Investissement Et Emploi

ENSE IGNEMENT DE SPÉ C IA L I T É Ce sujet comporte deux documents THÈME DU PROGRAMME : Sous-emploi et demande, J. M. Keynes DOCUMENT 1 Toute production est destinée en dernière analyse à satisfaire un consommateur. Or, il s'écoule habituellement du temps entre la prise en charge des coûts par le producteur et l'achat de la production par le dernier consommateur. Dans l'intervalle, l'entrepreneur est obligé de prévoir aussi parfaitement que possible la somme que les consommateurs seront

l’activité de son entreprise, nous allons traiter la question en nous intéressant d’abord aux politiques de financement et d’investissement de l’entreprise qui impactent directement le haut de bilan, à savoir la fonction structure (ressources stables / emplois stables ou actif immobilisé net). Dans un second temps nous verrons que la question de l’externalisation, mais aussi les politiques d’achat, stockage, approvisionnement, prix et sous-traitance qui elles impactent le cycle d’exploitation appréhendé

une économie. Mesuré par travailleur, il recoupe la population active occupée. Quantitativement, l’emploi se rapporte aux caractéristiques des postes de travail occupés et aux conditions dans lesquelles ils le sont (salarié/indépendant, emploi stable/précaire, emploi qualifié/non qualifié, branches d’activités …). L’essor des technologies de l’information et de la communication (TIC) incite à s’interroger sur les conséquences du progrès technique sur l’emploi. Ce questionnement amène d’abord à analyser

que le décaissement et le fait de retirer des fonds de la caisse. 3] 4] Investissement de capacité, investissement de productivité et investissement de remplacement. 5] Sources internes : - Apport des associés : Il s'agit des apports des associés (en nature ou en espèces) au moment de la création de la société. - L'autofinancement : L'entreprise utilise ses propres ressources pour financer ses investissements Source de l'autofinancement = provisions et dotations aux amortissements + bénéfices

financement est un instrument permettant de déterminer, puis d'ajuster dans le moyen terme les ressources que l'entreprise pourra (ou devra) réunir pour faire face à ses emplois. Il est le départ et l'aboutissement de toutes les décisions concernant le financement des entreprises. Au-delà d'un simple ajustement des ressources aux emplois, le plan de financement est une traduction concrète de la politique financière de l'entreprise et il est l'un des documents qu'exige le banquier lorsque l'entreprise

TES SES Thèmes et questionnement Quelles sont les sources de la croissance économique ? THEME 1 Croissance, fluctuations et crises Notions Indications complémentaires PIB, IDH, Investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité globale des facteurs, facteur travail,facteur capital. - - - - Comment expliquer l’instabilité de la croissance ? Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, dépression, déflation. - s'interroger sur l'intérêt et les limites du PIB

qu’il y a une utilisation rationnelle des facteurs de production. Cette notion de rationalité joue un role important. Deux exemples de ce qu’est pour un économiste un comportement rationnel : - un chef d’entreprise qui fabrique des tables et qui emploi un certain nombre d’employés et un certain nombre de machines. Il cherche à maximiser sa production : à produire le plus possible. Ainsi il va maximiser ses recettes et ainsi maximiser son profit. - le même chef d’entreprise a l’objectif de produire

Ainsi, la fonction principale des ménages est la consommation, ils assurent d’autres fonctions : la production (les services de logement, les services domestiques) l’épargne (l’excès du revenu disponible sur la consommation) et l’investissement (investissement de logement). La fonction principale des e/ses est la production (c’est une production marchande destinée à la vente), elles assurent aussi d’autres fonctions : l’épargne, la recherche, l’investissement … Les administrations publiques produisent

Accroche : « Une croissance plus riche en emploi, la réussite française » écrivait F.Lerais en 2001(doc 1). Le paradoxe est en effet étonnant. Longtemps considéré comme adepte de la croissance intensive (au profit d’une préférence pour le chômage), la France aurait privilégié une croissance plus extensive (reposant sur des créations d’emplois nombreuses) au cours des années 1990. Les Etats-Unis auraient suivi l’évolution contraire et grâce à des investissements massifs dans les technologies de l’information

INVESTISSEMENT ET CROISSANCE Accroche : selon Helmut Schmidt « les profits d’aujourd’hui, constituent les investissements de demain et les emplois d’après demain ». Autre accroche possible : sur les différents types d’I dans le monde à travers le temps (passage de l’I matériel à immatériel) ou sur le danger des investissements financiers (crise des subprimes). Définition de l’investissement et de la croissance + explication des différents types d’I + Mesure de l’I et son taux actuel, faible taux