Invocation

certaines circonstances. Le Serment engage celui qui le prononce, et ceci, d’une façon définitive, il lui est impossible de revenir, sans être parjure, sur l’engagement ainsi contracté. Le Serment devrait toujours comporter trois parties : une invocation, une promesse, et une imprécation. Le Serment maçonnique se fait en invoquant soit le Grand Architecte de l’Univers, soit le livre des Constitutions. La promesse est l’objet même du Serment : on énonce le plus clairement possible ce à quoi l’on

. **INVOCATIONS POUR TOUTES SORTES D''EXAMENS ET POUR APPRENDRE ET MÉMORISER PLUS FACILEMENT SES ÉTUDES** ... " Allâhumma lâ sahla illâ mâ ja'altahu sahlan, wa anta taj'alu-l-hazana idhâ shi'ta sahlan. " اللّهُـمَّ لا سَـهْلَ إِلاّ ما جَعَلـتَهُ سَهـلاً، وَأَنْتَ

d’opposition, Exagérations ou atténuations) - TRAGIQUE : Prise de conscience du déterminisme humain et de l'impuissance de l'homme face au destin => (Imprécations, supplications, lamentations, prophéties, Style solennel et ni veau de langue soutenu, Invocations et apostrophes, Exclamations et interroga tions, Champs lexicaux de la fatalité, de l'amour impossible et de la mort, Vocabu laire moral et religieux)

moyen de déclarer sa flamme sous forme d’un blâme - Il s’adresse indirectement à une femme anonyme - déclaration de son amour implicitement * rimes embrassés désire la serrer dans ses bras (abba) * registre lyrique / 1 personne / Invocation des sentiments utilisation de toute les marques de la / S’adresse à un destinataire = femme déclaration d’amour - description physiquement comme vieille et décrépie *projection dans le futur avec une prolepse anticipation

personne, plus apte à traduire l’intimité (« je »,  « nous », « moi ») : ce sont des textes autobiographiques. * La ponctuation, parfois excessive, qui souligne les élans et les mouvements de la sensibilité. On a des tournures exclamatives (invocations, apostrophes) et interrogatives ; des interjections (« ô ma vie ! » - Il fait froid) ; des points de suspension. * Les figures de l’insistance (anaphores, hyperboles, gradations) pour montrer l’intensité des émotions éprouvées. * Les figures

lui apprend qu'il va répudier Médée pour épouser Créuse, la fille de Créon. (Médée apparaît scène 4 seulement) I- Médée, une magicienne en proie à la furie (furor) 1) Les manifestations de la furor 2) Un personnage de magicienne Tout d'abord, invocation des divinités infernales. Elle s'identifie à elles, considère qu'elles sont de la même famille ; demande de laisser en paix les âmes des enfers. Utilisation de l'impératif (v.213 à 217), parfaitement balancé, qui règle définitivement le sort de

bien-aimée n’est qu’une promesse de voyage s’épanouissant dans le rêve. Il s’agit d’un texte descriptif et rhétorique qui appartient au registre lyrique. Annonce du plan Une invitation amoureuse La première strophe est un appel en même temps qu’une invocation. Le premier désigne la tendresse pour une personne fragile à protéger ; le second évoque, la complicité, la douceur. Ces deux premiers qualificatifs donnent au poème une coloration mystique, ils connotent un amour spirituel. La destination du

guerre dans une nature tranquille. La Nature qui devient une déesse dans le poème. Il est écrit « Nature ! Ô toi […] ». On peut voir une Allégorie de la Nature qui devient la Déesse. De plus le « Ô toi », qui est une apostrophe, apparaît comme une invocation de Rimbaud. Ainsi Rimbaud nous décris dans son poème un clergé indifférent à la guerre et recherchant le luxe et la richesse donnés par des fidèles naïfs. Cependant Rimbaud nous présente une nouvelle déesse : la nature Ainsi Rimbaud dénonce

il n’y a donc que les faits qui doivent être prouvés. Ex : montrer que ma situation économique devrai me permettre d’avoir accès à des aides sociales. Il existe cependant 2 exceptions où nous devons prouver les faits ET la règle de droit. • Invocation d’une loi étrangère ( la loi invoquée doit être traduite et montrée au juge Français) • La coutume (en ce cas il faut apporter les papiers censés attester la réalité de la coutume.) Les faits contestés doivent également être prouvés. Ex :

registre pathétique Il caractérise un texte qui cherche à émouvoir le lecteur et à lui faire ressentir le sentiment de la pitié et de la compassion. On le reconnaît à l’expression de la souffrance physique ou morale, à des images violentes, à des invocations. Il joue sur la capacité d’identification du lecteur. * Le registre comique La visée est le rire. Il joue sur le décalage entre ce qui est attendu et ce qui est produit. On le reconnaît précisément à trois types de comique : le comique de