fables d’hier et d’aujourd’hui En France, le mot « fable »1 est spontanément associé au nom de La ▶ l’argumentation :

1682. Ecrits pour la Duchesse de Bouillon, ils empruntent leurs sujets à Boccace, à l'Arioste et aux nouvellistes italiens. Ses fables, au nombre de 243 restent son chef d'oeuvre. Certains considèrent la Fontaine comme un copieur qui n'a rien inventé, mais il est certain que sans sa contribution, les noms d'Esope et de Phèdre (Phèdre est un fabuliste latin du Ier siècle après Jésus Christ. Il est né à Thrace en 15 avant Jésus-Christ. Il arrive comme esclave à Rome mais se fait affranchir par Auguste

LA COCCINELLE Victor Hugo (1802 – 1885) Poète, romancier, dramaturge, critique, Victor Hugo est un auteur d’une stature incomparable et inégalée. A la tête du mouvement romantique, il avait révolutionné le théâtre et inventé une nouvelle langue poétique. Extraites des contemplations en 1856, La Coccinelle figure dans la première partie du recueil intitulé « Autrefois ». Victor Hugo affirme que l’on peut y lire « les poèmes d’une âme […] cela commence comme un sourire » il y a une différence essentielle

superstition a) Des pratiques qui mêlent paganisme, fantastique et religion. Dès le début de l’extrait, la Folie nous présente le public dont elle va nous décrire les agissements : « ceux qui aiment entendre ou raconter des miracles ou des prodiges inventés ». A partir de là, suivra toute une nomenclature des différentes croyances qui encombrent l’esprit des superstitieux. Le vaste champ lexical du fantastique « spectres, lémures, larves » côtoie celui du religieux « Saint Christophe, sainte Barbe,

L’imparfait d’habitude « pouvait » « allait » « apportait » rend compte d’un cadre de vie idyllique où chacun mène ses occupations dans la complémentarité. V 42 pour le jardiner V 43 pour l’Ours L’Ours est « bon émoucheur » est décrit par un mot inventé par La Fontaine. La mouche est désignée par la périphrase « parasite ailé ». Ce tableau champêtre atteste de la vie en autarcie grâce à l’abondance dans la nature  c’est une micro-société qui se suffit « Un jour que » est une locution adverbiale